Émouvoir sans manipuler, c’est possible ? 🤔 Il est facile de tomber dans la manipulation lorsqu’on souhaite émouvoir un (futur) client : titre putaclic, promesse exagérée, Fear Of Missing Out (FOMO)… ⚠️ Mais parler de son produit/service de manière purement objective et informative, c’est la garantie de ne pas retenir l’attention ! Connaissez-vous la marque de votre radiateur ? 😐 Ce mois-ci, nous nous attaquons à des pistes de réflexions pour émouvoir de manière éthique ! 💓 🚀 Lisez la dernière édition de la newsletter IMPACT pour les explorer avec nous. #YOTTA #CommunicationResponsable #ImpactPositif
Post de YOTTA, l'agence créative responsable
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"Spontanéité" ou "Authenticité"... Les deux ne sont pas synonymes. On doit parfois réfléchir pour répondre avec authenticité, au détriment de la spontanéité. Et parfois trop réfléchir fait justement perdre en authenticité. Il y a un juste dosage à trouver entre ces deux polarités. Mais à choisir, j'opte sans hésiter pour l'authenticité, laissant la spontanéité aux amateurs et aux naïfs qui n'ont pas commencé leur cheminement. J'aime les coachs : Ce sont des experts du "pas de côté". Ils sont en partie sortis du "système" tout en y gardant un pied tout de même, pour rester en contact, et accompagner les champions qui sont à la manoeuvre. Ils travaillent courageusement sur eux-mêmes, c'est leur fond de commerce. Ils travaillent inlassablement leur qualité de présence, privilégiant l' authenticité à la naïve "spontanéité" C'est un métier qui mériterait de se développer (et de se professionnaliser) encore. Plus il y aura de bons coachs, plus il y aura de vrais clients.
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Petite astuce pour faire prendre une décision rapide aux consommateurs et aux électeurs : Foutez leurs la trouille… 😈 Allons un peu du côté obscur de la communication et du marketing. 😱 La peur est un puissant moteur d’influence, que ce soit dans le marketing ou en politique. Elle active des mécanismes de survie qui nous poussent à chercher des solutions rapides pour éviter ou atténuer des menaces perçues, réelles ou exagérées. 🥸 En vente, elle se manifeste par des messages tels que “Ne passez pas à côté de cette opportunité” ou “Protégez votre famille dès maintenant”, qui exploitent la peur de manquer quelque chose ou d’être en danger. Ces messages sont conçus pour déclencher une réaction immédiate chez le consommateur, le poussant à agir sans prendre le temps de réfléchir en profondeur. 🥳 En politique, cette même stratégie est souvent utilisée pour orienter le choix des électeurs. 🥺 Par exemple, elles jouent sur les émotions de peur et d’insécurité, parfois en diffusant des informations trompeuses, afin de créer un sentiment de menace imminente. Ce sentiment pousse les électeurs à rechercher une figure “protectrice” ou “d’autorité” qui promet de restaurer l’ordre et de les défendre contre des menaces perçues. 🤓 Ainsi, que ce soit pour vendre un produit ou rallier un électorat, la peur devient un levier puissant. Elle conduit les individus à prendre des décisions impulsives, moins basées sur la réflexion que sur une réponse émotionnelle. Cette approche soulève des questions éthiques : jusqu’où peut-on aller pour capter l’attention et obtenir l’adhésion ? N’est-il pas temps d’adopter des pratiques plus transparentes, qui respectent davantage l’intelligence et la sensibilité des consommateurs et des citoyens ? Bref, ils mangent des chats et des chiens.
