5 choses communes chez les personnes qui réussissent dans la vie
Les personnes qui ne « réussissent pas dans la vie », ont des manquements à une ou plusieurs de ces 5 choses. Simple.
1. Avoir un rêve
Commençons là, c’est la toute première étape pour réussir dans la vie. Évident? Je ne crois pas, car beaucoup de gens ne rêvent pas. Ils sont dans leur quotidien et croient que la réalité est fixé en dehors d’eux, et qu’ils sont victimes avec zéro capacité à avoir un impact. je crois que nous avons beaucoup plus de capacité à créer notre réalité que nous l’imaginons.
La vérité c’est que si nous sommes bloqué dans un job que nous n’aimons pas, c’est que nous avons laisser ça arriver. Rêvez, c’est la première étape cruciale pour créer votre réalité.
Rêvez grand même (ça peut sonner présomptueux). Mais plus j’avance dans la vie, plus je considère à quel point c’est un devoir moral de rêver grand.
Pourquoi rêver grand? Selon moi — je mettrais cette nuance — il ne s’agit pas tant de la taille du projet, il s’agit surtout du facteur de croissance. Les entreprises qui génèrent moins d’argent que d’autres, mais qui ont un facture de croissance puissant, sont celles où les investisseurs avertis investissent. Les petites idées ne poussent guère, les gens, les clients, les fans, les communautés, ne se rallient pas derrière les petites idées. Les grandes idées poussent comme de l’herbe bourré de fertilisant radioactif (si vous appliquez les 4 autres éléments).
2. Avoir un plan
D’accord la carte n’est pas le territoire, mais vous avez quand même besoin d’un plan. Puis vous vous adaptez (dès le premier pas d’ailleurs). Mais au moins vous savez dans quelle direction aller. Vous savez les actions concrètes à prendre.
Ça ne suffit pas de rêver, sans plan vous ne faites rien, car vous n’avez programmé votre cerveau à rien. Si vous dites, « je veux gagner plus », ça ne va pas vous aider. Si vous dites, je veux devenir consultant en nutrition et gagner 3000 euros/mois d’ici 3 ans, vous avez maintenant l’objectif pour réaliser votre plan.
Chaque jour nous devrions avoir une to-do liste de prête, avec 2-3 actions importantes, nous attendant à la sortie du lit. Nous devrions avoir un plan de l’année collé sur le frigo (ou notre bureau) — avec des points clé. Nous devrions avoir un plan à 2, 5, 10 ans.
Plus longtemps vous êtes investi à travailler au plan d’un autre, plus il est difficile de bifurquer vers votre plan à vous. Car les bénéfices que donnent un patron et entreprise sont confortables. Ils prennent un crédit maison sur 25 ans, ne comptent pas pour leur mariage, ont des enfants, achètent une belle voiture (pour impressionner leurs collègues), et ça y est, vous êtes un esclave. C’est bien? Stop les conneries, ils vivent leur vie à une fraction infime de ce qu’elle pourrait être en prenant la voie entrepreneuriale.
3. Avoir une expertise ou savoir spécifique
Je repense à ces gens qui veulent devenir blogueur. Blogueur n’est pas une expertise, ce n’est pas un savoir spécifique. Chaque solopreneur qui réussi sur internet à une expertise spécifique. Marketeur apprenant aux autres le marketing (malin et très pertinent), spécialiste de la mode masculine vendant ses créations avec partenariat avec des usines, designer front-end pour startups. Il l’a acquise soit avant de se lancer dans l’entrepreneuriat, soit il l’acquiert sur le tas, en chemin en partageant ce qu’il apprend, un peu comme j’ai fais moi-même.
Connaitre beaucoup de choses dans beaucoup de domaines n’a guère de valeur. A part si vous êtes l’auteur du fabuleux blog Brain Picking par exemple (5 millions de visiteurs/mois).
La bonne nouvelle c’est que développer une expertise ou une compétence à forte valeur ajoutée ne prend pas tant de temps que ça. Disons qu’en 2 ans, si vous travaillez dur, vous pouvez avoir acquérir une expertise ou savoir spécifique pour laquelle les gens sont prêts à vous payer.
2 ans c’est une sacrée durée à vous investir, mais ça n’est rien à l’échelle d’une vie.
