DécretJean Jacques Dessalines 00000005mai20240000000
De l'Éternel Empire D'AYITI

DécretJean Jacques Dessalines 00000005mai20240000000

 

DécretJean Jacques Dessalines pi wrd 00000005mai20240000000

 

La Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 7 p = © Tous droits réservés

 

 

q = an, u = ou =, w = r, r = ê, c = in, h = ch, e = é, Ä= on, ñ

 

À partager urgemment et massivement ! Si vous ne le faites pas, vous êtes irréfutablement du côté du blancisme et de la république d’Haïti, ainsi responsable des malheurs des gens.

 

Jean Jacques Dessalines pi wrd

Vive le Peuple Ancestral,

Nègres et Négresses indomptables et par conséquent insoumis !

Prenez le temps qu’il faut pour lire, et bien lire, le texte qui suit pour voir la caractéristique en filigrane de la république d’Haïti.

 

Indomptabilité et insoumission

Encore aujourd’hui cela est et reste le même car tel est le réel en soi, produit de Notre Dieu, Bon-Dieu. Le discours hommal est contraire et contradictoire à l’ofowu. Il est vide, l’hommalité en soi n’est rien d’autre qu’une tentative de dualisation de la planète terre, voire du La, l’univers et sa concordance, à l’avantage de son devenir effectif.

 

 

 

Indomptabilité et insoumission

Encore aujourd’hui cela est et reste le même car tel est le réel en soi, produit de Notre Dieu, Bon-Dieu. Le discours hommal est contraire et contradictoire à l’ofowu. Il est vide, l’hommalité en soi n’est rien d’autre qu’une tentative de dualisation de la planète terre, voire du La, l’univers et sa concordance, à l’avantage de son devenir effectif.

 

 

Voyons cela de plus près! Le phénomène du groupe de fils d’Africains est très révélateur parce qu’il enseigne la réalité telle qu’elle est. Il fait voir que les constituants et constituantes de ce groupe pour ce qu’ils sont, soit d’intraitables résistantes et résistants. Ils n’ont jamais failli. Jean Jacques Dessalines, le Savant en la matière, affirme catégoriquement : « Nous ne sommes pas des esclaves », dans le sens d’esclavagisé(é), « mais des condamné(e)s à des travaux des champs ». La proposition de Dessalines va à l’encontre de la croyance en vigueur dans le monde blanciste. Ça va de soi, ce n’est pas un simple énoncé et ce n’est pas le dire pour le dire. Le fils élevé par Agbawaya Tóya en a entendu des choses, il élève la voix pour faire le point sur la réalité. Sans détour il entend par là que les Négresses et Nègres, dont on entend si souvent parler négativement, ne sont pas soumis aux agresseurs. Ils sont et demeurent en eux-mêmes et auprès d’eux-mêmes conformément à leur essence, dont le prédicat est l’indomptabilité. Il découle de cela que, conformément à ce qu’ils sont, l’extérieur n’a aucun pouvoir sur eux. Pour le dire d’une autre façon, ce que l’on voit n’est qu’une simple apparence. La réalité est tout autre. Le Plus Que Grand fait ici la distinction entre l’ofowu (le Divin), ici le mun, et l’entité mentale, être de pensée et être vide, faute d’extériorité, puis le factuel. Jean Jacques Dessalines met sur la table le fondamental, ce qui est premier, et il fait preuve d’une rare finesse dans sa capacité d’analyse. Pour être esclavagisé(é), faut-il déduire de sa proposition, ’il faudrait que les Négresses et Nègres soient soumis. Tel n’est pas le cas, poursuit l’énoncé. Blague-t-il, se demandera-t-on ? Certainement pas. Il y a indubitablement adéquation entre la parole de Jean Jacques Dessalines et le réel. Les faits sont là.

 

 

Nous entrons dans notre histoire, la Grande Histoire de la planète terre, par la porte en or de Jean Jacques Dessalines. Toussaint L’Ouverture, un agent de la république française, au dire même de Napoléon Bonaparte, adresse une lettre au Directoire, le gouvernement français d’alors, dans laquelle nous lisons ce qui suit : « Je répons sous ma responsabilité personnelle de la soumission, de l’ordre et du dévouement à ls France de mes frères les noirs ». Nous pouvons toujours dire que Toussaint L’Ouverture a fait un mauvais usage du mot « soumission » parce qu’il était très faible intellectuellement. Un tel jugement ne fait pas appel à l’intellect parce qu’il s’agit d’un simple constat et que de telles choses relèvent de la sensibilité. Poursuivons! L’Empereur français, Napoléon Bonaparte, va dans le même ordre d’idées : « exilé sur le Rocher Sainte Hélène, il souligne, en 1816, dans son livre Les confessions que « C’était une erreur » lorsqu’ « il envoya une force à Saint-Domingue pour soumettre les noirs ». Il savait, selon lui, que cela n’allait pas marcher. Napoléon parle des expériences blancistes avec les Négresses et Nègres. Pourtant il soutient : « Je devais continuer de gouverner par Toussaint ». Se contredit-il? Évidemment pas. S’il n’a pas de soumis devant lui, il ne peut pas être question de « gouvernance ». Napoléon le sait très bien. Le chef français est logique avec lui-même. S’il avait affaire à des soumis, il n’aurait pas besoin de passer « par Toussaint », autrement dit, se cacher derrière lui. Le seul fait de ne pas pouvoir le faire directement, sans personne interposée, prouve de façon tangible que les Nègres et Négresses ne lui sont pas soumis. Ici, l’acte de « gouverner » n’en est pas un proprement dit. Napoléon a recours à ce subterfuge parce que les Négresses et Nègres ne se font pas dicter leur conduite de l’extérieur, au mieux, par un autre que soi. Il résulte de cela qu’ils ne sont pas soumis à la France, alors des « esclaves », pour reprendre le vocabulaire du blancisme, les savqn, ou esclavagisé(e)s, pour employer le terme convenable.

