Après avoir fin juin 1999,  et fait ces 2 songes, le visage enflammé du Christ et la croix glorieuse, je rejoins la colline du Soleil (Dinéault)

Après avoir fin juin 1999, et fait ces 2 songes, le visage enflammé du Christ et la croix glorieuse, je rejoins la colline du Soleil (Dinéault)

Vous riez peut-être, sauf que tout ce que je vous dis là est véridique et vérifiable.

Il est évident que lorsque j'ai vécu cet évènement, je n'avais pas fait ce constat,

  • que j'ai fait en relisant toute mon histoire spirituel,
  • en m'appuyant sur les noms de lieux et de personne où le Seigneur m'a fait cheminé.

C'est fin juin, lors d'une rencontre de clôture de l'année pastorale, organisée au Prieuré de Dinard, dont je vous parlerai dans mon prochain article, car il a un lien avec mon ancêtre Saint Josse,

qu'un appel à volontaire pour servir sur cette nouvelle école, que ne voyant personne se proposer, je me suis proposé de servir,

  • en plus de l'hôpital des Armées où je servais
  • et où j'avais subi en vrai, une violente attaque du démon, l'année précédent mon mariage spirituel.
  • après en avoir subi une autre en songe une autre attaque de ce démon, alors que j'avais appris l'acceptation de ma demande à servir comme aumônier militaire laïc, au sein du Diocèse Aux Armées.
  • Tout cela vous pouvez le découvrir sur ma page Facebook dans les évènements principaux qui ont marqués ma vie

Entre août 1999 et août 2000, j'ai donc servi cette école, situé sur la colline du soleil,

aux côtés du Colonel Michel Napora (l'heure du soleil) commandant cette école,

  • un bon chrétien qui participa aux activités de l'aumônerie et qui m'a bien protégé, à l'image de l'Archange Michel

Décidément, j'étais abonné aux Michel :

  1. Michel COPPENERATH à Tahiti,
  2. Michel DUBOST l'évêque aux Armées qui m'a ordonné et me nommera officiellement aumônier de cette école en septembre 2010,
  3. Michel NAPORA

Et devinez quoi,

en arrivant sur cette école, le Diocèse fit du Curé de Châteaulin, tout près de Dinéault, le modérateur de ma charge pastorale ;

  • Châteaulin où j'ai pu servir à l'autel comme diacre
  • au côté de son Curé

4. Michel MAZEAS (l'archange de Matthias ou Mathieu, ce que veut dire Mazéas en Bretagne)

Servir le Seigneur, en étant accompagné de 3 Michel :

  • mon évêque, mon commandant d'unité, et mon modérateur,
  • j'avoue que le Seigneur m'avait gâté


Pourquoi c'est le curé de Châteaulin qui fut choisi par le Diocèse Aux Armées pour être le modérateur de ma charge pastorale,

c'est parce qu'il était en même temps "le curé de Dinéault", la commune où est implantée l'école de gendarmerie.

  • En regardant l'étymologie du mot "Châteaulin",
  • j'ai découvert que, sans que je le sache (je ferai le lien que beaucoup plus tard)

Saint Thérèse me rapprochait des ancêtres de Saint Josse,

Aucun texte alternatif pour cette image

Budic CASTELLIN (CASTEL- LIN ou Château de LIN)

étant un descendant de Saint Judicaël Roi de Domnonée, auquel Saint Josse aurait du succéder, s'il n'avait pas renoncer au Trône, pour se consacrer totalement au Seigneur.

  • tous deux descendants de Saint Riwal ou Rivoual,

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Saint Riwal (ou Saint Rivoal) patron d'un petit village de l'arrondissement de Châteaulin, près du Mont Saint Michel de Brasparts.

