Post de William Mondello, EMBA

« Métamorphoses françaises - État de la France en infographie et en images » ou le grand plongeon dans le vide. Pour qui veut comprendre les grandes mutations sociologiques françaises des soixante dernières années et de ce qui nous attend, ce nouveau livre de Jérôme Fourquet est pour vous. Un condensé illustré de sa trilogie à succès : L'Archipel français, La France sous nos yeux (coécrit avec Jean-Laurent Cassely) et La France d’après, (éditions du Seuil). La seule lecture du sommaire donne l’ampleur de la déconstruction opérée, la mesure de l’effondrement, le narcotrafic violent et assassin, et comme matrice l’œuvre de la seule véritable puissance révolutionnaire que représente le capitalisme de la création – destruction pour nourrir toujours plus de consommateurs avides de combler d’objets leur vide (toujours revoir de Gaulle sur le sujet : 1968 : Le Général De Gaulle et le capitalisme | Archive INA). Fin des années 60, certains voulaient libérer l’homme et la femme, ils sont désormais pris en charge par cette folie individualiste, consumériste. L’individu flottant s’accroche qu’à son nombril. En cette période de la Toussaint, une phrase de Jérôme Fourquet résume la situation : « À la Toussaint, la France du chrysanthème est devenue celle de la citrouille et des friandises ». Le Figaro, 2 novembre 2024). Chacun appréciera, l'hommage aux morts ou les ténèbres sucrées. Pour les autres, continuez à écouter Jean Viard sur France Inter. Il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir. 

Bernard-Henri Lévy. #BHL Bernard c’est avant tout une enfance dans un milieu très aisé, son père est ainsi le fondateur de la Becob, archonte de la #déforestation il détruira des forêts aux quatre coins du globe. Bernard c’est également un héritage, héritant de la fortune paternelle colossale il n’a ainsi jamais travaillé de sa vie. Bernard c’est aussi la contestation ainsi il n’a jamais effectué son service militaire préférant philosopher sur le sens de la vie en voyant une mouche tourner autour de son verre de diabolo-menthe. Bernard c’est également le philosophe, arrivé 8ème à l’agrégation de philosophie ce qui est vraiment excellent, on se demande ce qui s’est passé par la suite pour qu’il atteigne le niveau de philosophie de salle d’attente. Bernard c’est l’engagement politique, il adhère au Parti Socialiste, il fera partie du « Groupes des Experts » dont feront partie par la suite Julien Dray et Harlem Désir. Mais Bernard sera aux côtés de François #Mitterrand, Laurent #Fabius, et Michel Rocard. Bernard c’est un centre d’intérêt pour la #CIA qui dira de lui en 1985 que son style de « nouveau philosophe » permettait de gagner la bataille de l’opinion en France et était très utile pour camoufler les activités américaines en Amérique Centrale. Bernard c’est également le déstabilisateur ainsi il contribuera aux bombardements américains de Belgrade en se mettant en scène sur des « fronts » en Yougoslavie, fronts qui étaient en réalité des zones pacifiques. Bernard c’est aussi un "vatenguerre", il sera l’artisan d’une intervention en Libye dont les conséquences seront catastrophiques tant pour la #Libye que pour l’Europe et plus généralement la moitié de l’Afrique. Bernard c’est le favoritisme, ainsi il offrira à son épouse Arielle, un rôle dans son film le Jour et la Nuit, navet épique du cinéma français. Bernard c’est également l’amoureux de l’Amérique, il reprochera à la gauche de devenir américanophobe, et se fera un devoir d’aller traîner ses guêtres dépiottées en Ossétie du Sud lors de la guerre Russie-Géorgie, cheveux au vent, chemise blanche ouverte, il attend Poutine avec ses petits poings. Bernard c’est le sens des affaires, actionnaire du journal Libération, il est aussi membre du conseil de surveillance du journal. Bernard c’est aussi la fidélité en amitié, il soutient ainsi son ami fugitif Roman Polanski accusé d’actes de #pédophilie aux États-Unis. Il ne sera pas le seul, Jack Lang et Frédéric Mitterrand seront de la partie. Il soutiendra également Dominique Strauss-Kahn victime de son serpent qui s’est échappé dans une chambre d’hôtel mais aussi Gabriel #Matzneff véritable Jimmy Savile Français. Bernard c’est le piston, ainsi il parvient à éditer ses navets sans problème grâce à ses amis. Bernard c’est le planqué partisan d’une opération militaire en #Ukraine, le travail sera fait par vos enfants, sa grosse et sublime cervelle est tellement utile à l’arrière qu’elle ne doit pas aller au front. #BHL