 

 

L’apparente dualité

À en croire Napoléon Bonaparte, l’esclavagisation (pour eux l’esclavage) est un faux concept, un bluff blanciste, dans le sens hommal. Pouvons-nous y croire vraiment! Certainement pas. Le chef politique français est, certes, un être munal mais noyé dans la pensée hommale. Par conséquent sa structure d’être, quoique mentale, est dualiste, autrement dit, il croit fermement en la dualité des gens. Force lui est de reconnaître que les Négresses et Nègres sont indomptables et, par conséquent, insoumis. Il n’a certainement pas d’explication à cela. Le fait d’envoyer une armée quand même à « Saint-Domingue », il parle d’AYITI, laisse croire que Napoléon Bonaparte y croyait malgré tout. L’Empereur français fait reposer sa décision sur « les criailleries des blancs ». Il n’a pas menti dans un sens, ceux-ci, par leurs croyances, ont envenimé la chose. Il ne cherche pas à faire porter le blâme par les autres. Il ne faut pas oublier qu’il y a, à côté de lui, Toussaint L’Ouverture, sans oublier les autres, soit les noir(e)s. Cela nourrit la croyance dans le vide. L’entreprise du tubabu Toussaint L’Ouverture ne marchait pas non plus, cela a déstabilisé la croyance de Napoléon Bonaparte. C’est là ce qui explique le doute de celui-ci. En plus de cela, il faut ajouter que nous sommes à l’ère de 1791, ère des Négresses et Nègres. Les Nègres et Négresses sont en parure et pleinement imbibés de soi-même, c’est-à-dire le soi-nègre, Soi-Munal. Le projet de Napoléon-Toussaint était par le fait même irrecevable. Toussaint n’avait rien compris. Le peu de blancs qui étaient restés dans l’Île était forcément blanciste, ces êtres unidirectionnels. Ils ne reculent jamais, ce serait se renier. Ils pressaient, sans doute, Napoléon Bonaparte à se débarrasser de Toussaint, l’inutile. Les gens qui accompagnaient L’Ouverture y étaient pour se battre, contre-guerroyer. D’ailleurs c’est sur cette base qu’ils étaient approchés par Toussaint lui-même non pas pour marcher avec la France, une horreur qu’ils venaient tout juste de défaire. Ils se battaient contre les blancistes, indistinctement, qu’on mettait en face d’eux. Napoléon l’avait très bien compris. Cela est presque de l’ordre du sensible. Cependant s’il a acquiescé aux protestations blancistes, c’est par instinctualité blancismique conduite par le mal d’être. Il y a la réalité, c’est vrai, mais il faut pousser les choses, ce qu’ont fait instinctuellement les « blancs » (blancistes), dont parle Napoléon. Cela est de l’ordre de la prétendue naturalité de la conquête. Somme toute la naturalité de la conquête, c’est de forcer les choses sous la rage du mal d’être. Il se peut que les blancistes ne soient pas capables de se l’expliquer. Mais ils le sentent, c’est de l’ordre de l’instinctualité. Il faut comprendre ici que l’artificiel est aussi un ordre. L’ignorance de ce fait est évidemment ce qui perd les gens. Le fait que la chose arrive, ils la sortent du néant à l’avantage du réel ofowu, une illusion mentale. N’empêche que l’échec épuise souvent. Cela, en principe, ramène à l’ordre (ofowu), par le moyen du doute, mais là où l’on n’est et ne connaît que cela, le vide, on s’y accroche. On EST ou on n’EST pas. D’où l’unidirectionalité ! Le blancisme, qui est la fausseté, fonctionne à l’intérieur de cet ordre-là. L’intelligence de Napoléon Bonaparte, est de toute évidence plus élevée que celle de ses confrères et consœurs concernés. Les faits parlent éloquemment. C’est pourquoi il ne présageait pas une fin heureuse à la campagne militaire en AYITI contre le Peuple Ancestral, Négresses et Nègres. Mais il y croyait un peu par unidirectionalité.

 

Est-ce que Napoléon Bonaparte donnait raison à Jean Jacques Dessalines ? Bien évidemment ! C’est tout ou rien. Ou bien « nous ne sommes pas des esclaves mais des condamné(e)s à des travaux des champs » parce que nous sommes des indomptables et par conséquent des insoumis, insoumises ou bien nous le sommes, domptables et soumis, soumises. Il n’y a pas de juste milieu ici, L’unidirectionalité n’est pas le juste milieu ni se soumettre au verdict des faits. Ce n’est pas parce que Napoléon Bonaparte est unidirectionnel qu’il ne voit pas les choses comme Jean Jacques Dessalines les voit. Son unidirectionalité le pousse, sans doute, à trouver une explication à contresens tout en vivant une contrariété immense à l’intérieur de lui-même. Il n’aimerait peut-être pas à vivre cette chose bouleversante. Il est comme coincé en lui-même. Nous osons y croire. L’empereur français n’était, certes, pas un soldat ni un penseur de la taille géante du fils d’Agbawaya Toya mais il avait une notion de l’art de se battre. Il faut entendre par là qu’il n’était pas un grand guerrier mais plutôt méchant, alors lâche. La méchanceté n’est pas un contenu de l’art de se battre mais de préférence de la lâcheté, dit Dessalines. Cela le place au-dessous de l’Invincible Général Jean Jacques Dessalines. Pour ce qui est de l’art du vivre-ensemble, Napoléon Bonaparte se situe à une position inférieure, vraiment très loin de Dessalines. Cependant sa capacité en la matière, si faible soit-elle, comparée à celle de Jean Jacques Dessalines, n’est pas à négliger. Le Français qui se trouve en face de l’Œuvre  de Jean Jacques Dessalines, le Système Impérial, ne peut pas ne pas être impressionné. Il a, sans doute, observé tout au long de leur affrontement, à travers les exploits répétés, les discours, le projet et l’ordre, que Jean Jacques Dessalines n’est pas un type limité à la connaissance sensible mais un Penseur consommé et qu’il est l’adversaire redoutable de l’Europe. La preuve en est que sous ses conseils les noir(e)s libres, les parricides, ont eu recours à la disparition pour tenter de bannir Jean Jacques Dessalines et, par conséquent son Œuvre Magistrale, qui est l’histoire et l’Organisationnelle, soit l’Empire d’AYITI, système adversatif de l’Europe. Dans son esprit pour sauver l’Europe de la mort certaine, il a fallu que Jean Jacques Dessalines, fils élevé par Agbawaya Toya, s’évapore. Était-il possible ? Il n’est pas interdit de penser. Chacune-chacun a droit de rêver. Tout cela est la preuve irréfutable que Napoléon Bonaparte croyait en Jean Jacques Dessalines. Il ne l’affronterait pas mais aurait recours à l’empoisonnement par personne interposée. Suivons l’histoire !