à savoir du village de Saint Riwal

  • faisant partie de l'Arrondissement de Châteaulin
  • situé tout près du Mont Saint Michel de Brasparts

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Comme vous le voyez sur cette photo,

j'ai eu l'immense honneur d'être fait chevalier d' ordre national du mérite, en 2003,

  • par l'officier de gendarmerie le plus décoré de France,
  • sur le front des troupes,
  • sur la colline du Soleil,
  • au milieu des gendarmes qui sont les descendant des chevaliers qui du Moyen-Age à la Révolution, assuraient l'ordre au sein de la Maréchaussée.

Revenons à la photo de couverture et à l'origine du nom de la commune de Din-Héol (la colline du soleil)

C'est quand même incroyable que je me suis retrouvé placé sous les ordre d'un colonel qui s'appelait "Michel" NAPOR" (heure du Soleil), sur cette commune appelé "Colline du Soleil".

  • D'autant plus que lorsque j'ai été muté sur Brest,
  • c'est Michel DUBOST qui m'avait ordonné, qui m'a muté à Brest, à l'hôpital des Armées.
  • Sans doute parce que le plan de Dieu était que je devienne aumônier de cette école de gendarmerie, pour me rapprocher de la famille de Saint Josse.

J'ai donc été muté sur Brest, après avoir entre mon ordination et juin 1996,

reçu de grandes grâce de Sainte Thérèse et de Saint Michel,

  • Saint Michel, qui je vous le rappelle, est le Saint Patron de l'abbaye Bénédictine, Saint Michel de Plouharnel (du village Saint Armel)
  • où mes étoles herminées royales, ont été confectionnées,
  • m'ayant été remise par la mère abbesse en main propre, qui portaient les 2 même premiers prénoms de naissance de Sainte Thérèse : Marie-Françoise et comme nom de famille : EUVERTE. (décédée depuis)

Elle portait le nom de Saint Euverte, d'un sous-diacre célèbre de l'Eglise de Rome,

qui partit en Gaule à la recherche de son frère et de sa sœur, enlevés par des barbares 45 ans plus tôt.

  • et qui de passage sur Orléans où il est invité à assister aux cérémonies de l'élection du nouvel évêque ;
  • va se trouver désigné à 3 reprise par une colombe entrée miraculeusement dans l'église, et qui fait qu'il fut élu 4ème évêque d'Orléans
  • Je vais pas vous raconter toute son histoire. Si cela vous intéresse, voici le lien d'un article Wikipédia qui en parle

Après avoir je vous le rappelle, le lendemain de mon ordination, reçu en cadeau de Thérèse,

cette statue d'elle trouvé dans le grenier de mon aumônerie (symbolisant le Ciel),

le 2 octobre 1995, jour de la fête des Anges Gardiens,

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Janvier 2012, départ de Lisieux avec une vertèbre de Thérèse, et son cadeau, pour parcourir pendant 3 mois 8000 km, visitant les aumôneries militaire du grand ouest.

  • le lendemain de la fête de Sainte Thérèse le 1er octobre,
  • et le surlendemain de mon ordination le 30 septembre dans le Lisieux Breton à Lorient, sur le quartier Saint Armel (allias Arthur)

après que le premier jour de ma retraite d'ordination, le lendemain de l'anniversaire de sa prise de voile,

Thérèse m'avait accueillie elle-même avec son grand reliquaire,

  • dans l'infirmerie de son Carmel.

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où le 30 septembre 1897

elle avait été emporté au Ciel

  • pour vivre sa vocation dans le Coeur de l'Eglise : ÊTRE L'AMOUR DANS LE COEUR DE L'EGLISE,
  • pour donner à l'Eglise "une Nouvelle Pentecôte d'Amour",
  • en union avec la Vénérable Marthe ROBIN, sa grande amie,
  • devenue avec elle en 1977 mon ange gardien.

Et devinait d'où revenait ses reliques que nous avons remis à l'infirmerie ?

de la Basilique Notre Dame des Victoires,

  • alors que 8 jours plus tôt, j'étais à mon bureau dans le Foyer Saint Pierre, sur la Paroisse Saint Louis, au pied de l'église Notre Dame des Victoires de Lorient.

