Balance ton auteur : Victor Hugo
Oui, il se shootait à l’opium ! Oui, il transformait l’histoire avec un grand H selon ses intérêts (Napoléon III et les élèves en Lettres en savent quelque-chose) ! Oui, il était raciste !
Mais Victor Hugo, défenseur de la veuve et de l’orphelin rendait surtout le beau sexe bien misérable. Un garçon pile ce Victor, Casanova en aurait pali de jalousie !
Rendez-vous compte… A 17 ans, Victor Hugo conte fleurette à Adèle, sa camarade de quartier. Il l’épouse, lui fait 5 enfants tout en tâtant de la gueuse dans les bordels. Il rencontre Juliette, elle lui donne comme nom de caresse Toto (toute ressemblance avec un petit garçon écervelé n’est que pure coïncidence). Il décide alors de vivre comme un polygame avisé : chacune sa maison et les vaches seront bien gardées. Glouton, avide de chair fraiche, ne pouvant se contenter d’une sauce graine et d’une sauce arachide ad vitam eternam, Hugo ne s’arrête pas en si bon chemin.
L’épouse et la maîtresse observent impuissantes le défilé des nombreuses petites et ribaudes dans le lit de tonton Toto devenu grand-père depuis fort longtemps. Certaines faisant d’elles- mêmes le voyage des îles pour une étreinte fugace avec le farouche républicain.
Toujours droit comme un cure-dent gouro, le priape honore ces dames trois fois par jour et même à l’âge canonique de 83 ans.
Méticuleux, il consigne dans un carnet noir crypté en esperanto, latin et espagnol ses faits d’armes, les noms, les retours d’expérience de ses conquêtes et les tarifs.
Un peu enflure sur les bords le Toto