 

 

Une chose est sûre, Napoléon Bonaparte, être unidirectionnel, n’a jamais reculé devant le Plus Que Grand, Jean Jacques Dessalines. Même vaincu, il ne lui tient pas tête, mais il ne se lasse pas d’avoir l’œil grand ouvert sur lui pour savoir ce qu’il fait et tenter de lui barrer la route. On le voyait très actif dans les préparatifs du 17 octobre 1806, date d’arrivée de la république d’Haïti, et ses débuts. Nous nous souvenons des Français qui gagnaient l’Empire d’AYTI sous de fausses nationalités. Ils y arrivaient avec une mission précise, récupérer les insatisfaits de la place qu’ils avaient obtenue dans l’Empire d’AYITI, ceux-là mêmes, dont il avait ordonné auparavant le génocide, assassiner Sa Majesté l’Éternel Empereur Jacques 1er par les mains de ses pairs, fonder une nouvelle institution, la république d’Haïti, leur confier la gestion du gouvernement – on revient à L’Ouverturisme, le pouvoir noir, tant ridiculisé -, le contenu européen de la république d’Haïti, ce qui revient à dire, restaurer l’esclavagisation, la disparition de Jean Jacques Dessalines, laquelle entraînera nécessairement la fausseté de l’histoire et de son Œuvre sans pareille, l’Empire d’AYITI, remplacer des historiens et historiennes par des histo-à-riens pour employer le vocabulaire du Karukeran (Guadeloupéen, Edy Leopol-Edward Deher-Lesaint) et nous en passons.

 

L’empereur Napoléon Bonaparte se réjouit de la tournure des événements, cela est d’une importance Dessalinienne. Tout, semble-t-il, s’est passé comme imaginé. Il s’empresse d’avertir toute la terre que la France est de retour à Saint-Domingue, au mieux, à la partie française de Saint-Domingue et que c’est la concorde. Les affaires, puisqu’il ne s’agit que de cela, ont repris. Napoléon Bonaparte ne dit pas comment les choses se sont déroulées, Mais l’engouement dans les mots témoigne d’une activité française intense. Cette pensée se renforce par la très grande satisfaction qu’il éprouve manifestement. » C’est une erreur que d’envoyer des troupes à Saint-Domingue » , évoque-t-il. Ces paroles révèlent clairement qu’il s’agit de la « conquête » de ce qui a été perdu, alors la colonie. Il n’y a pas de doute. Il peut bien se tromper su sujet de la « conquête » parce que l’Empire d’AYITI est Éternel. Pour ce qui est du retour de la France aux affaires, Napoléon n’a pas tort. Tout en rend témoignage. Tout est dit car, ici, l’objectif de la mission militaire est la « soumission » ou la reprise de contrôle. Ce qui a rendu inutile l’envoi même de ces « très grandes forces », pour reprendre ses mots, ce n’est pas l’échec par les combats mais l’atteinte de l’objectif sans l’affrontement. La France partage les choses, le gouvernement aux libres – C’est la signature du document de Charles X, à savoir « l’indépendance complet du gouvernement » aux libres,- qui l’a révélé contrairement à une indépendance relative à l’origine, un mot (l’indépendance) absent de la première constitution, en 1806, la gestion du gouvernement est le droit de s’enrichir comme on l’entend, ce que les gens d’aujourd’hui appellent faussement corruption; c’est l’empereur-républicain Faustin Soulouque qui l’a dit et que Napoléon III l’a confirmé en ordonnant à la mission française de lui rendre les caisses d’argent; Il est même dit clairement dans l’instruction civique et morale de la république d’Haïti que « Voler l’État n’est pas voler », ce qui laisse clairement entendre que l’État, ici le gouvernement, est une vache à lait; une chose set sûre, le blancisme sait que ce système qui lui permet de s’enraciner (dans le vide puisqu’ici tout est impérial) par les libres va être une source d’affrontements sans cesse entre eux, pour la part du gain, et qu’ils seront tellement pris dans la richesse morale et politique, principes de ce qui est, qu’ils ne le verront pas du tout, surtout comme bactérie mangeuse de Négresses et Nègres; par conséquent ils le laisseront agir; ils n’accuseront pas les blancistes, devenus leur principe d’être, mais leur pairs, l’effet de la jalousie; ce qui se passe aujourd’hui leur donne raison -, l’État (le maître) et l’économie (le propriétaire) à la France, ce qui est à jamais aboli dans l Éternel Empire d’AYITI. Pétion y promet le dédommagement et Jean-Pierre Boyer y transfert les fruits du travail du Peuple Endogène, toujours dans la même ligne de pensée. Les blancistes prennent possession des ressources, alors les volent et les pillent. Les libres, au pays imaginaire, la république d’Haïti, repoussent le Peuple Endogène loin des ressources, ses ressources, cela jusqu’au jour d’aujourd’hui, par exemple, des gens du Peuple Impérial se voyaient récemment retirer l’exploitation d’une mine d’or, leur seule source de revenu, au profit du Canada, des États-Unis et d’un citoyen de la république, le peuple exogène. Le sous-sol de l’Empire d’Haïti regorge à craquer de ressources de toutes sortes, dont plusieurs sont rares et font l’envie incontrôlée de la terre. Ainsi le 17 octobre 1806 est la naissance d’une nouvelle forme d’administration coloniale française non pas à la place du Pays d’AYTI, l’Éternel Empire d’AYITI. L’espace institutionnel, mental non pas physique, se nomme la partie française de Saint-Domingue, l’ancienne appellation. Elle est destinée aux papiers légaux mais pour camoufler le coup le nom de la république d’Haïti s’utilise au dehors. Il en est ainsi parce que la France juge qu’elle n’a aucun intérêt, surtout d’après ce que nous venons de voir, à rentrer dans un cycle infernal d’affrontement qui, de toute évidence, lui serait fatal une fois de plus, donc inutile.

 

Jean Jacques Dessalines pi Wrd !