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La danse la plus parfaite, la voiture la plus luxueuse, le compte en banque le plus fourni... Vous connaissez la chanson sur les réseaux. Chaque jour, vous êtes confrontés à une déviance communicationnelle propre à TOUS les réseaux sociaux. 👉 L'attention est l'or d'aujourd'hui. Pour exister, il faut renchérir. Toujours plus. En rhétorique, nous appelons cela la communication hyperbolique. Ce procédé implique une exagération dans le propos. La communication hyperbolique peut prendre diverses formes, des mots les plus puissants jusqu'à la cascade la plus dangereuse. L'objectif est simple : faire du sensationnel. Correctement utilisée, cette forme de communication sera utile dans le discours de sensibilisation par exemple. Mais les créateurs de contenu abusent de l'hyperbole. Non plus pour mettre en valeur un propos, mais pour attirer le chaland. Il y a deux grands risques dans l'abus de communication hyperbolique : 1️⃣ La crédibilité : c'est impossible d'être toujours à 101%. L'absence de failles déshumanise le discours. 2️⃣ La distance créée avec le public : à force de voir des profils toujours plus musclés, plus riches, plus heureux, etc., le public ressent un décalage (surtout chez les plus jeunes). Les gens deviennent alors envieux. Et à votre avis, sur les réseaux sociaux, comment ce décalage est-il comblé ? Comment se comportent les plus jeunes en commentaires sur Insta et TikTok ? © FrankBoston - stock adobe
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Ce message en intro du site de Pascal Provencel sont les mots les plus justes et les plus millimétrés qu'on peut avoir, sur la réalité de ce que l'on vit au quotidien dans nos univers professionnels et personnels. Nous sommes tour à tour acteur et victime de ces mots. Mais à quel moment peut-on en prendre le contrôle et les traduire en actes ? Comment peut-on influencer intelligemment une marque pour la conduire vers l'inconnu, où seule la confiance en un discours "idéologique" ou plein de bon sens, peut suffire à aller de l'avant ? Quel est le parcours de cet homme ou de cette femme, en qui je peux placer cette confiance pour me conduire ? Les mots de Pascal Provencel : À trop obéir on perd l’habitude de penser, de créer, d’inventer. La marque, un être de discours… COMPRENDRE, ANALYSER ➡️ Les oublis sont dans toutes les mémoires… ➡️ Ne plus considérer le consommateur comme un individu mais comme une personne ➡️ La crise économique apparaît comme une crise du temps, une gestion obnubilée par le court terme. ➡️ Ne pas croire qu’une tendance, apparemment nouvelle, apparaît ex nihilo, mais savoir qu’elle se construit sur des fondations qui peuvent remonter de très loin. DÉVELOPPER, DIFFÉRENCIER ➡️ Le désir, base du JE, naît de la béance créée par le manque. ➡️ Les vraies valeurs du marketing résident dans l’esprit du consommateur : ce qu’il veut et non ce qui est disponible. ➡️ Les consommations sont contrôlées par les croyances. ➡️ L’homme a construit l’avenir à son image : fragile et inattendu. ➡️ Qu’est-ce-que le marketing sinon comprendre les hommes, sur ce qui les entoure, leurs désirs, leurs craintes, leurs espérances ? À votre écoute. Pascal Provencel #BrandContent #Marketing #Stratége
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Je n'ai plus d'idole. Parce que l'affaire Diddy, comme d'autres avant elle, est en train de nous poser tranquillement les limites du concept de la starification. Il ne se passe plus un jour sans qu'une référence ne tombe. Sans qu'une célébrité ne soit épinglée pour son jardin trop secret et qu'elle ne finisse par être laminée à hauteur de ce qu'elle a été adulée. Plus un jour sans que la définition mainstream de la réussite, telle qu'on nous la rabâche quotidiennement sur les réseaux, ne vienne s'effriter encore un peu +. Et j'ai pas l'impression qu'on prenne la pleine mesure de ce qui est en train de se passer. On a construit des légendes sur la base de ce qu'elles voulaient bien nous montrer. Occultant complètement les névroses qu'un personal branding peut masquer. On a kiffé, on s'est inspiré, on a payé... sans se douter que ce serait pour être complices de fêlés en quête de sensations trop fortes. Les limites d'un star-system sans réflexion où plus