Ne regrettons pas d’être venus… mais n’y allons pas sans savoir. Le cimetière du Père Lachaise a beaucoup à raconter en matière d’Histoire. Débats et réunions politiques entre les tombes. Détonation des fusils et bruit des bayonnettes, hurlement des fédérés. Il ne reste que la pierre et la pierre est muette. Est ce d’effroi ? Si le mur des fédérés ne vous dit rien. Ça n’est pas étonnant, la Commune de Paris, c’est comme une cicatrice sur un visage, la III ieme République, l’a bien maquillée. On ne voit quasi rien. Pourquoi parler de rêves ? D’un mouvement populaire ? De 3 mois d’aspiration à mieux, a plus d’égalité ? 1870 : Paris, la guerre contre la Prusse, la famine, le froid glacial, les bombes. Mai 1871 : la semaine sanglante, l’écrasement de la Commune. Entre les deux : ça vaut le coup d’aller faire un peu de lecture. Les moteurs de recherche ou les bibliothèques c’est fait pour ça. Quel rapport avec le Père Lachaise ? Lieu du massacre final. Les cris ont percés les écorces des plus gros troncs. 28 mai 1871, hommes, femmes, enfants, vieillards inclus. Tués. Le camp des fédérés y passe. Le rêve est terminé. 3 mois pour 25000 morts parisiens côté population, « fédérés ». 1500 morts côté militaires, « versaillais ». La 3 ieme République étire ses pattes sur un monticule de cadavres. … #audiovisuel public . I love U

Le monde devient plus proche que jamais. L'Europe, en particulier l'Allemagne et la France, qui ont été divisées pendant si longtemps et se sont entretuées pendant des siècles, et dans le dernier siècle, nous avons vu une guerre tribale sanglante 1 et une guerre tribale 2 ; guerres mondiales mal nommées. Mais aujourd’hui, ils vivent ensemble et planifient leur avenir, les esprits sages parmi eux comprennent et prêchent cela ; aucun ne peut vivre sans l’autre, et aucun ne peut réussir tant que l’autre a faim et famine. Maintenant, avec les nuages effrayants de l’extrême droite, non seulement en Europe mais aussi en Amérique. Alors que les pays du Sud, désormais connus sous le nom de BRICS, se battent ensemble pour leur cause. Quels habitants des quatre îles (Comores) doivent penser à leur avenir? @Leshawiri suluhu.

