Post de Zakaria HANAFI

Il est fondamental de reconnaître que la transparence et la confiance sont les piliers de la diplomatie internationale, garants de la stabilité. En réduisant les incertitudes et en favorisant le respect des engagements, elles permettent d’établir un cadre crédible pour les échanges, propice à la coopération. Ce climat de confiance stimule le développement économique, culturel et politique, créant les conditions du rayonnement des nations sur la scène internationale. https://lnkd.in/eVRWZGNU

Le Droit au VETO et l'ONU. Le droit au véto à l’ONU est un droit anti-démocratique qui doit être banni et révolu de la gestion des affaires à l'ONU. Il y a plus de 198 pays adhérents à cet organisme. Cinq (05) pays ont un droit au véto. Synonyme que chacun des pays seul peut annuler une résolution en levant seulement la main au moment du vote du conseil de sécurité. Ces derniers temps, la Palestine vit un calvaire, une hécatombe humaine et humanitaire, une extermination tout cours, et le véto au conseil de sécurité fait durer le massacre de civils innocents. Il est temps que ce génocide cesse. Parfois, les gens se demandent pourquoi les pays n’ayant pas l’arme atomique y aspirent. Justement, la posséder est synonyme de grandeur d'un pays et donc d'un droit de siéger au conseil de sécurité et avoir le passe-droit du VETO. Il est temps de trouver un moyen d'arrêter cette guerre et penser à une révolte des pays membres de l'ONU contre ce mode de fonctionnement ou de se retirer simplement de cet organisme d'une voix et créer un autre plus juste et plus équitable où chaque voix est égale à elle-même. L'humanisme est en péril dans ce monde, y aurait-il un pays sauveur et défenseur des des minorités et des plus faibles???

Une expérience dans la vie politique et publique Algérienne

Voici mes réflexions, partagées sur #France24 concernant la Syrie : sur les perspectives de l'avenir économique syrien et sur les raisons pour lesquelles les sanctions doivent être levées. L'avenir de l'économie repose sur la capacité du nouveau gouvernement à prendre des décisions audacieuses et à introduire des réformes concrètes. Cependant, cette transformation ne pourra avoir un impact réel que si les sanctions, qui représentent le principal frein à tout progrès économique, sont levées. Lever ces sanctions immédiatement n'est pas seulement une nécessité économique, mais également une étape essentielle pour garantir la stabilité politique et sociale. Le poids des sanctions entrave non seulement la reprise économique mais aggrave également la crise humanitaire, affectant les populations les plus vulnérables. Il est urgent de repenser ces mesures pour permettre une reconstruction viable et une réintégration dans le système économique mondial. Le nouveau #gouvernement en Syrie devrait offrir à la communauté internationale des garanties quant à sa capacité à instaurer une gouvernance institutionnelle nouvelle, éloignée de la corruption du régime précédent. --------- my views on France 24 Arabic The future Syrian of the economy depends on the new government’s ability to make bold decisions and bring about real changes in policy. However, this transformation will not have a tangible impact unless sanctions, the main obstacle to any economic progress, are lifted. Lifting sanctions immediately is not only an economic necessity but also a crucial step towards achieving political and social stability. The new government should provide the international community with guarantees of its ability to establish a new institutional governance, free from the corruption of the previous regime. خلال مقابلة علي فرانس ٢٤ دالين حسن تحلل الوضع الاقتصادي في سوريا وتشرح لماذا يجب ان ترفع العقوبات عن سوريا فورا ، مستقبل الاقتصاد السوري يعتمد على قدرة الحكومة الجديدة على اتخاذ قرارات جريئة وإحداث تغيير حقيقي في السياسات. ومع ذلك، فإن هذا التغيير لن يكون له تأثير ملموس إذا لم يتم رفع العقوبات، التي تمثل العقبة الرئيسية أمام أي تطور اقتصادي. إن رفع العقوبات فورًا ليس فقط حاجة اقتصادية، بل هو أيضًا خطوة ضرورية لتحقيق الاستقرار السياسي والاجتماعي. watch the episode in full : https://rb.gy/c7l1hw

https://lnkd.in/ePGq3PsU la civilisation marocaine et son rayonnement sur l'ensemble des secteurs vitaux (culturel, politique, civilisationnel,...)