Napoléon Bonaparte connaît la Voie Dessalinienne non pas dans son contenu théorique mais sa forme structurelle. Ce n’est pas si difficile à comprendre pour l’empereur français parce que c’est partout pareil. Cela ne donne pas à entendre que la disposition est la même. Le vivre ensemble repose sur une ligne justificative que nous rencontrons partout. C’est sans doute l’effet de l’histoire. Un simple coup d’œil suffit à convaincre Napoléon que Dessalines n’est pas livré à tout vent de pensée mais qu’il est enraciné quelque part, ce que le blancisme cherche, sans relâche, à déraciner partout dans sa campagne d’être, c’est-à-dire vaincre le mal d’être. La forme structurelle à laquelle Jean Jacques Dessalines se réfère le met en évidence. La première référence architectonique du Plus que Grand est Dieu, pas n’importe lequel, Notre Dieu, Bon-Dieu. Dessalines polémique, doit-il se dire, Napoléon Bonaparte, il a cela dans le sens, a-t-il compris. Dans le cas contraire ce ne serait pas Jean Jacques Dessalines. Le Dieu dont parle Dessalines n’est nul autre que celui qui est présent sur la Terre Ancestrale et dans la pensée de tous et toutes. « Bon-Dieu », terme signifiant Le Vrai, est l’attribut de Notre Dieu et la création, au mieux la Production, est la Substance, au dire même de Bukmqn. Tout cela, dans la Pensée Ancestrale, constitue la Yunité Globale, connue sous l’appellation de La.

Le mun, production nécessairement de Notre Dieu

Ça va de soi, nous sommes sa production, partie de Notre Dieu, GwqmrtLa, puisque nous SOMMES. Il communique avec nous en nous-mêmes par le moyen du Mbwa de la Gwqmunalité de la chose mun, soit l’expression de ce que nous sommes et la protection munale. C’est le traitement réservé à toutes choses, selon son être. Dans le vocabulaire de nos Ancêtres, le nom de la Gwqmunalité est TibÄnqy. Il implique nominalement la substance, dans le sens qu’il n’est pas l’essence même de l’être. Le son liberté, dont les Ancêtres, pendant la Résistance Gwqmunale, faisaient usage est Gwqmunalité. L’expression « Empire de « liberté », que nous lisons dans le texte du premier janvier 1804, est l’Empire de la Gwqmunalité. C’est elle, ce Mbwa, qui est à la base de tout le processus. Il n’y a aucun point commun entre ce mot de liberté et celui du blancisme. Les deux concepts s’excluent mutuellement. Nous sommes ici dans l’Ancestralité, laquelle découle de la munalité. Ce que celle-ci nous enseigne, c’est que l’être munal, à l’instar du grand tout, le La, est une yunité. La Gwqmunalité, et ce n’est pas le seul Mbwa, le révèle très clairement. Nous, les Badr du mun (les singuliers), nous sommes et nous nous maintenons en celui-ci. La proposition est d’une importance Dessalinienne. Notre yunité est ce fait d’être, notre intérêt immédiat et la concordance de nos intérêts, en tant que Badr, singuliers munaux. « La concorde, dit Dessalines, la clé de nos succès », Le Savant signe ainsi la nécessité d’être auprès du soi, le mun, soi-même. Toute la Dessalinienne réside dans cette science, la munsqmba.

 

L’indépendance des choses en soi

Il faut apprendre ou savoir tout de suite après cela que cette nécessité est l’invariabilité, l’irrévocabilité, l’irréversibilité et l’immuabilité d’être en soi. En d’autres mots on ne peut pas se sauver de soi-même. Pour le soi il n’y a pas d’en dehors de soi-même. On n’a qu’un lieu, en-soi. Le soi de toutes choses énonce invariablement, irrévocablement, irréversiblement et immuablement la différence foncière de toute chose, même là où il y a contradiction ou impossibilité de croisement de deux choses ou êtres. Alors être en soi et auprès de soi, c’est agir par soi (directement sous la dictée de son contenu d’être) et pour soi. Il est ici question de chaque individu, c’est-à-dire chose ou élément, être au singulier pluriel. C’est la seule et unique façon de garder la chose telle que produite. Il n’y a aucun moyen de sortir de ce cycle car, selon Jean Jacques Dessalines, Notre Dieu veille sur l’êtralité de sa production. Bukmqn souligne, pour ce qui est de l’être munal, qu’il le fait par la Voix qui nous parle de l’intérieur, soit la Gwqmunalité, que nos Ancêtres appellent aussi TibÄnqy. « Il nous ordonne de nous battre et vaincre », dit Bukmqn, parce qu’il y a, de la part du blancisme, tentative de défaire l’être munal en vue de se faire soi-même. C’est là la force de l’enseignement de l’Ancestralité. Cet ordre est de supprimer l’adversaire, le monstre, par son dieux, qui est source de nos malheurs. Ceux-ci résultent des tentatives, de sa part, de contraindre d’aller à l’encontre de notre soi, une violation de notre être et, par conséquent, du La, l’Être de Notre Dieu, Bon-Dieu. C’est là ce qui explique que l’ordre de nous battre et vaincre vient directement de lui. La Gwqmunalité fait une lecture de l’Ofowu, (Volonté Divine, qui est notre être) en nous et énonce ce qui est. D’où l’Indomptabilité et l’Insoumission Nègre!

 

La Gwqmunité

Il découle de cela que la chose en soi dépend uniquement de son soi, d’elle-même, et se mène soi-même. On se gouverne toujours d’après ses intérêts et les intérêts du soi viennent seulement, et en tout temps, du soi. Tel est notre cas, Nous les Négresses et Nègres. Par leur Gwqmunalité les Nègres et Négresses donnent à l’Invincible Jean Jacques Dessalines le mandat de déblayer la Gwqmunité, la leur propre, ce qu’il dénomme « Le Dépôt Sacré », en boutant le blancisme hors de notre champ existentiel, et Dessalines, Invincible Général’ à Jamais Vainqueur, à la fin, plus précisément, le 1er janvier 1804, se présente devant le Peuple, yunité seconde, et dit « je le dépose en vos mains, c’est à vous de le garder maintenant ». Le Peuple, par la volonté d’être en soi, par soi et pour soi des Négresses et Nègres, ce qui est leur yunité seconde effective, non une instance séparée, détient la Gwqmunité, Mbwa de se diriger soi-même, cela directement. Il y a une constance dans les pensées car dans la constitution, Article 1er  « Le Peuple habitant l’Île ci devant appelé Saint-Domingue se fait État, dont le nom est l’Empire d’AYITI, il est Souverain et Indépendant de toute autre puissance de l’univers ». Il s’ensuit que « l’esclavage est à jamais aboli » et qu’il est pour toujours interdit aux agents de ce mal irrémédiable, « les blancs, quelle que soit leur nationalité, de mettre le pied sur ce territoire à titre de maître et propriétaire ».