rien ne semble tenir sur la durée, mais qu'on continue inlassablement de reprendre comme un Lifestyle porté par de bonnes intentions storytellées en surface, lesté du poids de la manipulation dégueulasse en sous-marin. Comme si on était plus fort que la matrice... Comme si on ne retenait rien des leçons sur l'ego, le pouvoir, le pognon et la poursuite de la popularité, quoi qu'elle en coûte. Regarde ton feed, observe toutes ces personnes qui cherchent à exister, quitte à laisser conscience et doudoune au vestiaire. Pour moi, si on doit tirer une leçon de toute cette merde, c'est qu'on a atteint un stade où il n'est plus possible de se passer de discernement, de recul, de doute. Plus que jamais, avoir une approche saine et maîtrisée de notre exposition me semble incontournable. Et aussi sordides soient-elles, ces horreurs répétées me confirment le bienfondé de ma vision. Je parle toujours de convictions ancrées, de valeurs, de drivers sains, de la nécessité de ne pas transiger sur le reniement de soi afin d'éviter de perdre l'équilibre et les repères essentiels à une forme d'alignement vertueux. Qui peut encore remettre ça en question et pas le reste ? Qui peut encore croire que le déballage digital peut se passer de responsabilités envers soi, envers les autres ? Qui peut venir me dire qu'il n'a pas besoin d'un vrai travail sur lui-même avant d'aller s'afficher ? Que tout ça ne se joue pas sur la congruence entre la pensée, les paroles et les actes à long terme ? Que tout s'efface... Ce monde m'oblige à me parer d'une remise en cause perpétuelle et d'une ambition mesurée me préservant de sortir un jour de ma vie normale. Qui, disons-le, remonte rapidement dans mon classement des choses à préserver. Je n'ai plus d'idole, parce qu'à l'heure actuelle, même Sean Combs doit regretter de ne pas être moi. Combien d’autres ? KITNW ! 🧡
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Nous sommes cambriolés. 🛑 Pas nos maisons, non. Mais notre attention. Chaque jour, à chaque instant. 📱Des contenus surgissent, capturent notre regard, volent nos pensées pendant quelques secondes... pour ensuite nous laisser avec un vide. Vous le ressentez aussi, n’est-ce pas ? Ce sentiment d’avoir été attiré, mais sans avoir rien reçu en retour. 🤔 Ce phénomène, gerald bronner, dans son passionnant ouvrage "Apocalypse cognitive", le nomme “cambriolage de notre disponibilité d’attention”. Les coupables ? Trois contenus cambrioleurs me viennent à l'esprit, outre les élémentaires contenus de notre site internet, de notre blog, de nos e-mails et newsletters : 🪤 Les clickbaits : "Découvrez ce secret que les agences marketing ne veulent pas que vous sachiez." 🔥 Les contenus polarisants : Gilette et la masculinité toxique 🌀Les contenus "phatiques" : quizz sans valeur, vidéos courtes de faits triviaux, ... 🚨 Cesser cette course effrénée pour capter ce que nous avons de plus précieux : notre temps. Et à quel prix ? Si la valeur n’est pas au rendez-vous, c’est nous qui perdons. Il est là, le danger ⚠️ : à force de tirer sur cette corde, nous fatiguons notre audience. Et nous fatiguons nous-mêmes. Fatigue cognitive, désengagement... et au final, perte de confiance. 🙇♀️ Comment ne pas tomber dans ce piège ? 💡 Prendre, reprendre ses responsabilités. Créer de la valeur. Faire sens. David Ogilvy a dit : "Le consommateur n'est pas un crétin ; c'est votre femme. Vous insultez son intelligence si vous supposez qu'un simple slogan et quelques adjectifs insipides la persuaderont d'acheter n'importe quoi.” 💬 Respectons nos publics, et le temps qu'ils nous donnent. Offrons-leur une expérience qui compte vraiment, au-delà de l’instantanéité. Chaque contenu que nous créons doit apporter une valeur réelle. 📝 Un moment de réflexion, d’inspiration, une solution. Si ce titre, “Nous sommes cambriolés”, n’avait été suivi que par des mots vides... ce serait un autre cambriolage. Au contraire, moi, je veux donner : De la valeur De l'authenticité De la réflexion 💪✨ Et vous ? #attention #contentmarketing #noussommeslesmots :.:.:.:.:.:.:.:.:.:.:.:.:.:.:.:. Je suis Muriel Vandermeulen Je défends farouchement le bien dans le #marketing et les #mots Je dirige l’agence de content marketing Wearethewords J'adore partager, discuter, échanger. Connectons-nous, suivons-nous.