C'est donc au pied de Notre Dame des Victoire, de Louis de Saint Pierre,

que dans mon aumônerie, surnommé "le Foyer Saint Pierre" (nom d'un ancien foyer du soldat et du marin ouvert par un prêtre de la paroisse Saint Louis, servant comme aumônier militaire de la Marine.

que Thérèse m'a fait ce deuxième cadeaux,

après celui qu'elle me fit à Lisieux,

  • m'en faisant repartir le 29 septembre au matin, jour de la Saint Michel,
  • que je retrouvais le lendemain pour mon ordination, dans Mgr Michel DUBOST aumônier en chef du Diocèse Aux Armées,
  • à l'image de l'Archange Saint Michel, Aumônier en chef des Armées des Cieux,
  • recevant 2 belles étoles royales venant de l'abbaye Saint Miche de Plouharnel (village d'Armel)

pourquoi ce foyer devenu l'aumônerie de la marine ce qu'il était du temps de ce foyer

portait ce nom de Saint Pierre

  • Tout simplement parce que son ouverture était rue de rue Saint Pierre (nom d'un ingénieur de la maison du Roi , à l'origine d'un projet de construction d'une nouvelle église à Lorient, qui n'a pas vu le jour car il est mort entre temps.

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J'ai reçu ce cadeau, dans le grenier "la chambre haute" du Foyer Saint Pierre (l'aumônerie de la marine où j'avais mon bureau)

qui se trouvait au pied de l'église Notre Dame des Victoires sur la Paroisse Saint Louis.

  • Notre Dame des Victoire
  • si chère à la famille MARTIN et à Sainte Thérèse,

je vous invite si vous êtes intéressé

Notre Dame des Victoire comptait aussi beaucoup pour le Roi Louis XIII

ce qui fait, que c'est lui qui fit construire en 1629, cette Basilique Notre Dame des Victoire à Pari,

  • répondant Augustins déchaussés, dits « petits pères »,
  • qui lui demandent l’argent nécessaire à la construction d’un nouveau couvent,
  • sur les trois hectares qu’ils ont acquis entre la Porte de Montmartre et la Porte de Saint-Honoré, tout près d’un terrain consacré au jeu de paume, le Mail.

Le roi exprima alors le souhait de voir l’église dédiée et consacrée en l’honneur de la Sainte Vierge,

sous le titre de Notre-Dame des Victoires,

  • en reconnaissance de toutes les victoires qu’il avait remportées par sa protection tant sur les hérétiques rebelles,
  • que sur les autres ennemis de son royaume,
  • et, surtout, en souvenir de la prise de La Rochelle sur les protestants révoltés.

Le 8 décembre 1629, veille de l’événement, et fête de l’Immaculée » ou de la « Sacrée Conception » de la Vierge Marie (qui devint l’Immaculée Conception, après la proclamation du dogme, en 1854),

  • l’archevêque de Paris, Mgr de Gondi, planta la croix à l’endroit destiné à la construction de l’église, en présence des trente religieux du couvent.

Le dimanche 9 décembre 1629,en la fête de l'Immaculée Conception,

  • le roi en pose solennellement la première pierre, en présence des seigneurs de la Cour et des magistrats de la ville. Pour cette pose, une chapelle en charpente fut édifiée, et majestueusement ornée. Plusieurs tentes et de riches tapisseries vinrent décorer le lieu de la cérémonie.

Huit année plus tard, en novembre 1637 :

  • Le Frère Fiacre, l’un des religieux augustins, voit dans la Basilique Notre Dame des Victoires, la Vierge Marie lui apparaître.

Elle lui présente « l’enfant que Dieu veut donner à la France »,

  • le futur Louis XIV, l’héritier tant espéré du royaume.

