#3 : Mille milliards de dollars peuvent-ils changer votre quotidien ?
☕ Édito
Bonjour à toutes et à tous,
Bienvenue dans la troisième édition de cette newsletter Linkedin ! Ici, toutes les deux semaines, nous décortiquons l'actualité autour du métavers et du web 3, pour mieux anticiper les impacts potentiels sur les organisations et la fonction RH. Si vous n'êtes pas encore abonnés, c'est le moment de le faire pour rejoindre les presque 5 000 membres de cette newsletter qui souhaitent rester à l'affût de la vague intrigante et vertigineuse qu'est le web 3. Ce terme ne vous est pas encore familier ? Je vous suggère vivement de lire ou relire la précédente newsletter qui lui était dédiée. Grâce à vos retours, quelques éléments évoluent encore cette fois-ci, et nous aurons bientôt un format optimal. Comme promis, l'édition de la semaine est donc encore plus fournie ! Un grand merci pour votre bienveillance 😇
Aujourd'hui, on va enfin décrypter le concept de NFT, pour comprendre que c'est plus qu'un jpeg surpayé. On va découvrir le futur des plateformes d'emploi, où se trouve le nouvel Eldorado des technophiles, et comment Facebook veut mettre fin aux aggressions physiques dans le métavers (oui oui, vous avez bien lu). Nous prendrons un moment pour aborder un point éthique crucial : va-t-on vivre en permanence dans le métavers ? Ajustez les lanières de votre casque VR, on part en balade ! Bonne lecture 🤓
🤫 La grosse actu : 1 trillion de dollars et des emplois en pagaille... une économie en ordre de marche
Semaine après semaine, les choses s'accélèrent, et les spéculations prennent désormais la forme d'investissements et d'offres d'emplois. Comme vous pouvez le voir avec les trois offres ci-contre en lien avec le métavers (capture d'écran Google), des entreprises ont déjà lancé des recrutements à Paris. En fouinant sur divers sites de recrutement outre-Atlantique, j'ai pu trouver pas moins de 300 offres d'emploi en lien avec le métavers. Et plusieurs dizaines de milliers en lien avec la blockchain. Et vous, c'était quand votre dernier recrutement pour un architecte métavers ?
La banque J.P. Morgan le confirme dans son récent rapport "Opportunities in the metaverse", le métavers représentera rapidement un marché mondial qui dépassera le trillion de dollars, soit mille milliards de dollars. Que l'on soit sceptique ou non sur cette nouvelle mode qui déchaîne les passions et les professionnels du marketing, il faut se rendre à l'évidence : avec 1 trillion de dollars, il y a des chances que cela ait des conséquences sur notre quotidien. Pour vous donner des points de comparaison, ce montant représente deux années complètes du budget de l'état français, ou encore la construction de 1 000 fermes éoliennes offshore... Pour aller un cran plus loin, on apprend que Wall Street, le temple mondial de la finance, vient de déposer une demande de marque pour une place de marché dédiée aux NFT.
Alors, oui avec un tel argent il y aurait beaucoup à faire, et probablement autre chose. Mais notre société est comme un train technologique lancé à toute vitesse, et où le frein serait cassé. Alors quand on voit un truc bizarre à l'horizon, rien ne sert de fermer les yeux ! Les usages liés au web 3 et au métavers vont arriver vite, et comme toute technologie, ce n'est ni bon ni mauvais. Le métavers prendra la forme de ceux qui y mettent le plus d'énergie. Personnellement, c'est parce que je suis terrifié par ce que certains peuvent faire de notre futur, que j'ai envie de mieux le comprendre et y apporter des usages vertueux. Et rien de mieux que de s'éduquer pour ne pas être le dindon de la farce !
🧐 Le focus de la semaine : c'est quoi les "NFT" ?
Nun Fungible Token. Littéralement, les NFT sont des jetons non fongibles. Le terme 'jeton' ou token se réfère au jeton cryptographique (ou jeton d'authentification) dont les données sont encodées dans la blockchain. Et le terme 'non fongible' signifie que ce jeton ne peut pas être strictement égal à un autre jeton. Par exemple, si vous avez un Euro et que j'ai un Euro, nous pouvons nous échanger notre Euro sans aucune conséquence ni déséquilibre. On dit que l'Euro est fongible. Dans un NFT, le jeu de données contenues est a priori unique, car il y aura toujours un ou plusieurs éléments qui divergeront de n'importe quel autre NFT. L'échange pur et simple ne pourra jamais être exactement égal.
