Ces lecteurs qui ont savouré "Les larmes de ma vigne"​

Ces lecteurs qui ont savouré "Les larmes de ma vigne"

« Il y aura un avant et un après la lecture de cet ouvrage », « ce livre a changé ma façon de voir le bio » ou encore « un scénario de cinéma » : depuis la sortie fin septembre des « Larmes de ma vigne », Isabelle et Denis Pommier ont reçu plus d’une centaine de courriers arrivés de toute la France, mais aussi de Belgique et du Québec. Des lecteurs qui ont tenu à partager avec eux leurs émotions. Des témoignages qui nous ont touchés à notre tour et dont je partage ici quelques extraits. Je me joins à Isabelle et Denis pour vous remercier du fond du cœur pour ces « notes de dégustation ». 

« C’est magnifique d’écriture, c’est beau, c’est courageux, c’est une découverte, c’est un bonheur », affirme Nicole.   

"Je ne goûterai plus pareillement vos vins quand j'ouvrirai vos flacons", assure Jean-François au terme de "votre livre"Je dis votre car l'implication d'Isabelle est tellement importante!"

« Un livre de taiseux, de faiseux et loin des diseux », s’empresse d’écrire Dominique sa lecture à peine terminée, convaincu que le livre constitue « trame d’un beau scénario de cinéma ».

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"Une histoire passionnante et touchante", écrit Emilien, qui habite en Belgique et a entendu Denis à la radio alors qu'il rentrait du travail. Il achète deux exemplaires es Larmes pour les offrir à Noël à ses deux frères "passionnés" de vin comme lui. Avant de les emballer, il feuillette les premières pages et ne lâchera plus le livre jusqu'à la dernière page. "Ce qui me parle, c'est votre approche de la nature", souligne ce lecteur qui a occupé comme Denis le poste de numéro 6 sur les terrains de foot. Il promet de se rendre à Poinchy et de "faire attention à ne pas se cogner la tête en descendant les marches conduisant au caveau", en allusion à un passage du livre. Il se réjouit d'ores et déjà de demander à Denis comment il est passé au bio pour l'entendre répondre "ça s'est passé naturellement !"

Pour Frédéric, « il y aura dans ma passion pour le chablis un avant et un après Les larmes de ma vigne ». « Un livre absolument exceptionnel, un témoignage pudique que tout amoureux de chablis et du vin doit absolument lire ». Il promet que « plus jamais il ne se versera un verre sans avoir une pensée profonde et sincère pour toute cette humanité poignante qui se cache derrière la magie d’un grand vin ».

« Votre expérience, racontée sans fards ni romantisme, a changé ma façon de voir le bio », admet Olivier, qui écrit du Tarn et qui n’accordait jusque-là au bio qu’un « argument commercial ». « A travers votre livre, j’ai découvert qu’il y avait autre chose dans ce choix singulier. Et tout d’abord du courage ! ».

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"Cela nous encourage à poursuivre et transmettre notre passion", assure depuis la Normandie Etienne qui, avec son épouse, ont créé un domaine cidricole au début des années 1990. Passés au bio en 1994, il constate "beaucoup de similitudes avec l'aventure" des Pommier. "Beaucoup de travail, de doutes, de joie aussi!". 

"J'ai été successivement enthousiasmé, ému, touché et meurtri pour vous", affirme François, qui a lu "le livre d'une traite", comme Guérin, jeune vigneron alsacien qui a « dévoré cet ouvrage absolument incroyable en deux jours. Je vous remercie pour son écriture ».

"Votre récit, votre histoire, nous vignerons, nous la comprenons parfaitement tellement nous la vivons au quotidien", réagit Nadine, vigneronne en Corse du Sud. "Je viens de donner le livre à mon fils qui travaille dur dans les vignes et qui devrait se reconnaître dans certains passages. Cette année, une parcelle sensible à l'oïdium lui a déclenché un zona".

"Je suis enthousiasmée. Ce livre est très beau, intéressant et très poétique", se réjouit Brigitte. 

"Je n'en ai fait qu'une gorgée", assure Julien, caviste parisien. "Quand les clients débarqueront dans ma boutique et qu'ils me demandent un vin bio, sans savoir ce que cela veut dire, le travail que cela représente, juste parce que c'est bien de boire du bio, je leur répondrai, s'ils me disent que le vin est cher, que dans le prix de la bouteille il y a toutes les sueurs d'hommes et de femmes, toutes leurs angoisses et leurs convictions profondes..."

"Très agréable de voir un homonyme aussi passionné et amoureux de son beau métier", se félicite... Denis Pommier. Un lecteur qui se dit "fier de partager avec ses amis des vins » qui portent son nom.

"Je veux juste vous remercier pour ce magnifique livre et aventure de vie que vous Isabelle et Denis m'avez fait vivre à travers ces pages", confesse Morgan, viticultrice qui dit que le livre lui a procuré "beaucoup d'émotions" et qui, elle aussi, assure qu'elle "fera attention à ne pas se cogner la tête en descendant à la cave" lorsqu'elle se rendra à Poinchy. 

"Bravo à vous pour votre travail et votre amour pour vos vignes", signé Patricia. 

"J'ai beaucoup pensé à vous lors des gelées des derniers jours", ont écrit Vincent et Benoît en avril dernier. "Je me doutais que le métier de vigneron était un véritable sacerdoce, mais à ce point...", ajoutent-ils après la lecture des Larmes. 

"J'ai lu avec émotion il y a quelques semaines Les larmes de ma vigne et j'ai bien pensé à vous ces derniers jours", écrivent Bernard et Véronique, un couple belge qui se trouvait dans l'Yonne lors des gelées de début avril. "Nous avons regardé avec effroi les images des feux dans les vignes et nous avons compris l'ampleur du désastre. Nous avons imaginé les larmes et les sensations d'impuissance lorsque la nature se déchaîne".

"Nous suivons avec tristesse les épisodes de gel actuels (...). Cela me rappelle certains passages des Larmes de ma vigne", affirme Philippe.

Et pour conclure, ce mot d'encouragement qui a traversé l'Atlantique: "On pense fort à vous suite au terrible gel qui vous affecte. Santé du Québec"


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