À quatre reprises, entre 1h et 4h du matin,

  • le religieux aura devant les yeux la Mère du Christ accompagnée de l’enfant royal,
  • puis de Jésus-Christ.

C’est le cri d’un tout-petit qui a attiré l’attention du moine :

  • « Il tourna la tête du côté de la voix, rapporte le manuscrit des archives du couvent (conservé à la Bibliothèque Nationale, contresigné du vicaire général et du prieur de l’époque),
  • et aperçut la Sacrée Vierge environnée d’une belle et agréable lumière, ayant un enfant dans les bras,
  • vêtue d’une robe bleue semée d’étoiles,
  • ses cheveux pendants sur ses épaules,
  • trois couronnes sur sa tête (comme la Tiare), assise sur une chaise et qui lui dit :

« Mon enfant, n’ayez pas peur, je suis la Mère de Dieu » .

  • Sur cela, il se jeta en terre pour adorer l’enfant qu’elle tenait entre ses bras, pensant que ce fut Jésus-Christ,
  • mais la Vierge sacrée lui dit :

« Mon enfant, ce n’est pas mon Fils,

  • c’est l’enfant que Dieu veut donner à la France. »
  • Cette première vision lui dura bien un gros quart d’heure… ».

Dans cette révélation, qui est portée, non sans mal, à la connaissance de la reine et du roi,

la Vierge demande trois neuvaines :

  • à Notre-Dame des Grâces (à Cotignac, en Provence),
  • Notre-Dame de Paris
  • et Notre-Dame des Victoires.

Frère Fiacre s’en acquitte du 8 novembre au 5 décembre 1637.

Après la révélation de Frère Fiacre,

  • et alors que la grossesse de la reine était déclarée depuis quelques semaines,
  • Louis XIII formula le vœu de consacrer la France à la Vierge Marie.

Le 6 janvier 1638, le texte du Vœu royal fut adopté,

puis signé le 10 février par le souverain, avec les lettres patentes

  • fixant la consécration publique au 15 août de la même année, à Notre-Dame de Paris.

Trois siècles plus tard (15 août 1938),

l’un des chefs de la maison de Bourbon, le prince Xavier, renouvela le geste de son illustre ancêtre

  • en consacrant notre pays à Notre-Dame des Victoires,
  • dans un texte solennellement déposé au pied de la Mère de Dieu.
  • Le rouleau aux armes de France refléta, à l’époque, une évidente contestation politique.
  • Il n’en reste pas moins l’un de ces actes de foi qui illustrent la dévotion mariale des princes de Bourbon.

Le 5 septembre 1638, Anne d’Autriche donne naissance à un fils – Louis, Dieudonné – au château de Saint-Germain en Laye.

  • La Gazette de France peut alors écrire, le fait n’ayant pu échapper à la Cour :
  • "il y a un an, un religieux avertit la reine qu’elle devait accoucher d’un fils."

Toute sa vie, Frère Fiacre mettra les grâces de sa prière au service de la famille royale

  • mais aussi des pauvres réclamant son intercession
  • et de la paix, qui fut sa constante préoccupation.


Pourquoi vous ais-je parlé de Louis XIII et de son fils Louis XIV, le Roi Soleil

Parce que je me sens très proche de Louis XIII et de son fils,

  • étant né le 10 février 1951,
  • jour anniversaire du don qu'il fit le 10 février 1638, à la Vierge Marie de sa couronne et de son royaume, le royaume de France, en lui consacrant son Royaume.
  • pour la remercier de lui avoir donné un héritier.

que la Vierge lui donna je pense, pour le remercier de lui avoir fait bâtir 8 ans plus tôt cette Basilique qu'il lui consacra.

d'autant plus que né au pied de Saint Joseph

  • et qu'ayant failli mourir,
  • ma mère elle-même me consacra ce jour là à la Vierge Marie ;
  • et comme vous le savez, consacrer un enfant à sa naissance, à Dieu où à la Vierge Marie, comme le fit Anne la mère du petit Samuel et les Parents de Jésus pour leur enfant Jésus, le jour de sa présentation au Temple,
  • c'est le lui donner, c'est le mettre à part pour elle.

surtout qu'en me consacrant à elle

elle fit le voeu que je devienne prêtre.