Un NFT est titre de propriété unique appelé 'smart contract', ayant des propriétés inscrites dans la blockchain. Il peut s'agir de tous types de formats d'images, de vidéos, d'objets en 3D, etc. L'avantage d'un NFT est que l'on peut vérifier sa rareté, son authenticité et son historique, grâce au fonctionnement de la blockchain, où tout est tracé et infalsifiable.
Dans ce jeton cryptographique qu'est le NFT, il est possible d'y mettre ce que l'on veut en termes de formats : image, vidéo, audio, objet en 3D, texte, etc. Un NFT peut donc servir à représenter tout ce qui peut exister : clip de musique, oeuvre d'art, gif, reproduction d'un chateau en 3D, ticket de cinéma, etc. Ce qui le différencie de n'importe quel autre fichier est son ancrage dans la blockchain, qui permet d'assurer trois propriétés fondamentales des NFT : la rareté, l'authenticité, la traçabilité. On peut savoir combien d'exemplaires du NFT existent, qui les a créés, et qui les a détenus et quand. Tout y est inscrit, et il est impossible de modifier les blocs. Au delà de ces garanties, ce qui fait la valeur d'un NFT est sa valeur propre : une reproduction officielle de La Joconde en NFT sous 5 exemplaires vaudra beaucoup d'argent, alors qu'une copie sauvage ne vaudra pas un centime.
Il y a également des créations originales, comme les Crypto Punks ou les Bored Apes Yacht Club (BAYC). Ces deux collections de 10 000 NFT uniques sont actuellement les plus connues dans le monde, et cumulent plus d'un milliard d'Euros de volume de ventes. Au premier abord, ces NFT sont de simples images autogénérées. Un designer a défini des attributs possibles pour divers aspects : type de lunettes, type de boucles d'oreilles, couleur de la peau, couleur du fond, etc. Un algorithme génère aléatoirement une combinaison de tous ces paramètres pour proposer un NFT unique au moment de l'achat par l'utilisateur.
Il existe à l'heure actuelle plusieurs centaines de projets dans le même genre, et bien souvent, il s'agit de faire de l'argent rapidement, sans réelle idée de la suite. Ca arrive. Mais certains projets proposent une réelle valeur, en utilisant la force des NFT : pouvoir mettre des propriétés par défaut dans le code du NFT. Par exemple, on peut imaginer des royalties à vie pour le créateur du NFT, une évolution du NFT au bout d'un certain temps, ou même l'accès à un club ou une communauté du monde réel. D'ailleurs, chez Gaspard & Joseph, on a inclus dans notre première collection de NFT un accès prioritaire à toutes les futures collections.
Dans quelques années, les NFT seront partout dans notre monde où il y a besoin de prouver l'authenticité : contrats de travail, badges de compétences et diplômes, baux de propriété, garanties, certificats d'authenticité, tickets de cinéma ou de concert, verrouillage et démarrage de voitures, domotique, etc. On peut définitivement se moquer de la mode des NFT inutiles, qui de toute manière finiront par valoir zéro. Mais les NFT sont une révolution à venir pour notre rapport à la confiance dans les échanges. Longue vie aux smart contracts !
🕵️ La revue web 3
Il y a près de 6 mois, j'avais vu émerger cet OVNI dans l'univers de la blockchain. Et bien que sceptique à l'époque, je me rends compte aujourd'hui que leur promesse est réelle et possible. Braintrust, c'est en fait beaucoup de choses. C'est tout d'abord une plateforme qui permet à des freelances de trouver des missions. Jusque-là, rien de bien innovant. Mais si je vous dis que Braintrust est détenu par ces mêmes freelances, qui accumulent des droits au fil de leurs missions réussies, alors là on est en plein dans le web 3 ! Le modèle Braintrust est un exemple concret, qui montre comment les géants actuels comme Malt ou Upwork pourraient rapidement se faire détrôner s'ils ne s'adaptent pas. Et vous, vous recrutez comment vos freelances ? Prenez le temps de creuser 👀
Justement, on parlait de ces fameux NFT un peu plus tôt. Après Twitter, Tik Tok et Facebook, il était logique que Google rentre dans la danse. Et c'est donc avec Youtube que le géant va faire ses premiers pas dans le domaine, c'est Coin Tribune qui nous l'annonce. Il va falloir un peu de temps aux géants du numérique pour appréhender et s'approprier les logiques de décentralisation inhérentes au web 3. En effet, dans le monde actuel, les modèles économiques reposent sur la centralisation. Peut-être que l'émergence progressive de Theta, une plateforme de streaming détenue par ses utilisateurs, va pousser Google à aller plus vite et plus loin ! En attendant, Youtube espère que la mise en place de NFT génèrera pour les créateurs de nouvelles sources de revenus. A défaut de détenir le réseau...