 

L’activité korbique

L’activité des biens et ressources est important dans la construction de l’Empire d’AYTI parce qu’elle participe aussi à la concorde nécessaire et indispensable pour atteindre la perfection. Elle descend de l’assistance mutuelle, Mbwa de la production et du maintien de l’être munal. Elle est aussi posée par la logique du Système Dessalinien qui part l’Érection de l’Éternel Empire d’AYITI de la yunité seconde effective et qui la consolide par l’abolition irréversible de l’esclavagisation, dont le travail par soi et pour soi en est la manifestation, ce qui rejette toute autre forme de production, dont le libéralisme. Pour cela la distribution des biens et ressources s’impose. C’est le point qui atteint l’Europe au plus haut point, le continent où le gouvernement a pour but la concrétisation des droits naturels individuels (de l’homme), soit la possession totale par l’un, via le travail rémunéré, appelé, à juste titre, esclavage ou esclavagisation par le Savant Jean Jacques Dessalines. Jean Jacques Dessalines fait de la jouissance effective des biens et ressources acquis par les Résistantes et Résistants au moyen de la lutte, un élément nécessaire. Tous et toutes auront, sans doute, leur part. Cela est un préalable nécessaire parce que cette part est le point de départ de la production collective. Collective, chacun-chacune travaille par soi et pour soi en faisant fructifier sa part  et aussi pour les autres Badr en produisant ce dont ils ont besoin et ce qui pourrait être, par la sensation, leurs intérêts. On peut changer de champ d’activité korbique, si telle est sa volonté, et si les moyens nécessaires le permettent. Ce qui n’est pas autorisé, c’est la banqueroute, la faillite, et la privation de ses enfants de la succession. Et ça continue. Point de doute, c’est un monde de gens bien nantis. C’est sans doute le régime de la possession nécessaire par tous et toutes et le bénéfice de la production nécessaire pour toutes et tous ou chacun-chacune directement. L’Autorité Impériale, qui est l’Empereur ou l’Impératrice, a pour vocation de s’assurer de la Gestion Globale des intérêts du Peuple. Dans le système de Jean Jacques Dessalines la production n’a pas pour objectif de s’enrichir mais de munir les Badr de tous les éléments qu’ils jugent utiles pour eux et elles. Tout l’Empire d’AYITI est à l’écoute de tout l’Empire d’AYTI. C’est la dépendance mutuelle dans l’indépendance. Pour le Soi Lakortal ou le Soi Munal. Les Badr agissent pour la Perfection, soit l’atteinte de la Négro-divinité, finalité immédiate.

 

Tous les Badr sont riches parce que tous et toutes disposent des moyens de se procurer ce qu’ils veulent. X peut être plus riche qu’Y. Ce n’est, certes, pas un problème. Tout dépend de la manière dont on produit et en accord avec quel objectif. Chacune-chacun se mène soi-même. L’important, c’est de produire pour cheminer vers la Perfection, soit l’atteinte de la Négro-divinité, la concorde munale.

 

Le coup de Napoléon Bonaparte

Voyant arriver à grands pas la chute de l’Europe devant le fameux Système Dessalinien, Napoléon recourt aux noir(e )s libres, qu’il a condamnés au génocide,  pour assassiner Sa Majesté Jacques 1er afin d’y faire échec et d’instituer la république d’Haïti,’ verte ennemie de l’Ancestralité, en octobre 1806, une colonie blanciste, au mieux, française.

 

La substance de la république d’Haïti

Il ne suffit pas de dire que le blanciste français a inventé la république d’Haïti, simplement pour marquer son opposition.. l’Ancestral(e) ne s’y oppose pas pour son plaisir mais à cause de son histoire, sa façon de se constituer et son contenu. Tout ce qui est, même mental et discursif, a un contenu (substance), si vide (sans extériorité) soit-il. La substance est la somme des éléments qui fait de la chose ce qu’elle est. Nous venons de le voir, partiellement, certes, pour l’Éternel Empire d’AYITI.

 

 

Nous allons faire la même chose pour la république d’Haïti, enfant du blancisme français, esclavage (esclavagisation) en tous points. Ce que nous venons d’exposer ci haut au sujet de l’État et du gouvernement est un élément essentiel dans la construction de la république d’Haïti. Il définit son auteur, son appartenance et sa ligne structurelle. Il suffit de mettre un peu de chair théorique sur l’ensemble des os, le squelette. C’est la pensée qui est à l’œuvre dans l’invention de la société. Il ne s’agit pas de discuter de la véracité du discours mais de poser ses éléments, plus précisément des principaux éléments, ceux qui instituent la chose. Le premier constituant de la structure de la république d’Haïti est le dieux de la bible, celui-là même dont parle Bukmqn, dans sa livraison discursive du 14 août 1791. Il dit de ce dieux qu’il est « le dieux des blancs », c’est-à-dire blancistes ou hommes. Il faut comprendre que le blanc (blsncisme), qui se définit comme le seul homme, a inventé dieux à son image, qu’il s’en sert en retour comme instrument de sa création, son devenir effectif, qu’il est faux, qu’il n’a rien créé, qu’il faut le rejeter pour tel, autrement dit qu’il ne faut pas le recevoir, et qu’il est, par son objectif, la source de tous nos malheurs. Notre Dieu est l’antithèse du dieux de la bible, ce qui nous place à l’antipode du blancisme. Le réel est en adéquation avec les paroles de Bukmqn car la bible, livre du faux dieux en question, affirme que celui-ci est, comme l’homme, le blancisme, irréversiblement esclavagiste. Ce dieux est l’origine de la religion qui a ordonné la mise en esclavagisation des Négresses et Nègres. Avant l’ordonnance du pape Nicolas 5, le pape Alexandre a partagé le monde et il a donné notre continent ancestral, Gelefwe, à l’Espagne, au Portugal, etc. Et c’est ce dieux qui est à la base de la république d’Haïti. Le second élément de la structure de la république d’Haïti est la religion catholique, une religion chrétienne, celle-là même qui est responsable de la conquête dite naturelle, pour la mise en esclavagisation des peuples. Elle se voit confiée la direction, au niveau de la conscience religieuse, de la population sur l’Île d’AYITI. L’église garde la prééminence.

