Bilan Avril 2021

J’ai toujours un peu rechigné à l’idée d’écrire un post sur quelques réseaux sociaux que ce soit. Je n’avais juste pas compris qu’il suffisait de parler de soi. Or parler de soi va de soi, mais lire le « soi » des autres ne l’est pas forcément. Alors si mon « soi » vous fatigue il est encore temps de faire un rewind de lecture. Si en revanche vous persistez, je ne réponds plus de rien et rejette toute responsabilité.

J’ai donc décidé qu’à partir d’aujourd’hui ou de maintenant, j’écrirai un post pour faire le bilan du mois (je vous laisse deviner quelle sera la fréquence du post 😊)

Or celui-ci s’annonce intéressant, puisque je parle de moi, mais plus encore d’une formation à distance pour améliorer ma communication via les réseaux-sociaux. Vous aurez donc peut-être compris d’où m’est venue cette furieuse envie de « poster ».

Cette formation des Escales Buissonières ne m’intéressait pas du tout lorsque je l’ai reçu par le biais des lettres de nouvelles. J’aurais préféré une formation au montage 3D, After Effects ou encore la réalisation d’un court métrage.

Mais à bien y réfléchir, je me suis dit que certes je n’y connaissais rien, certes cela ne m’intéressait pas, mais certes j’en avais besoin.

N’écoutant que mon courage, je me suis alors lancé dans cette formation, non sans appréhension. Et comme disent nos amis vaudois de Suisse : « j’ai été déçu en bien ». J’ai réalisé que, plutôt qu’une contrainte, c’était le bon moyen pour rester en contact avec toutes les personnes que je rencontre dans le métier. Ce sera l’occasion de mieux parler de mes projets et d’échanger beaucoup plus sur les prémices de certains d’entre eux.

Alors vous me direz : « Faire une formation pour arriver à cette constatation, c’est un peu exagéré ! ». Et vous n’auriez pas tout à fait tort. Mais au-delà de cet état des lieux, j’ai aussi appris à mieux gérer les différents réseaux sociaux en fonction de mes besoins.

Rassurez-vous, cher.e lecteur.trice, vous ne faites pas partie de mes besoins… mais plutôt de mes envies de partager avec vous  mon bilan, en pensées et non en chiffres.

Bien à vous,

PPHD