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Face au dilemme “mieux vaut être vu ou être regardé”, chez Origines, nous avons choisi notre camp. Dans un monde qui privilégie l’instantanéité, où être “vu” semble l’emporter sur le fait d’être véritablement “regardé”, nous osons défendre une approche différente : celle du contenu long, riche et profond. Alors que les plateformes médias se ruent vers la promotion de formats vidéo courts, poussant créateurs et spectateurs vers une consommation rapide et superficielle, nous restons ancrés dans la conviction que la vraie valeur réside dans la narration étendue. Cette tendance à privilégier le court et rapide, illustrée par l’ascension de comptes comme «abrege frere», soulève une inquiétude légitime : sommes-nous en train d’assister à l’érosion de notre capacité d’attention ? Cette question dépasse largement le cadre de la simple préférence de format ; elle touche à notre bien-être collectif. Observons autour de nous : quand est-ce que nous avons pris le temps de nous plonger dans un livre sans interruption, de regarder un film du début à la fin sans parcourir notre téléphone, ou même de laisser l’ennui nous porter vers une réflexion créative ? La réponse à ces questions révèle une vérité troublante sur l’impact des médias à consommation rapide sur notre capacité à nous concentrer et à apprécier pleinement les récits complexes. C’est pourquoi, chez Origines, nous faisons le choix délibéré de produire des contenus qui exigent et récompensent l’attention pleine et entière de notre audience. Nous croyons fermement que c’est à travers la durée et la profondeur que les histoires révèlent leur plein potentiel, touchant les spectateurs de manière durable et significative. En choisissant de privilégier la qualité et la profondeur narrative au détriment de la quantité et de la superficialité, nous prenons position non seulement pour la préservation de notre culture et de notre capacité à apprécier des récits enrichissants, mais aussi pour la santé mentale et la capacité de concentration de notre société. Nous applaudissons et soutenons tous les créateurs, producteurs et plateformes qui, face à la pression des tendances, choisissent de valoriser l’histoire et la signification au-delà des likes et des vues éphémères.
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⚙️Peut-on vraiment modéliser nos comportements ?⚙️ ou Le faux danger d’un outil comme le #ProcessCommunicationModel® 📋 Les inventaires de personnalité, comme Process Communication Model®, sont souvent la cible de critiques visant à les cataloguer comme réducteurs, dangereux. Selon leurs détracteurs, ces inventaires mettent en boîte les personnes, les enferment dans des cases. Euuuuh ! On met en boîte un truc qui met en boîte là, non ? (Humour 😇) 🪆🪆🪆Une boîte dans une boîte… Tiens, ça me rappelle le principe des poupées russes. À l’intérieur de chacune d’elle se cache une autre… jusqu’à atteindre le cœur des poupées. Et si les inventaires de personnalités avaient la même mécanique ? Si finalement, l’outil me permettait d’aller un peu plus en moi ? … comme lorsque j’ouvre une nouvelle poupée ? 