 

 

 

L’autre aspect de la république d’Haïti est la politique, dans son sens restreint. Le premier élément de cette partie est l’anthropologie, ce qu’est la nature des gens qui composent la société. Cette partie est d’une grande importance parce que la fin de l’institution est la réalisation de la conception qu’on a de soi, soit l’homme. L’idée qu’on a de soi est l’homme des droits naturels de l’homme. Elle est nouvelle ou partiellement nouvelle, et a vu le jour au dix-septième siècle avec le philosophe anglais, Thomas Hobbes, dont je suis le spécialiste, de sa pensée. Disons brièvement quelques mots de cette pensée! Cette anthropologie présente l’homme comme l’être le plus important de la nature, qu’il est fait de droits naturels et qu’il est réduit à l’individu, être singulier. Pour le dire d’une autre façon, c’est une conception individuelle de soi, qui s’oppose foncièrement à la yunité du Soi Munal Ancestral du grand Savant Jean Jacques Dessalines. L’homme des droits naturels est, selon l’auteur, naturellement le possesseur de toutes choses. Plusieurs ont tout de suite adopté ce nouveau partage des idées de ce que l’on est. Cette idée de soi gagne aussi tout de suite, non sans modification, le terrain de la politique mais l’essentiel demeure. L’homme des droits naturels de l’homme est la base et la finalité de la politique de la république.

 

 

Cela change automatiquement les relations entre les gens. L’opposition naturelle entre les hommes, à cause de leur individualité (singularité), conduit à une situation de chacun pour soi et mésentente générale constante. La politique, dans un tel contexte, devient l’organisation convenable, selon les créateurs,  pour donner la forme nécessaire. Ce qu’il faut comprendre, c’est que l’égalité naturelle appelle l’inégalité artificielle, soit l’autorité, qui est la hiérarchie, dont la modalité est le renoncement à son droit naturel de se gouverner. Il faut souligner la contradiction de base entre la Pensée Dessalinienne, laquelle est ancestrale, et celle du blancisme, de l’homme. La hiérarchie politique, suivant la conception hobbienne, repose sur la représentation. Celle-ci, selon l’auteur, nécessite le vote, ce qu’il dénomme la démocratie, une nouvelle conception en politique. C’est la fin des droits naturels sans limites de tous. Chacun se borne à ce qu’il peut faire. Au niveau de la possession, le système libéral est institué, « le travail et l’épargne ». Cette pensée trouve écho chez les blancistes, ils vont vite l’intégrer dans leur vision du monde non sans modifier l’autorité, soit le souverain, celui qui détient le droit exclusif de commander, et la finalité hobbienne du système libéral. Selon eux le gouvernement est institué pour faire advenir les droits naturels de l’homme. Il faut comprendre que la société arrive pour réaliser les droits naturels et que le système libéral, à l’exemple de Hobbes, est retenu non pas de manière identique à celui du philosophe anglais. On travaille pour les autres, nécessairement les premiers possédants d’abord, les bénéficiaires de « l’esclavage » ou « la domesticité », pour reprendre le vocabulaire de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1793, afin d’aboutir à la possession totale, conformément à la conception originelle de Hobbes, non à sa politique économique. Il est théoriquement juste d’avoir des gens riches, et même très riches, des pauvres, voire très pauvres. On est ici à des années-lumière de la vie d’ensemble, qui est nécessairement l’Éternel Empire d’AYITI, de Jean Jacques Dessalines, où le travail pour les autres est esclavagisation. Voilà la politique et l’économie de la république d’Haïti, une vision purement européenne de la collectivité, dès 1806. Il s’ensuit que la république d’Ayti est une institution européenne sur le Territoire Impérial. Elle est une esclavagisation, système contre lequel l’Éternel Empire d’AYITI est institué.

 

 

L’état de pensée dans la république d’Haïti

Ce que nous venons de voir très brièvement n’a rien d’Ancestralité. Point n’est besoin de le dire, c’est un autre monde. Nous ne pouvons pas nous empêcher de nous demander quelle est la chose appelée la république d’Haïti. Tout est déjà évident mais pour celles et ceux qui suivent ou respectent les règles du discours. Par conséquent nous voyons la nécessité de poser la question. Il ne fait aucun doute que l’état de pensée des Haïtiennes et Haïtiens est Ancestral. Comment cela est-il possible ? Il faut retenir deux choses. La première est que l’homme n’est pas le blancisme, comme il aime à se définir, mais une entité mentale qui sort d’un mauvais calcul dans les tentatives de se connaître. Cet être de pensée est une inclination à dominer les autres, laquelle inclination a pour corollaire le refus de se laisser mener par eux. Nous sommes en face d’une conception hiérarchique du monde. Le teint n’a rien à y voir. L’homme est une conception spécifique qu’on a de soi et il est effectivement kuku, soi, encore soi, toujours soi. Pour compter à ses yeux, il faut qu’il puisse tirer un bénéfice de toi, lequel bénéfice te relie automatique à lui. Il peut même t’attribuer l’appellation homme mais à un niveau second. Il s’accroche à tous ceux et celles dont il peut tirer quelque chose, si minime soit-il, d’’utile à son devenir effectif. Il y a des hommes partout et en tout Le kuku est la première conscience d’être qu’on a de soi. Voilà une ébauche de l’anthropologie vudun ou négro-divine! Elle est nécessaire et indispensable à la compréhension de la science, au mieux, du Dqmbala négro-gelefween.

 

 

 

Les noir(e )s libres sont des hommes au même type que les blancistes.

