Confinement / Télétravail Des infrastructures en plein mouvement

Dans un cyber espace idéal, l’usage du cloud pour pallier les problématiques de l’obligation du télétravail à montré des limites techniques qui obligent les DSI à revoir toutes leurs stratégies du système d’information.

Le bruit exercé par nos voisins d’internet est un phénomène observé et qui n’est pas sans conséquence. Si le matin le travail est quasi normal, dès le réveil de nos voisins américains la qualité des services cloud baisse. L’après-midi la consommation en Europe des plateformes de streaming augmente très sensiblement. La combinaison de ces effets dégrade les usages des applications dédiées aux échanges, aux partages et aux communications devenues indispensables aux télétravailleurs et surtout à des activités s’appuyant sur l’échange tel que l’enseignement avec l’exercice des cours hybrides.

Pour pallier cet état de fait, il est devenu indispensable de revoir les architectures et les infrastructures des SI. Une nouvelle classification des applications et des données est nécessaire pour dégager une bonne répartition entre le « cloud » et le « on premise » et accès privatif (direct access) et acces partagé (internet). Cette classification doit prendre en compte l’indispensable et le juste nécessaire pour permettre d’exercer son domaine d’activité quel que soit la situation et dans les meilleures conditions. L’indispensable étant un retour d’expérience à la hauteur des attentes des usagers de plus en plus consommateurs et utilisateurs des ressources IT.

L’informatique ainsi repensé hybride dans deux axes, celui du cloud privé cloud public, et, celui des accès privatifs et partagés, va permettre de déplacer les charges de travail en fonction de l’évolution des coûts et des besoins informatiques avec en prime, plus de souplesse, plus de flexibilité et davantage de possibilités dans le déploiement de données. Ce qui est recherché aujourd’hui et que certain appelle l’agilité.