😊 Car c’est bien ce qu’apporte le Process Communication Model®. L’outil dit qu’il existe 6 types de personnalité 🔵🔴🟠🟡🟤🟣… Et surtout, il dit que nous avons tous développé en nous les 6 types… comme 6 poupées que nous possédons et que nous pouvons découvrir. Selon ce modèle, chacun d’entre nous a sa propre structure de personnalité… UNE structure. Mieux : MA structure. 👀Donc changeons notre regard : plutôt que d’enfermer dans une case, Process Communication Model® offre la possibilité de découvrir LA personne que nous sommes, UNIQUE. Donc oui, je peux modéliser mes comportements, non pour m’enfermer dans une case mais pour identifier ce qui caractérise mon INDIVIDUALITÉ. 💡Et devinez quoi ? Bien se connaître est essentiel pour un #leader #manager. Il se garantit de mieux gérer ses propres émotions, et sa relation avec les autres. Dans un contexte où le lien, les relations deviennent une clef de la réussite des équipes, qu'attendez-vous pour ouvrir les poupées et découvrir Process Communication Model® ? 👉🏻Envie d’en savoir plus ? 2 possibilités : - S’inscrire à une de nos formations sur Process Communication Model® > cf commentaires - Restez connecté en vous abonnant à la page
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Cessez de vouloir plaire à tout le monde... Vous n’aimez même pas tout le monde ! 🤯 Cette phrase, lue récemment chez Maud Alavès, m'a frappée comme un uppercut de vérité. Et franchement, elle s'applique parfaitement au marketing ! Pourquoi tant d’entreprises cherchent encore à lisser leur communication pour éviter de froisser qui que ce soit ? Que ce soit pour des produits, des services ou une image de marque, plaire à tout le monde est un objectif non seulement impossible, mais contre-productif. Et là, je parle surtout aux marques qui, par peur du bad buzz ou des critiques, édulcorent leurs campagnes jusqu’à en perdre toute saveur et impact. Ce que je vois souvent en coulisses ? Des campagnes brillantes, pleines d'audace et d'idées fraîches, qui finissent par être diluées, passées sous mille validations, pour plaire au plus grand nombre... Et ça donne une campagne fade, sans personnalité, qui fait plus lever les sourcils que créer de l'engagement. 💡 Mon conseil : Osez ! Osez bousculer, osez vous affirmer, et surtout... osez ne pas plaire à tout le monde. Les campagnes qui marquent ne sont pas celles qui caressent tout le monde dans le sens du poil, mais celles qui laissent une empreinte, qui engagent une réaction. Celles qui osent prendre parti. ⚠️ Un autre danger que je vois souvent : ces campagnes où chaque décision marketing doit passer par une longue chaîne de validation... pour finir en pub à la c*n qu’on oublie dès qu’elle passe (ou pire, qui nous tape sur le système). Souvent, l’idée de départ était brillante, mais à force de vouloir éviter tout risque, on tue l’idée. Alors arrêtez de jouer la sécurité à tout prix. Prenez des risques, créez une identité forte qui reflète vos valeurs. Même dans des secteurs sensibles comme l’institutionnel, où la critique est quasi inévitable, l'audace peut faire la différence. 👉 Vous arrivez à oser ou vous avez encore peur de déplaire ? ____ Moi c'est Delphine, j'accompagne les entreprises dans leur stratégie de marque pour les aider à faire des choix marketing audacieux sans avoir peur de s'affirmer. On en discute en MP 🍸 Photo : Laetizia Bazzoni