Ça, c’est Bernard-Henri Lévy. Bernard c’est avant tout une enfance dans un milieu très aisé, son père est ainsi le fondateur de la Becob, archonte de la déforestation il détruira des forêts aux quatre coins du globe. Bernard c’est également un héritage, héritant de la fortune paternelle colossale il n’a ainsi jamais travaillé de sa vie. Bernard c’est aussi la contestation ainsi il n’a jamais effectué son service militaire préférant philosopher sur le sens de la vie en voyant une mouche tourner autour de son verre de diabolo-menthe. Bernard c’est également le philosophe, arrivé 8ème à l’agrégation de philosophie ce qui est vraiment excellent, on se demande ce qui s’est passé par la suite pour qu’il atteigne le niveau de philosophie de salle d’attente. Bernard c’est l’engagement politique, il adhère au Parti Socialiste, il fera partie du « Groupes des Experts » dont feront partie par la suite Julien Dray et Harlem Désir. Mais Bernard sera aux côtés de François Mitterrand, Laurent Fabius, et Michel Rocard. Bernard c’est un centre d’intérêt pour la CIA qui dira de lui en 1985 que son style de « nouveau philosophe » permettait de gagner la bataille de l’opinion en France et était très utile pour camoufler les activités américaines en Amérique Centrale. Bernard c’est également le déstabilisateur ainsi il contribuera aux bombardements américains de Belgrade en se mettant en scène sur des « fronts » en Yougoslavie, fronts qui étaient en réalité des zones pacifiques. Bernard c’est aussi le criminel de guerre, il sera l’artisan d’une intervention en Libye dont les conséquences seront catastrophiques tant pour la Libye que pour l’Europe et plus généralement la moitié de l’Afrique. Bernard c’est le favoritisme, ainsi il offrira à son épouse Arielle, un rôle dans son film le Jour et la Nuit, navet épique du cinéma français. Bernard c’est également l’amoureux de l’Amérique, il reprochera à la gauche de devenir américanophobe, et se fera un devoir d’aller traîner ses guêtres dépiottées en Ossétie du Sud lors de la guerre Russie-Géorgie, cheveux au vent, chemise blanche ouverte, il attend Poutine avec ses petits poings. Bernard c’est le sens des affaires, actionnaire du journal Libération, il est aussi membre du conseil de surveillance du journal. Bernard c’est aussi la fidélité en amitié, il soutient ainsi son ami fugitif Roman Polanski accusé d’actes de pédophilie aux États-Unis. Il ne sera pas le seul, Jack Lang et Frédéric Mitterrand seront de la partie. Il soutiendra également Dominique Strauss-Kahn victime de son serpent qui s’est échappé dans une chambre d’hôtel mais aussi Gabriel Matzneff véritable Jimmy Savile Français. Bernard c’est le piston, ainsi il parvient à éditer ses navets sans problème grâce à ses amis.... À lire https://lnkd.in/eMMjFCeH

Les fins d’empire L’empire romain a disparu étouffé dans sa graisse, une mauvaise graisse due à la prédation : les Romains des derniers siècles vivaient du travail d’autrui, esclaves et peuples colonisés. Avant de disparaître il a réduit à misère les cités qu’il avait soumis à son joug. Les guerres incessantes qu’il devait mené pour maintenir son espace de prédation l’ont épuisé ainsi que ses inféodés. L’empire américain ne nous entraîne-t-il pas à son tour dans cette phase avant effondrement final, plaçant ses pions à la tête des états qu’il souhaite suborner ? Ses hommes de main sont bien sûr les services de la CIA, mais aussi les officines de conseil qui se glissent dans tous les rouages de l’état et des entreprises. Ainsi le nombre de complices est-il lié aux multiples contrats passés par les grands groupes avec ces « fournisseurs ». Or, qu’est ce qui est en jeu, pourquoi être colonisé est-il délétère ? Je ne parle pas ici de patriotisme, d’identité nationale, mais du fait que la chape coloniale empêche chacun d’atteindre à la maturité. Qu’est ce que la maturité ? Je me souviens de la réponse de Kant à la question : qu’est ce que les Lumières ? Réponse : le fait de pouvoir penser par soi-même ; ce qui n’est pas au goût bien sûr des colons et de leurs sbires. #maturité#domination#Gracian

La modernité date de moins de 2 siècles et nous pouvons imaginer que nous avons encore nombres d’expériences à accomplir pour borner le champ des possibles. Le tragique 20ème siècle avec ses guerres mondiales constitue un exemple traumatique de ces leçons qui nous enseignent le prix de l’usage de la force militaire dans les règlements de comptes entre états. La guerre froide et la menace de guerre nucléaires sont venues parachever la leçon. Le domaine militaire est, heureusement, seulement l’un des aspects de la société. Nous devons vivre ensemble dans une société capable de se maintenir et de là, il est possible d’identifier 2 enjeux sans avoir la moindre prétention à l’exhaustivité. Le 1er est la bien + grande plasticité de nos formes sociales, elles conférent à la politique au sens idéologique du terme une importance bien + cruciale que dans les sociétés antérieures. Le 2nd, que nous verrons après est la dépendance de la société envers des réseaux et d’interdépendances qui investissent les classes dirigeantes. ... Jules SEYES

