Avis de mes Lectrices et de mes Lecteurs

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« La Providence est une fée cruelle parfois »

Avis de mes lectrices et de mes lecteurs

Caroline Sophie Megglé


Juliette T. (Avril 2018) Bonjour Caroline. Hélène m'a prêté ton livre et je l'ai lu avec intérêt et émotion. Souvent, les enfants ne connaissent pas leurs grands-parents et je comprends que tu aies voulu témoigner pour tes enfants. C'est un document magnifique pour les petits-enfants de Didi et Simone. Plus de 10 ans de travail ! Tu peux vraiment être fière de cette parution.

Je veux aussi te dire que j'ai été frappée par ta capacité à prendre du recul et à ne pas juger. Une telle mansuétude, c'est rare ! Cette écriture n'a pas dû être facile, mais elle coule comme un abcès qui se vide.* (...) Ta complicité avec Didier m'a touchée... Dans l'album de la famille Dumas, il y a une photo de Didier petit. Je voudrais te l'envoyer... Papa a adoré Didier, son premier neveu. Merci ma cousine pour ce récit qui m'a rapprochée de vous. Je t'embrasse. Juliette. "

* Note personnelle : " ... à L'abcès, je préfère l'image d'un volcan qui a su s’apaiser...

Françoise T. le 29 novembre 2017 “ Épopée d’une famille, ce récit-témoignage est de grande qualité. Extraordinairement vivant par les grands et les petits moments racontés et les multiples anecdotes qui sont autant d’éclairages sur les personnages - nombreux, très nombreux - évoqués. La chronologie du récit - parfois un peu mise à mal (de mon point de vue) - donne un rythme qui vous accroche toujours un peu plus au fil de l’avancement de la lecture. Caroline Megglé sait rendre palpables ces innombrables petits faits, paroles, situations qui font (et défont) la construction d’une personne au cours de son existence. On vit avec cette famille et c’est doux et cruel à la fois, excitant et navrant. Toujours lucide et bienveillant. C’est, en tout cas, l’impression forte qui m’en est restée après avoir refermé le livre. Un livre en forme d’hommage aux personnes aimées. Aimées pour - et malgré - ce qu’elles ont été, ce qu’elles sont. Un magnifique travail de mémoire, de respect, de recherches soignées, sans concession et sans excès de sentimentalisme ni esprit de revanche. Quant à l’écriture elle est fluide et délicate, simple et riche tout à la fois. Bravo Caroline. Puisse ton livre être lu par de nombreux lecteurs. C’est un beau récit d’amour. “ Françoise T.

Gilles D. Le 19 Novembre a écrit : "La Providence" c'est du plaisir Caroline !

Françoise G. du 22/10/2017 « lecture terminée Bonjour Caroline, Ai été intéressée par la lecture de votre livre et je vous trouve très courageuse pour avoir osé affronter cette somme de souvenirs dont certains sont douloureux pour vous mais aussi pour la lectrice que je suis . Courageuse aussi car dans votre famille tous n'ont pas votre sensibilité ni le même ressenti . J'avoue avoir dû faire quelques pauses ayant pris au passage ma part de souffrances . Vous ave z su , sur un sujet difficile , raconter de façon allègre et dansante cette vie toujours en mouvements . Mais comment votre maman a -t-elle tenu le coup avec ce mari imprévisible , exigeant et pour lequel je ne mettrai pas d'autres qualificatifs car il s'agit de votre père , pas n'importe lequel , un père qui a subi un traumatisme inouï dont on ne peut jamais se remettre . Merci de m'avoir fait une petite place dans votre livre. Un peu plus tard je vous raconterai le rêve fait dans la nuit qui a suivi la fin de la lecture . Je vous parlerai de Sanary en 1951, de la crème de marron , et du nom de Mano. Dans l'immédiat , j'ai découpé l'article du figaro sur Henri GIRARD paru le 19.10. avec photographie . Caroline , je vous embrasse . Jacques aussi . Françoise G.

