CeBIT Day #2 - Don’t worry, Be API !
Seconde journée au Cebit, avec pour objectif de « casser les codes », et bouleverser les organisations !
Le monde change, il faut avancer, essayer, parfois échouer, mais surtout, … FAIRE, faire vite, car la vélocité est la clé du succès dans un monde en perpétuelle révolution. Le numérique bouleverse tout!
Les organisations changent, la transformation digitale des entreprises
passe par de nouveaux business modèles, par un « désilotage » des métiers (commercial, marketing, développement, etc…), par la sensibilisation des personnes sur le fait que leurs métiers pourraient ne plus exister d’ici quelques années, … et donc, la création d’une forme d’évolution participative, et transversale.
L’accroche du jour : Don’t worry, Be API !
API, qui semble être la clé de l’accessibilité des services. Le fait même de rendre chaque service d’une entreprise accessible à tous, à tout moment, en temps réel, de façon automatisée ou non, permet assurément d’améliorer les performances de celle-ci, sa croissance, et l’accès rapide aux objectifs fixés.
Au fait, c’est quoi une API ? API pour « Application Programming Interface », notre ami Wikipédia vous dira que
“c’est un ensemble normalisé de classes, de méthodes ou de fonctions qui sert de façade par laquelle un logiciel offre des services à d’autres logiciels. Elle est offerte par une bibliothèque logicielle ou un service web, le plus souvent accompagnée d’une description qui spécifie comment des programmes consommateurs peuvent se servir des fonctionnalités du programme fournisseur”
Et donc ? comprenez, la capacité à extraire les données d’un secteur, les croiser avec un autre, au profit d’un enrichissement global, au profit de la génération de nouvelles informations clés pour le succès de l’entreprise, et l’expérience utilisateur.
Casser les codes ne veut pas dire ne plus prendre en compte l’humain, mais prendre en compte la culture d’entreprise et l’adapter au monde actuel, ainsi que de travailler en collaboration avec un écosystème (existant ou non).
Aujourd’hui en était encore la preuve, les entreprises ne sont pas prêtes à travailler avec des startups. Non pas du fait que les entreprises ne veulent et ne font pas preuve d’initiative, mais parce que les employés ne sont pas habitués à travailler avec ce monde où l’échec est primordial pour avancer et dont la mutation est perpétuelle.
C’est le combat de SoyHuCe, au quotidien, d’arriver à impliquer le capital humain d’une entreprise dans sa transformation digitale et dans la réalisation de projets digitaux.