Bien qu’ils aient vu le jour dans la munalité, l’Ensemble Ancestral, pour une raison ou pour une autre, ils n’ont jamais renoncé à cette vision primitive de soi, malgré le contact des autres gens et surtout d’une pensée contraire et contradictoire. Le penchant leur fait voir que, pour l’heure, malgré l’opposition, l’utile est dans le blancisme. Une certaine ouverture en leur direction éclore. Ils vont jusqu’à se laisser manipuler pour y atteindre son objectif. Des fois ils réussissent, d’autres ils échouent. Mais ils persistent et signent. C’est en jouant avec le feu qu’ils finissent par se faire prendre. Le niveau n’est pas le même en tous et toutes, bien évidemment. Ces gens qui n’étaient ni mun, dans le sens plein du mot, ni blancistes, un dérivé de l’homme au sens négro-divin du terme, sont maintenant voisins de ces derniers. De quelle façon ? En adoptant certaines idées et certains comportements du blancisme et ils dénaturent plusieurs d’entre eux là où il le faut. Ils sont ainsi pris dans le blancisme.

 

 

Faisons le saut dans l’Empire d’AYTI! C’est avec ces gens, quel que soit leur teint respectif, qui se sentent très éloignés des Ancêtres, que Napoléon Bonaparte et ses espions ont fait la république d’Haïti. L’empereur français a même tenu compte de leurs intérêts en distribuant les postes décisionnaires.

 

 

La déconstitution et reconstitution

Il est impossible de ne pas se rendre compte, surtout pour les nouvelles générations, qu’on vit dans une institution distincte de celle des Ancêtres et qu’on n’est plus l’être munal, au sens premier du terme. L’essence ofowu est et reste indestructible mais elle n’est plus celle qui est en application. Il s’ensuit que ++la face des choses n’est plus la même. Les aîné(e)s veulent garder les nouvelles générations auprès d’eux et ils font tout pour y parvenir. Ils ne réussissent pas toujours, faut-il l’admettre, mais leur persuasion rapporte gros. À côté d’eux il y a les blancistes qui ne baissent jamais les bras. Ils sautent sur ceux et celles qui viennent d’arriver et maintiennent une pression négative très forte sur les autres vivant en périphérie du blancisme. Ils sont soumis à une vision négative de leur vivasiÄ Il y en a qui résistent au début mais qui, à la fin, finissent par acquiescer. Ceux-ci, en renonçant à ce qu’ils sont, deviennent sans attache, sans branche, et sont livrés à eux-mêmes, une situation extrêmement dure. C’est là, dans le vide culturel, au mieux, vivasiÄnel, que le blancisme va à leur rencontre pour leur offrir un toit. Ce toit est comme une greffe. Il faut appartenir à un groupe pour se sentir être. Ils le trouvent, ce groupe, en un lien culturel, mortel, certes, avec le blancisme. Ils s’identifient à eux. Ils parlent et rêvent comme eux. Ils ont les mêmes projets qu’eux, Qu’ils réussissent ou pas, cela importe peu. L’important est qu’ils se sentent être à travers eux, des gens avec qui ils n’ont aucun contact même s’ils étaient couchés dans le même lit qu’eux.

 

 

Même à l’intérieur de la cave blanciste, ils ne sont pas laissés à eux-mêmes, Au contraire, parce qu’ils y sont affaiblis, la pression s’accroit sur eux avec constance. Comme une plante ne se passe pas de soins pour rester en vie, l’esclavagiste juge qu’il est important de s’en occuper plus qu’avant. À l’école, à l’église, dans les centres de culture, bref, partout et en tout, il presse, de façon continue, leur mental. La chose est tellement aigue qu’elle avoisine la cruauté, au mieux, la torture. Nous sommes toutes et tous témoins d’une pratique de masochisme et sadisme. Qu’on observe les centres religieux pour prendre note de la violence indescriptible qu’ils exercent contre eux-mêmes afin de faire taire en eux ce que Bukmqn appelle la Voix nous parlant de l’intérieur, alors la Gwqmunalité. Nous assistons au vol de soi, ce que l’on est, par le blancisme, dans le nom de son dieux, par soi, la victime même. Ils la veulent ardemment, l’impitoyable violence. Non seulement parce qu’ils sont fiers d’en être le fruit mais aussi ils encensent sans cesse la république d’Haïti qu’ils constituent toutes et tous et sa source, le blancisme. Ils louent la structure républicaine haïtienne qui est la leur propre. Ils crient quotidiennement, en tout lieu et en tout instant, leur attachement aux droits de l’homme et à la démocratie (deux monstruosités), le signe de leur non être. Sont-ils oubliés par la conscience d’être pour arriver à un point de rendre gloire au vide, le néant de soi.

 

 

Tout cela se fait au bénéfice des gens avec qui ils n’ont aucun contact même s’ils étaient couchés dans le même lit qu’eux. La dernière partie de la proposition précédente laisse clairement entendre que le lien est à sens unique. Ce sont eux qui vont maintenant, dans ce contexte-ci, vers le blancisme. Même si ce lien est vital pour le blancisme, celui-ci n’a aucun intérêt à être attaché avec eux par une quelconque corde discursive. Il n’a rien à aller chercher en eux. La blancismité est en lui et elle lui suffit. Il n’a pas à être eux, ce qu’ils sont primitivement, pour quelque raison que ce soit. Ils n’ont rien à lui apporter en matière de son essence d’être. Sur ce point il est tout ce qu’il doit être. C’est au niveau de sa factualité d’être, ce qui est un autre rapport, que le blancisme ne peut pas se passer d’eux. Le lien à sens unique le comble. Le contenu de ce lien est pur lui et sui generis. C’est sa sueur. Les travaux dont bénéficie le blancisme par le lien à sens unique ne constituent pas un lien. Il s’agit des devoirs du vaincu. Alors la corde est au cou des soumis et soumises, dont le teint n’en fait pas des Nègres et Négresses.