Annemarie P. 31/08/17 17:02 Bonjour Caroline, La vie est pleine de coïncidences; j'allais t'écrire juste aujourd'hui. Je viens de terminer ton livre que j'ai lu avec un double intérêt: d'abord parce qu'il parle de toi et de ta famille que tu avais un peu évoquée quand tu es venue à Nîmes, ensuite parce que je trouve qu'il fait véritablement œuvre littéraire, entre documentaire et sans doute un peu fiction. Il fourmille de détails, d'impressions vécues par les personnes-personnages qu'il présente et j'admire la façon dont tu as composé avec ces vies que tu as partagées en même temps qu'elles t'ont échappé. J'ai été intéressée tout au long de la lecture par ces destins complexes et attachants. C'est en tout cas un bel et émouvant hommage rendu à cette femme libre , passionnée et pleine de ressources dans l'adversité qu'a été ta maman. (....)

Martine R. “Incroyable ton livre, quelle vie mouvementée ! j'adore ton écriture, » (Martine ) « Bravo ma Caro, je viens de commencer ton livre, quel travail ! de recherche et autres, trés agréablement surprise, et admirative, belle écriture, bravissimo, et pour le moment pas triste!!!! » (Martine).

Sylvie M. « Tu honoreras ton père et ta mère - Bravo Caroline - j'ai conclu ma lecture, en sanglots, bien sûre, il ne peut en être autrement. - A très bientôt, chère Caroline » (Sylvie)

Madeleine « Bonjour Caroline Je viens de terminer "la Providence est une fée cruelle parfois" je l'ai lu d'une traite ne voulant pas "perdre le fil", avec beaucoup d'attention et beaucoup de plaisir. D'une part parce que j'ai le privilège de connaître (un peu !) l'auteure et donc les mots ont une résonance particulière, et d'autre part parce que c'est un récit sensible et qui se passe , pour la partie provençale, dans des lieux qui me sont familiers, que j'aime, et qui me renvoient à une époque proche (je suis née en 58 ) de celle de mon enfance. L'histoire de Château Vallon est extraordinaire, avoir vécu dans ce lieu qui dans les années 70 était un centre de créativité(et l'est encore bien sur ) dans ce cadre si particulier ! Savoir que ton fils y travaille aujourd'hui, c'est un joli lien. Il y a aussi l'évocation de toutes ces personnalités de la littérature,du théâtre, ces" vedettes"... Je pense notamment à Brigitte Fontaine, nous avions un disque, elle chantait avec Areski, à Igor la "nounou" demi frère de ces sœurs si talentueuses... et il y a cette référence à cette œuvre "les aveux les plus doux", qui pour moi est d'abord un film avec Marc Porel, qui m'avait beaucoup marqué. Il était un peu en sommeil dans ma mémoire... c’était "très doux"qu'il remonte à la surface Quant aux "Chagrins capitaux" de Lella Arnaud, je comprends l'importance que tu attachais à l’honorer d'une belle reliure... Enfin voilà,j'ai beaucoup aimé me balader à travers ces souvenirs (les bons et les moins bons) que tu décris si bien, qui font toute la richesse de ce que tu es aujourd’hui. Félicitations pour ce récit de vie, ce devoir de mémoire et qui pour moi a été un moment de vrai plaisir de lecture. Bonnes vacances et rdv à la "rentrée"... pour la dédicace ! Amicalement. Madeleine. »

Hélène D. « Bravo pour ton travail d'auteur et cette publication, et bravo pour tout ce travail. Travail de remémoration, d'archives, de relecture de ton enfance sous la lumière et le recul apportés par les années. J'imagine qu'il a été difficile ce travail, et souvent douloureux, mais le tissu qu'il t'a permis de restaurer est beau et, je l'espère, apaisé et plein de vie.".... Et j'enverrai ton exercice de diction à mon fils qui fait du théâtre, pour lui transmettre un peu de sa famille. » Hélène.

Françoise B. « Ma chère Caroline, c'est une bonne nouvelle que tu m'annonces ! Cela me fait bien plaisir pour toi , c'est super ! Comment on peu se procurer ton livre, que j'aimerais beaucoup lire ? Je t'embrasse fort. » Françoise B. Paris


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