Comment favoriser l'écoute au sein de vos équipes de travail ?
L'écoute, oui, mais à quel niveau ?
Certains peuvent commettre l’erreur d’écouter de manière passive sans réellement rebondir dans la discussion. Des exemples d’écoute passive sont: penser à autre chose lors d’une discussion, laisser quelqu’un parler d’un problème sans y apporter une réponse ou encore écouter en ne considérant le récit qu’à la lumière de ses propres convictions et croyances. Ces situations sont considérées comme de l’écoute passive car elles ne s’inscrivent pas dans une dynamique empathique d’écoute.
Améliorer l’écoute active pour une meilleure compréhension
Nous aspirons à une communication dénuée de parti pris car elle nuit à l’écoute active. Nous cherchons à lutter contre la réfutation inconsciente des propos que l’on entend – parce qu’en désaccord avec nos croyances – pour nous concentrer davantage sur la compréhension et la teneur même du discours tenu. Si nous ne faisons pas cet effort, l’idée est rejetée avant même d’avoir été complètement formulée par notre interlocuteur.
En combinant une attention complète avec un esprit plus conciliant avec ce qu’il entend, on parvient à un niveau de compréhension supérieur. En améliorant notre niveau d’écoute active, les membres d’une équipe s’engagent dans une relation de confiance beaucoup plus forte, où les détails partagés sont très importants menant à des relations beaucoup plus riches et intenses que d’ordinaire. En effet, tout en parlant, une personne peut se sentir aidée dans son expression et plus volontaire à partager, simplement parce qu’elle se sent écoutée.
L’écoute globale, clé d’une communication plus harmonieuse
Si le seul fait de prêter une oreille est considéré comme être présent, être attentif est considéré comme écouter; il existe par ailleurs un « troisième niveau d’écoute », qui est l’écoute globale. Il s’agit à ce niveau d’une écoute compréhensive, ce qui est en soi le but même de toute communication. L’expression « lire entre les lignes » illustre très bien l’idée de l’écoute globale. Etre à ce troisième niveau d’écoute signifie être capable de saisir le sens profond de ce que notre interlocuteur est en train de communiquer. Le niveau de compréhension est alors amélioré grâce à des intuitions et par le fait d’essayer de déterminer le sens profond et réel de ce qui est en train d’être dit.
Notre jugement est toujours sollicité au cours d’une conversation. Toutefois, on se doit de développer et apprendre seul à intégrer davantage l’écoute compréhensive pour faire émerger autant d’informations que possible mais aussi pour faciliter une meilleure compréhension de ce que l’on essaie de communiquer.
Convaincu qu’une organisation flexible est à l’écoute et soutient une communication intelligente, vous choisissez les outils adéquats pour permettre à vos collaborateurs d’atteindre un plus haut niveau de performance.
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