Pour être plus exact, c'est l'édition suisse du magazine 20 Minutes qui qualifie la Suisse de 'Mecque du métavers'. De nombreuses entreprises technologiques semblent avoir fleuri ces cinq dernières années autour de Zurich et Lausanne. Apple, Facebook et Microsoft ont même un pied à terre bien établi dans la région, pour développer des technologies autour de la réalité étendue (ou XR). Il semblerait que la prochaine Silicon Valley soit plutôt une Metaverse Valley. Au lieu de fournir des composants électroniques à base de silicone, elle fournira des composants numériques pour agrémenter les métavers. Si vous ne comprenez pas le sens de tout ce débordement de technologies virtuelles, alors n'hésitez pas à lire les commentaires de l'article suisse, vous trouverez de nombreux compagnons de route !
Une londonienne, adepte des environnements en réalité virtuelle, a récemment déclaré avoir été agressée par plusieurs avatars masculins dans Horizon, le proto-métavers de Meta (Facebook). Concrètement, il semblerait que les avatars aient eu des comportements physiques et verbaux violents envers l'avatar de la jeune femme, qui n'a pas eu d'autre recours que d'enlever son casque pour y mettre fin. Depuis, Facebook a activé par défaut l'option de distanciation physique, qui empêche des avatars de s'approcher trop près du vôtre. En effet, l'option était déjà disponible, mais la londonienne ne l'avait pas activée.
Recommandé par LinkedIn
A titre personnel, je ne sais pas trop quoi penser de ce fait divers, sinon qu'il y a encore du chemin à faire avant que les environnements virtuels permettent de se sentir pleinement en sécurité. Mais c'est compréhensible après tout, puisque tout reste à créer. Partout où il y a de nouveaux espaces, il y a des zones de non-droit qu'il convient de rectifier. Ou alors ça aurait pu être pensé avant... bien avant...
Depuis la popularisation du concept par Meta (Facebook), près d'une centaine d'applications mobiles existantes ont modifié leurs descriptions pour y inclure le terme "métavers". Il s'agit là d'une réaction marketing tout à fait normale, et ces créateurs auraient tort de ne pas en profiter. La plupart des gens n'arrivent pas à comprendre la différence entre les environnements virtuels précédents, et cette nouvelle vague appelée métavers. Donc si on commence à appeler métavers tout ce qui se vend, il est possible que certains abandonnent l'idée de s'y intéresser ! Pour rappel, les vrais métavers reposent sur une vaste quantité d'usages possibles dans un environnement virtuel en pleine immersion (on est dans l'écran), et ont vocation à être décentralisés, pour appartenir à leurs utilisateurs. A ce sujet, intéressant de voir comment Meta gèrera cette deuxième partie...
En janvier 2022, Samsung a ouvert sa première boutique virtuelle dans le métavers Decentraland. Il n'aura pas fallu longtemps à un groupe de protestants anti-capitalistes pour organiser une manifestation devant la nouvelle boutique. C'est ce que l'on appelle se battre avec les armes de son ennemi. En effet, pour que cette opération soit possible, il est nécessaire de disposer d'un portefeuille de cryptomonnaies, et les tee-shirts et pancartes qu'ils portaient sont des NFT créés pour l'occasion. Et inversement, car si Samsung est bien l'un des symboles du capitalisme, il a établi sa vitrine dans Decentraland, un métavers décentralisé créé dans un esprit de partage des ressources. Mais bon, pour en revenir à la manif dans le métavers : qui gère les relations sociales dans votre entreprise déjà ? C'est le moment de lui acheter le dernier Oculus...