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𝐂𝐨𝐦𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐟𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐮 𝐛𝐮𝐬𝐢𝐧𝐞𝐬𝐬 𝐚𝐮𝐣𝐨𝐮𝐫𝐝'𝐡𝐮𝐢 𝐞𝐧 𝐫𝐞𝐬𝐭𝐚𝐧𝐭 𝐞́𝐭𝐡𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐞𝐭 𝐞𝐧 𝐮𝐭𝐢𝐥𝐢𝐬𝐚𝐧𝐭 𝐥𝐞𝐬 𝐦𝐨𝐲𝐞𝐧𝐬 𝐝𝐞 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐮𝐧𝐢𝐜𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐚̀ 𝐝𝐢𝐬𝐩𝐨𝐬𝐢𝐭𝐢𝐨𝐧 ? C'est LA question qui me vient à l'issue du challenge #ramentafraise que j'ai suivi la semaine dernière. Voici ce que j'ai constaté et pourquoi ça me gratte 👇 👉 𝑨𝒇𝒇𝒊𝒄𝒉𝒆𝒓 𝒔𝒐𝒏 𝑾𝑯𝒀 𝒆𝒕 𝒎𝒆𝒕𝒕𝒓𝒆 𝒆𝒏 𝒂𝒗𝒂𝒏𝒕 𝒔𝒐𝒏 𝑾𝑯𝑨𝑻 💡 𝐋𝐚 𝐛𝐨𝐧𝐧𝐞 𝐢𝐝𝐞́𝐞 communiquer sur pourquoi vous vendez plutôt que ce que vous vendez, en quoi vous croyez plutôt que ce que vous faites, qui vous aidez plutôt que qui sont vos clients… Je crois que cela fait une différence en effet mais… 🚨𝐋’𝐞́𝐜𝐮𝐞𝐢𝐥 C’est de dire, je n’ai rien à vendre, je fais cela au service de… et d’ailleurs, je ne peux rien vous vendre parce que je n’en ai plus Effet soufflé dégonflé assuré… ! 👉𝑪𝒓𝒆́𝒆𝒓 𝒅𝒖 𝒃𝒖𝒛𝒛 𝒆𝒕 𝒆𝒏 𝒆̂𝒕𝒓𝒆 𝒖𝒏𝒊𝒒𝒖𝒆 𝒃𝒆́𝒏𝒆́𝒇𝒊𝒄𝒊𝒂𝒊𝒓𝒆 💡𝐋𝐚 𝐛𝐨𝐧𝐧𝐞 𝐢𝐝𝐞́𝐞 inciter à afficher sa couleur, ses opinions et ses offres dans une tendance à l’affirmation de soi, c’est top ! Mais… 🚨𝐋’𝐞́𝐜𝐮𝐞𝐢𝐥 c’est que cela ramène immanquablement à citer les mêmes # et ramène de l’audience à la même boucle Effet boomerang garanti… ! 👉𝑷𝒐𝒖𝒔𝒔𝒆𝒓 𝒂̀ 𝒍𝒂 𝒔𝒊𝒏𝒈𝒖𝒍𝒂𝒓𝒊𝒕𝒆́ 𝒆𝒕 𝒖𝒕𝒊𝒍𝒊𝒔𝒆𝒓 𝒍𝒆𝒔 𝒎𝒆̂𝒎𝒆𝒔 𝒇𝒊𝒄𝒆𝒍𝒍𝒆𝒔 𝒒𝒖𝒆 𝒕𝒐𝒖𝒕 𝒍𝒆 𝒎𝒐𝒏𝒅𝒆 💡𝐋𝐚 𝐛𝐨𝐧𝐧𝐞 𝐢𝐝𝐞́𝐞 afficher que chacune est unique et a le droit de s’exprimer, poser un principe d’horizontalité dans l’expression, inciter à s’affranchir des codes préétablis, je dis OUI ! Mais… 🚨 𝐋’𝐞́𝐜𝐮𝐞𝐢𝐥 c’est quand tout le monde utilise le même template, les mêmes ficelles, cela se voit et on se retrouve noyée dans la masse… Effet comparaison sociale à coup sûr ! Je cherche donc toujours la réponse à ma question : 𝐂𝐨𝐦𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐟𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐮 𝐛𝐮𝐬𝐢𝐧𝐞𝐬𝐬 𝐚𝐮𝐣𝐨𝐮𝐫𝐝'𝐡𝐮𝐢 𝐞𝐧 𝐫𝐞𝐬𝐭𝐚𝐧𝐭 𝐞́𝐭𝐡𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐞𝐭 𝐞𝐧 𝐮𝐭𝐢𝐥𝐢𝐬𝐚𝐧𝐭 𝐥𝐞𝐬 𝐦𝐨𝐲𝐞𝐧𝐬 𝐝𝐞 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐮𝐧𝐢𝐜𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐚̀ 𝐝𝐢𝐬𝐩𝐨𝐬𝐢𝐭𝐢𝐨𝐧 ? 🚧 J’ai cru avoir des pistes avec la stratégie océan bleu mais … il me manque encore quelque chose ! 🚧J’ai cru avoir des pistes dans le milieu ESS mais… il me manque encore quelque chose ! 🚧J’ai cru avoir des pistes avec un challenge communication sur Linkedin pour les femmes mais… il me manque encore quelque chose ! 👋 Si vous avez des pistes, je suis preneuse! 😊 Sinon, je suis toujours Florisse, j’accompagne et je forme celles et ceux qui se transforment. Et qui souhaitent maintenir visibilité et développement d’activité dans une démarche éthique et humaniste, sur les réseaux sociaux numériques et partout ailleurs.
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