Certains arrêtent totalement de développer leurs compétences, et se reposent sur leurs lauriers, jusqu’à un jour, où lentement, mais surement, ils se retrouvent totalement obsolète — et c’est la catastrophe « out of the game ». Ils ont aussi besoin d’avoir un job qui bouffe leur temps pour payer les factures, puis en avançant en âge, on a souvent de responsabilités, les enfants, des crédits, etc… rajoutant de la difficulté à développer un savoir spécifique.
Développez continuellement un savoir spécifique qui fait qu’on se souvient de vous, qu’on parle de vous, qu’on sait qui vous êtes (partagez-le sur votre plateforme, votre blog), qui fait que vous allez pouvoir augmenter vos tarifs d’année en année, voire de mois en mois.
4. Être prêt à travailler dur
J’ai connu quelqu’un il y a 15 ans qui fumait beaucoup de marijuana. Ce gars avait des idées business extraordinaires — comme créer un cyber café nouvelle génération riche en expériences intenses. Il faisait les plans sur papier de l’architecture même du bâtiment, de tout, dans des détails assez hallucinants de précisions et de réflexion. Il avait un capital de départ. Il était prêt à aller voir les banques, lever des fonds de 100.000 euros. C’était impressionnant.
Sauf qu’il n’a jamais appliqué aucun de ses divers plans. Rien!
15 ans plus tard, ce gars très intelligent vit de petits jobs, alors qu’il aurait pu avoir son propre business (la liberté, l’argent, ect…) depuis longtemps. Je ne sais pas s’il fume toujours autant de marijuana.
Le dur travail est inévitable si vous voulez créer un business à succès, créer votre réalité, créer votre carrière de rêve, ou accomplir quoi que ce soit de remarquable. Derrière chaque personne qui réussie publiquement, il y a des milliers d’heures de travail en privé.
Travailler dur ne veut pas dire 15h/jour — ce que je croyais avant. En fait, les études montrent qu’au dessus de 50heures de travail par semaine, les retours sont de plus en plus diminués. Par contre, prendre le temps pour faire du sport, bien dormir, d’avoir une vie après le travail, nous permet d’être meilleur au travail.
Travailler dur veut dire travailler intelligemment surtout. Je crois que nous avons besoin de travailler régulièrement sur notre plan en mode CEO, autant que produire.
5. Ne pas prendre « non » (ou les obstacles) comme une réponse
Vous allez échouer — parfois les deux genoux à terres en ayant travailler longuement sur un projet. Vous allez avoir des haters. Vous allez vous faire parfois ostraciser sévèrement pour votre choix entrepreneurial, ou différent de la norme (faites attention à qui vous avez autour de vous). Vous allez avoir des bloques, des murs, sur votre chemin, où des DIP — un Défi Possible ou Impossible. On va vous dire non 20x (ou plus) à l’affilé. On va vous dire que ce que vous faites ne marchera pas.
Si vous êtes du genre à être peu persévérant, ne pas y croire quand la balance penche en votre défaveur, c’est mort.
Si les gens ne disent pas que vous êtes un peu taré, ou fou, ce n’est pas bon signe.
Mots de fin pour réussir dans la vie
Si vous avez le voyant au vert pour ces 5 choses, et que vous êtes patient, vous allez réussir dans la vie et votre carrière.
- Il y a des gens qui ont des rêves, mais qui n’ont pas de plan, et donc qui ne vont nulle part.
- Il y a des gens qui ont le plan, les rêves, l’expertise, qui sont prêt à travailler dur, mais qui se retrouvent découragé par les refus, les non, les bloques, ou les histoires négatives que racontent les autres. Faites attention à l’histoire (la votre) que vous choisissez de croire.
- Nous avons besoin de ces 5 choses ensemble.
« Ce que nous faisons tous les jours compte plus que ce que nous faisons une fois de temps en temps »
Co fondatrice Hair Expert Academy @HairExpertAcademy_france
9 ansJ'ai les 5 donc ça va le faire ! Quand je sais pas bien précisément, mais ça le fera !! Lol
Chef de produit digital et vidéo chez La Provence Médias / Fondateur du site Le Barboteur
9 ans👍🏻🔛