Samsung n'est donc pas le seul à surfer sur des symboles de décentralisation pour faire de l'argent. C'est en effet au tour de la banque J.P. Morgan de construire une vitrine dans Decentraland. L'objectif de la banque virtuelle Onyx n'est pas seulement de faire de la représentation, mais plutôt de se positionner sur les financements bancaires en lien avec l'immobilier du métavers. Au fur et à mesure que les prix montent (déjà 12 000 Euros la parcelle), les utilisateurs vont recourir à des crédits, des hypothèques, et même proposer leurs biens à la location (c'est un fait). Loin de débarquer sur le sujet, J.P. Morgan avait déjà créé il y a quelques temps son propre stable coin baptisé le JPM (un stable coin est une crypto-monnaie indexée sur la valeur d'une monnaie fiduciaire telle que le dollar). Et vous, vous êtes prêts à payer votre maison dans le métavers plus cher que votre appartement du monde réel ?
Quelques autres articles qui pourraient vous intéresser :
🧟 La minute Black Mirror : vivre dans un monde entièrement virtuel ?
Dans quelques années, les métavers seront suffisamment sophistiqués pour que nous puissions y passer tout notre temps, jusqu'à en tomber de sommeil dans le monde réel. Si ce scénario est horrifiant, il n'en est pas moins techniquement réalisable. Dans ces métavers, il sera possible d'aller travailler dans son open space virtuel, sortir faire une balade dans son quartier métaversique, se poser dans un parc pour discuter avec son meilleur ami, et même aller faire son footing dans les collines locales du métavers. Bien évidemment, tout cela avec un casque sur la tête. Encore une fois, c'est effectivement horrifiant.
Pour aller encore plus loin, imaginons que vous souhaitiez limiter votre temps passé dans le métavers, pour pouvoir garder pied avec le réel. Vous décidez donc de sortir faire votre footing pour de vrai, dans le vrai monde. Et là vous enfilez vos baskets connectées, vos lentilles de réalité augmentée, et vous vous retrouvez à avoir pratiquement la même interface visuelle devant vous que lorsque vous êtes dans la peau de votre avatar. Avec ces lentilles, votre vitesse et la distance parcourue s'affichent devant, tout comme les détails géographiques notoires. Lorsque vous croisez des personnes, la lentille analyse rapidement pour savoir si cette personne fait partie de votre répertoire de contacts ou non. Que ce soit dans le monde virtuel ou le monde réel, vous êtes désormais en mesure d'augmenter tous vos usages, et d'avoir des informations sur tout ce qui vous entoure, via votre interface visuelle et votre assistant personnel virtuel.
Si bien qu'à un moment, vous finissez par ne plus faire la différence entre vos séquences dans le monde virtuel et celles dans le monde réel. Car il est probable que votre mémoire confonde les deux réalités au fil du temps. Imaginez ce moment où vous racontez un souvenir à un ami, et où vous vous rendez compte que vous ne savez plus trop si c'était dans le métavers ou non... Vous n'êtes pas dans un épisode de Black Mirror, vous êtes dans une société prête à injecter des trillions de dollars dans des technologies qui vous facilitent le quotidien en échange de données, de temps ou d'argent.
Comment faire pour éviter de basculer dans un extrême de ce type ? Concrètement, il y a deux sujets. Le premier sujet est de limiter autant que possible l'intrusion de la technologie dans nos vies. Il y a tout un tas de moments où la technologie n'est pas nécessaire, ou en tout cas largement dispensable. Lorsque nous faisons notre footing, c'est sympa d'avoir un tableau de bord devant ses yeux, mais un chrono ou une montre font aussi très bien l'affaire. Pareil pour de nombreux autres usages. À nous de faire la part des choses, en nous éduquant sur ce qui doit être techno-amélioré ou pas. Le deuxième sujet est la nécessité de différencier les mondes. Si nous devons vraiment avoir des interfaces visuelles dans le monde réel et d'autres dans le monde virtuel, alors il est critique de s'assurer que ces interfaces soient très facilement différenciables, et ne puissent pas être confondues. Nous devons nous assurer de pouvoir garder nos repères du monde réel, pour ne pas perdre pied.
Certains diront que le mieux serait que tout cela n'existe pas. Mais c'est se voiler la face sur le recours excessif de notre société à la technologie, et penser n'est pas agir. Quand on parle de montants en trillions, il faudra plus qu'un voeu pieu pour arrêter ce train fou en marche. Ce que nous pouvons faire d'utile, c'est nous éduquer et éduquer nos proches sans se laisser envahir par nos peurs, pour limiter l'intrusion de la technologie sans en renier les bienfaits.