"Non, l’Algérie n’a pas été créée par la France en 1830" Par Razika Adnani , philosophe Publié le 14/10/2021 Razika Adnani, philosophe, islamologue et auteur de nombreux ouvrages, répond à Emmanuel Macron qui avait déclaré que la nation algérienne n'existait pas avant la colonisation française de 1830. L’affaire des sous-marins ourdie par les USA et l’Australie dans le dos de la France a fait prendre conscience aux Français à quel point la France, pourtant un grand pays, était fragile et faible dans un monde semblant se lancer dans une nouvelle guerre froide qui opposera les USA à la Chine. Des intellectuels et des politiques ont rappelé la nécessité de renforcer l’Union Européenne pour que les pays européens puissent faire face ensemble à d’autres coalitions qui se forment et agissent malheureusement selon la logique de l’intérêt et de la force. Cette affaire vient au moment où les relations entre l’Algérie et le Maroc se détériorent. Elle doit être un exemple pour que les pays du Maghreb réalisent qu’il n’est pas dans leur intérêt de se fragiliser davantage avec des disputes intermaghrébines. Les destins de ces trois pays sont liés et l’Union Maghrébine s’avère aujourd’hui plus que jamais indispensable pour constituer une force. « Ce ne sont pas les frontières géographiques qui font un pays ou une nation, c’est plutôt et avant tout son peuple, sa culture, sa langue et son histoire. » Depuis plusieurs années, l’idée d’une Union maghrébine fait rêver les peuples de ces trois pays sans pour autant qu’elle ait pu se concrétiser malgré les nombreux facteurs qui les lient : la langue, la culture, l'histoire, la religion, la zone géographique et le destin commun. Aujourd'hui, la sécurité et la prospérité de ces populations, qui ne peuvent être possibles que par la garantie de la stabilité de leurs pays, doivent être un facteur suffisant pour créer la volonté de réaliser cette union en dépit de tous les obstacles. Certes, le Maroc peut faire appel à Israël pour se protéger et l’Algérie à la Russie pour la soutenir. Cependant cela n’est ni dans l’intérêt du Maroc, ni dans celui de l’Algérie, ni dans celui de la Tunisie. L’histoire de la politique et de la géopolitique du monde montre qu’un pays étranger n’intervient pour aider un autre pays qu'avec des motivations d’intérêt personnel et un appétit de domination. En 1516, les populations algéroises ont fait appel aux frères corsaires turcs Arudj et Khayr al-Dine Barbarousse pour les aider contre les attaques des Espagnols et c’est ainsi que les Turcs occupèrent le Maghreb central (l’Algérie) pendant trois siècles. Khayr al-Dine Barbarousse a tué l’émir d’Alger Salim Toumi et sa femme la princesse Zaphira se donna la mort pour ne pas épouser l’assassin de son mari Khayr al-Dine. Il faut cependant noter que l’effritement du territoire du Maghreb central en plusieurs principautés a contribué à rendre le dessein de Khayr al-Dine possible. suite dans commentaire

🌍 Canal de Panama : le nerf de la guerre commerciale Chine-USA Avec 40 % du commerce maritime mondial reliant Asie et Amérique via ses eaux, le canal de Panama est devenu un théâtre stratégique. En cause ? Les tensions croissantes entre Pékin et Washington. ⚡ Les faits marquants : La Chine, principal utilisateur, investit lourdement dans des alternatives pour contourner les dépendances stratégiques. Les États-Unis, de leur côté, renforcent leur influence historique et surveillent de près les manœuvres chinoises. Pendant ce temps, les Panaméens jonglent avec des défis économiques, environnementaux (manque d’eau pour alimenter les écluses), et politiques, tout en tirant profit de leur position centrale. 🎯 Et alors ? Ce canal, c’est comme un échiquier : chaque mouvement compte, mais au final, ce sont toujours les gros joueurs qui décident des règles. 💬 En résumé ? Le canal, c’est un peu comme un plat de spaghetti stratégique : tout le monde veut tirer une fourchette, personne ne veut faire la vaisselle.