💬 "La radicalité, comme la guerre, tue parce qu’elle croit à la pureté, au monde en noir et blanc. En 2025, acceptons les petits pas, les à-peu-près, le pragmatisme. Choisissons la vie, pleine de complexité et de couleurs." 🖋️ Découvrez notre édito sur https://lnkd.in/ePzWYy9e

Émission extraordinaire d’un homme extraordinaire et médiocrité de la classe politique actuelle. 3 axes de cette émission - Science Po n’est plus et ne peut plus être une grande école. - Le président Macron assassine la France , c’est le meurtrier de la France pour une Europe mondialiste et financière - Le progressisme en marche est cette dynamique à cliqué de destruction de l’être humain. Pacs, mariage pour tous. adopton par le couple homosexuel, GPA, Transgenre, Transhumanusme , l’homme robot individu fabriquéé par clonage industriel. Notre monde est sur la voie irresponsable et inconsciente de la séparation de l’homme avec la vie avec le sacré., l’absolu de la vie, l’amour universel par un égoïsme et un égotisme déifiés. J’espère que mon petit fils de deux ans fera partie de cette jeunesse qui fera renaître après beaucoup de printemps l’espérance de la vie l’espérance du sacre,de l’union de l’homme avec la vie, avec la nature le sacré et l’absolu. Nos temps avec ses acteurs destructeurs type Macron sont sur 3 lignes de dstructions profonde - celle de la formation de nos élites - celle de la France par l’Europe - celle de l’homme qui doit devenir sans vie sans amour et sans conscience. Espérance de la prise de conscience d’une nouvelle jeunesse en apparition.

Sapiens et l’indémodable ritournelle du « Plus jamais ça » Du Mémorial Day à la bataille de Normandie, les commémorations organisées autour du 80ème anniversaire du D-Day sont belles et dignes. Entre festivités et recueillement, il faut saluer les initiatives, officielles, associatives et bénévoles qui font revivre pour une communauté de tous horizons, l’esprit de ce « jour le plus long », celui qui a gravé dans la mémoire collective l’engagement opérationnel titanesque des Alliés pour éradiquer la barbarie nazie et reconquérir notre condition de citoyens libres, au prix d’une effroyable gabegie de vies anéanties, militaires comme civiles. Est-ce à dire que le devoir de mémoire a été honoré ? C’est l’actualité internationale qui s’impose piteusement pour répondre à cette question, et le contraste avec l’intense démonstration de ferveur de ce 6 juin est accablant. Force est de constater que l’insondable absurdité des guerres se porte plutôt bien, au point qu’il y a quelque chose de désespérant à honorer avec grandiloquence les martyrs d’hier, tout en générant ceux que nos descendants célèbreront sans doute avec émotion et solennité demain. Le facteur temps n’intervient dans l’équation de la belligérance qu’au titre des évolutions technologiques et des modalités de conflits. Le mensonge au service d’ambitions pernicieuses, l’énigmatique dévotion à des dirigeants narcissiques pathologiques, y compris dans des démocraties où l’on semble blasés d’une liberté pourtant mise à l’épreuve, sont autant de gages confisqués à la paix. Quant aux fameux enseignements du passé censés nous éviter de revivre les mêmes calamités, ils ne sont pas « géopolitiquement-compatibles » d’un monde architecturé plus ou moins directement autour de puissances financières, y compris privées qui s’émancipent progressivement de tout contrôle étatique. C’est bien là que le bât blesse. Ce maillon fondamental de la mémoire au service de l’avenir, le plus complexe, est sans surprise, le plus faible. Il n’y a, ni naïveté, ni fatalisme dans ce constat. L’angélisme d’une solution fondée sur une belle et vertueuse humanité est une utopie. Une fois de plus, la vraie vie s’impose avec son arsenal d’hypocrisie, falsifiant sans scrupules l’Histoire comme l’actualité au service d’enjeux géostratégiques pour lesquels la place de l’humain est du second ordre. L’univers des sciences et des technologies a pulvérisé les prédictions les plus audacieuses, mais la société en subit des effets collatéraux sous forme de décrochages sociaux, économiques et de souveraineté. Autant d’inflexions qui présagent assez mal de la stabilité dans la durée d’une humanité dans le déni de sa propre vanité. (suite en commentaires).