Bonheur au travail : quelles marges de manœuvre ?
La semaine dernière, lors d’une conférence organisée par la CCI de Grenoble dans le cadre du Forum Grenoble Ecobiz, Florence Servan Schreiber, qui se définit comme un professeur de Bonheur, nous a affirmé qu'il était tout à fait possible de combiner travail et bonheur.
Selon la conférencière, le bonheur ne s’apprend pas, il s’expérimente au quotidien et si 50 % relève des gènes et 10 % de l’environnement, il reste tout de même une plage d’intervention personnelle de 40 % !
Un des questionnements essentiels que soulignait également Florence Servan Schreiber, dans son interview sur RCF le matin même était de savoir « Comment faire en sorte que le fait de travailler contribue à l’épanouissement d’un individu et de l’organisation dans laquelle il se trouve ?»
L'enjeu est là : si performance économique et performance humaine sont intimement liées, il devient évident pour un nombre de plus en plus important d’entreprises que mettre la priorité sur la performance humaine entraine par voie de conséquence la performance économique !
Ce qui précède donne encore plus de sens à mon métier d’accompagnement que ce soit des responsables, que des collaborateurs en leur permettant de prendre conscience des marges de manœuvre et de la responsabilité que chacun d’eux possède sur la question du Bonheur au travail.