Qu'en est-il réellement de l'immunité évoquée suite à la déclaration du ministre des Affaires étrangères français ? Celui-ci a affirmé que les mandats d'arrêt ne pourraient être appliqués en raison d'une prétendue immunité de Benjamin Netanyahou et Yoav Galant. Pourtant, il n'existe aucune immunité pour les crimes de guerre et les crimes contre l'humanité. L'article 27 du Statut de Rome est explicite : aucune immunité ne peut être invoquée devant la Cour pénale internationale (CPI). Ce texte stipule que les fonctions officielles, telles que celles de chef d'État, de ministre, de général ou de responsable militaire, ne confèrent aucune exception ni privilège. Ces titres n'ont donc aucune valeur devant la CPI. Concernant la compétence de la Cour, un autre point mérite d'être clarifié. Israël a récemment déclaré son intention de contester les mandats d'arrêt. Toutefois, il est essentiel de rappeler que ces mandats sont individuels. Ainsi, un État ne peut pas déposer de recours. De même, Benjamin Netanyahou ne dispose d'aucun droit à un recours contre ces mandats. En réalité, aucune contestation n'est possible dans ce cadre. La seule option pour les personnalités concernées est de se présenter directement devant la Cour et de s'expliquer. Il n'existe pas d'autre moyen pour contester les mandats. En vertu des règles de la CPI, seul le procureur ayant émis la demande de mandat, en l'occurrence Karim Khan, est habilité à introduire un recours. Ce point s’appuie sur des précédents tels que les affaires de la Russie et du Soudan, où des recours ont été introduits par le procureur après un rejet initial par la Chambre préliminaire. Cette procédure a permis de rectifier la demande et de valider les mandats. #droitinternational #palestine #CPI #Netanyahu #Israel #GazaGenocide

🔴 Quelques considérations de votre serviteur pour IndependentArabia au sujet de la montée en puissance de l’Etat islamique en Afrique… Merci Sghaier Hidri pour sa sollicitation « Les craintes concernant le retour de l'organisation d'Afrique, en particulier en raison de la nomination d'un Somalien comme chef, sont déjà légitimes et méritent une attention sérieuse », a déclaré le chercheur politique et historien français Roland Lombardi. « Il existe un contexte africain approprié pour l'expansion terroriste en raison de plusieurs raisons, dont la première est l'échec des pays dans leurs approches de sécurité et la gouvernance en difficulté en raison de la corruption, etc. Des conflits internes aussi qui perdurent , sans parler d'autres faiblesses qui font de l'Afrique un terrain fertile pour la culture et l'expansion des groupes extrémistes. » « Les problèmes de sécurité se poursuivent également alors que des zones telles que le Sahel, le bassin du lac Tchad et la région de l'Afrique de l'Est, y compris la Somalie, sont devenues des arènes d'activités terroristes », a-t-il ajouté. « La nomination d'un Somalien à la tête de l'organisation représente un signal politique qui pourrait servir d'enquête sur l'importance stratégique de l'Afrique dans le monde du terrorisme, et cela encouragerait également la mobilisation accumulée de factions extrémistes sur le continent, ce qui améliore la coopération et la coordination entre les réseaux mondiaux de terrorisme », a-t-il expliqué. https://lnkd.in/d2PJj7m9

La finance islamique, une approche différente de l'investissement. Dans cette interview, le Dr. Munther Al-Qaffaf, expert reconnu, nous explique les principes fondamentaux de ce système économique et ses différences avec la finance conventionnelle. Une vision intéressante pour ceux qui souhaitent mieux comprendre les enjeux de l'économie moderne. #finance #islamique #economiedurable https://lnkd.in/diNjVhCW