Surtout, nous pouvons oeuvrer pour que le monde réel soit préservé autant que possible, en contribuant à la mise en place de règles éthiques cohérentes dans les métavers, et dans la réalité augmentée. Notre société, nos relations, notre planète, et nos biens seront in fine ce avec quoi nous vivrons réellement, peu importe le temps passé dans un nuage de 1 et de 0. Je refuse de diaboliser la technologie et de lui reprocher tous les maux du monde. C'est grâce à la science et la technologie que nous avons la médecine moderne, les panneaux solaires, les télécommunications ou encore les transports rapides. La technologie n'est ni bonne, ni mauvaise. En revanche, l'humanité n'est probablement pas suffisamment mature pour l'utiliser à un degré si avancé.
Notre utilisation des technologies modernes, par manque de maitrise des enjeux, crée des problèmes que seules des technologies encore plus avancées peuvent résoudre. Nous sommes lancés dans cette spirale infernale, alors même que nous ne prenons pas le temps de murir en tant qu'espèce, en tant que civilisation, et en tant qu'individus. Je suis scientifique, et je reconnais les apports de la technologie. Je reconnais le potentiel du métavers, et je ne le renierai pas simplement par peur ou par principe, tout comme je ne l'accueillerai pas les yeux fermés. Je souhaite embrasser le progrès, mais avec une étreinte très claire et ferme, pour qu'il émerge dans un cadre défini, et non pas juste sous la pression d'un marché, ou le rêve d'un idéaliste. Avec cet optimisme prudent, alors seulement on peut murir en même temps que les technologies et la société.
💁 Fin de la mise à jour
Si vous avez apprécié cette newsletter, pensez svp à liker le post, à vous abonner, et à partager à toutes celles et ceux que le sujet pourrait intéresser. Je vous invite également à commenter et rebondir, et surtout à me faire part des questions que vous pourriez avoir. Et rappelez-vous, risques comme opportunités, il convient de tout explorer 😌
A dans deux semaines, prenez soin de vous et de vos proches, et merci pour votre confiance. En attendant, j'espère fort que les concepteurs de casques de réalité virtuelle n'ont jamais vu le bijou cinématographique qu'est Total Recall, avec Arnold Schwartzenegger. Oui, dans Total Recall, la VR c'est pas du bluff, et ça fait un peu équipement de torture. Allez bye bye !
Au plaisir de vous lire 🙏
Pour retrouver les deux newsletters précédentes, c'est par ici, ou par là :
🦄 Fondatrice Overgang, conseil + learning + événementiel | 👾 Co-créatrice La Fresque de la Marque Employeur | 😎 Animatrice La Fresque du marketing | 🚀 Speaker #SMARTworking | Organisatrice de Wake UP! wake-up.events
2 ansCette newsletter est une mine d'or ! Analyse, décryptage, éclairage, storytelling... bref un incontournable lorsque l'on s'intéresse à notre avenir ! A conseiller à TOUT LE MONDE 😀 merci Jeremy Lamri
Formateur et expert ChatGPT et IA génératives | Cofondateur de darksab.com, agence de conseil et formation en IA centrée sur l'humain
2 ansTop contenu ! Bravo ! A quand une NL spéciale les uses cases du metaverse ? 😅
Vice Présidente Apivia Macif Mutuelle / Aéma Groupe
2 ansMerci pour cet éclairage bien réel !
Directrice Developpement Durable chez Polyvia. J'accompagne la filière polymères et composites dans sa transformation
2 ansMerci Jeremy Lamri pour cette newsletter éclairante et pédagogique. Se posera aussi la question de l’impact sur l’environnement. Quand Marc Zuckerberg parle de décarbonation grace à moins de voyages en avion….Quid de la consommation impalpable de la data?
University relations & Strategy Manager écoles & uni - Intervenante - Coach
2 ansMerci Jeremy pour cet article. #education... encore, toujours. Si cela permet aux humains de se satisfaire d'un SUV dans le metavers plutôt qu'en vrai sur la planète... pourquoi pas, mais qui va planter les arbres et les légumes donc nous avons besoin dans la vie réelle pour tenir dans la vie virtuelle ?!? affaire à suivre. Hâte de lire tes prochains articles !