  • J'avoue qu'elle a été déçu, quand j'ai répondu au curé qui me proposait de me faire entrer au petit séminaire, à cause de ma grande piété,
  • que je préférai fonder une famille,

sans savoir qu'un jour, Sainte Thérèse qui était devenu ma confidente dans mon enfance, dans l'église Notre Dame Auxiliatrice et Notre Dame des Grèves de Saint Malo, que je prenais pour la Vierge,

  • viendrait me chercher en 1976, une fois marié, et père d'un petit garçon, pour me faire cheminer avec elle vers l'union totale et transformante, par :
  • les fiançailles spirituelle le 22 novembre 1984, à Mont de Marsan après que je me sois offert a la Sainte Trinité avec elle,
  • l'ordination diaconale le 30 septembre 1995 dans son Lisieux Breton,
  • puis le mariage spirituel, dans la crypte de l'abbaye Notre Dame de Fleury, le 11 juin 1999, en la fête du Sacré Coeur, jour anniversaire de la consécration du genre humain au Sacré Coeur de Jésus.

Faisant ensuite le choix de servir les Armées, dans l'Armée du Ciel, comme Saint Michel,

étant muté après mon école de l'Armée de l'Air d'Auxerre,

  1. école que j'avais rejoint le 5 septembre 1968, jour du 330ème anniversaire de sa naissance,

sur Taverny,

  • où elle me plaça sous la protection du père Pierre MICHELIN, l'aumônier de la Base (encore un Michel car Michelin est un dérivé de Michel)
  • et Notre Dame de l'Assomption Sainte Patronne de Taverny et Saint Yves, Saint

De ce cadeau supplémentaire qu'elle me fit 4 mois après m'avoir fait cadeau de sa statue,

quand elle m'offrit une nuit tout seul avec elle, son grand reliquaire avec lequel elle m'avait accueillie à Lisieux,

  • enfermé dans l'église Notre Dame de Pitié de Kervignac (ayant remplacé l'ancienne Eglise de Saint Pierre et des Saints Apôtres)
  • suivi d'un songe m'annonçant ma futur mutation sur Brest en 1997,
  • puis de ma première expérience mystique forte,
  • puis d'une attaque du démon, qui fut à l'origine de ma mutation à Brest,
  • où ce démon m'attaquera encore plus violemment en essayant de me détruire, en détruisant mon honneur et mon couple et ma famille.
  • et de mon mariage spirituel et ce songe sur la crois glorieuse.

Certains d'entres-vous vont peut-être dire que je me répète,

c'est vrai, mais c'était important, dans cet éclairage que j'ai commencé à vous donner sur ma rencontre avec mon ancêtre Saint Josse, de vous rappeler tout cela.

  • Sachez que je ne serai pas fâché envers ceux qui me lâcheront en route où mon déjà lâché, car j'ai bien conscience que tout ce témoignage que je vous donne sur ma vie spirituel, est très difficile à croire.
  • J'en ai fait de nombreuses fois la malheureuse expérience.

Je reviendrai vers vous pour la suite en début de semaine prochaine,

  • car demain dimanche, je dois préparer mon homélie pour ma Sainte Famille de Facebook

Je vous bénis tous, ainsi que toutes vos famille et surtout, mon Pays la France, qui a détourné son regard de son Roi d'Amour Notre Seigneur Jésus

et de sa Très Sainte Mère, Notre Dame de France, Notre Dame de l'Immaculée Conception et de l'Assomption,

  • qui a tellement donné à la France,
  • ne recevant en retour que de l'ingratitude de la majorité de ses enfants.

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