 

 

Cette négation du lien nous conduit à une autre. C’est les soumis et soumises, les uns vis-à-vis des autres. Il n’y a aucune collectivité entre eux car aucune pensée régulatrice de type groupal ne siège parmi eux. Puisque le lien ne lie pas, ils sont tous étrangers les uns aux autres. Ils sont livrés à eux-mêmes sans égard les uns aux autres par le sentiment haineux blanciste pour les Nègres et Négresses en eux qu’ils ont hérités du blancisme à travers le lien ou de la pensée blanciste. C’est l’état de nature, dirait Thomas Hobbes, mais d’un nouveau genre, abstraction faite des règles de conduite dictée par la société blanciste. C’est par ces règles mêmes en eux que l’état de nature diffère. La discorde règne dans leur sein, si nous pouvons en parler en ces termes parce qu’ils ne se connaissent pas. Plus l’appartenance au blancisme progresse, plus ils s’entredéchirent. Il leur est presqu’impossible de passer des ententes entre eux à condition qu’il soit question de la mort d’un autre parmi eux. Ils tirent à boulets rouges les uns sur les autres pour un oui comme pour un non. Là où la mésentente est justifiée, point n’est besoin de dire que le feu sera pris. Cependant si les blancistes en font partie, et même s’ils en sont directement responsables, ils minimisent leur partie pour charger leurs pairs. Ce ne sont pas les responsables qui portent le blâme s’ils sont blancistes mais leurs pairs. La part de responsabilité des blancistes est toujours moindre, là où elle n’est tout simplement pas supprimée sous prétexte qu’elle est provoquée, même s’ils donnent les ordres dans son propre intérêt. Par exemple, le blancisme nomme le dirigeant, sans tenir compte des lois, mêmes fondamentales, de l’institution, voire du choix des gens, ils ne l’ignorent pas, ils supportent la nomination mais le rendent responsable de la mauvaise gestion en ignorant le boss. Là où la chose est trop évidente, ils font passer le boss, qui est le chef à qui le dirigeant doit rendre compte, pour tolérant non comme celui qui dicte la politique. Ils font comme si le dirigeant était au-dessus du boss parce qu’il est, tout simplement, le blanciste. Somme toute les blancistes ne sont jamais perçus comme responsables et coupables de rien. C’est toujours les Négresses et Nègres, les exécutantes et exécutants, soumis et soumises. En somme c’est l’antinomie entre les libres.

 

 

Nous savons que l’Invincible Général Jean Jacques Dessalines a réduit à l’impuissance les blancistes. Par les libres ils reviennent en force et sont greffés sur eux. Ils se servent maintenant des libres pour mener leur opération de déconstitution au profit de leur devenir respectif. Nous le lisons facilement dans les propos et les sentiments de l’empereur français, Napoléon Bonaparte. Sans les libres le blancisme serait en train de s’évaporer. En établissant le lien entre les libres et lui, le blancisme a fait d’une pierre deux coups puisqu’il se greffe sur eux. Sans cela il serait toujours dans l’impossibilité d’agir. Pour mener à bien son offensive contre l’Ancestralité, il porte un masque. Il prête le visage des libres. Le blancisme ne risque rien en procédant de cette façon. Il y a plusieurs raisons à cela. Le libre est le tube où coule le blancisme. Nous entendons par là que chacun-chacune œuvre dans l’intérêt de celui-ci, le blancisme. C’est comme un arrosoir, le libre. Chacune-chacun fait son travail et ne se rapporte qu’à des gens spécifiques. L’absence de lien entre les libres ne les divise pas. Ils ont une réalité propre, à savoir qu’ils mènent une vie singulière et qu’ils ne s’attachent qu’à leurs intérêts respectifs. Bien évidemment cela crée un vide au sein de la multitude informe, aspect d’état de nature d’un nouveau genre versus aspect lié. Il s’agit des mêmes gens sous des rapports opposés. Le vide affaiblit considérablement les libres et du même coup renforce le blancisme. Ce n’est pas l’œuvre d’un jour ni même d’un siècle.

 

 

Une situation passagère

L’objectif du blancisme n’est pas de porter toujours un masque car la situation n’est pas confortable. Elle ne correspond pas  non plus à la vision blanciste du monde. Il planifie son retour à la gouverne directe, sans intermédiaire. Il lui faut faire, de temps en temps, des apparitions en ce sens jusqu’à la manifestation de son intention cachée au point de ce qui est pour lui non retour. Cela ne signifie pas que ce à quoi il rêve deviendra réalité. Ce qui est sûr et certain au jour d’aujourd’hui, c’est la grande faiblesse des libres, alors de la république d’Haïti, Par faiblesse, il faut entendre l’impossibilité de s’imposer. Cet état de fait se mesure à l’aune des événements. Quand vous ne pouvez pas dire « NON » sans vous attirer la sanction, alors la foudre, de votre interlocuteur, cela veut tout simplement dire que vous ne jouissez pas de ce droit, en système de droits, de droits de l’homme. Il faut y comprendre que votre humanité est extrêmement limitée. Ça va  de soi, vous n’êtes pas en soi, dans le contexte où vous êtes. Le contexte, c’est l’institution, république d’Haïti. Elle vous définit, celle-ci. La république d’Haïti vous déshumanise puisqu’elle vous diminue en tant qu’être. Elle met en évidence que vous ne vous appartenez pas. Si elle a ce pouvoir sur vous, premièrement elle n’est pas de vous, deuxièmement elle ne vous appartient pas. L’institution, qui est ici la république d’Haïti, est un intermédiaire entre deux choses. Elle vous subordonne à l’autre. Celui-ci est votre possesseur ou votre propriétaire. Ainsi le constituant république d’Haïti est, par sa forme, un subordonnant, Elle réduit à l’état de subordonné  tous ceux et celles qui se joignent à elle.

 

 

Les récents événements le clament tout haut. En effet le blancisme soumet à la république d’Haïti un programme à exécuter, cela dans un temps précis, en sachant qu’elle n’y parviendra pas parce qu’il a déjà chambardé le mental de tous membres. Le déroulement des événements lui a donné raison. Évidemment il y a, au bout du compte, un objectif. Le couvert sur la table le révèle bien. Aucune règle interne de l’institution n’a de poids devant le programme à exécuter. Elle est dénudée. Ici le néant s’affiche en LETTRES CAPITALES. L’annonce de la chute de l’institution est donc cet objectif. Par conséquent la fin de l’accord primitif, qui faisait tant la joie de l’empereur français, Napoléon Bonaparte. L’impossibilité de refuser la soumission à une force étrangère que comporte le programme le dit sans ambages. Il y a plus. Cette même impossibilité présente aussi la nouvelle autorité, le maître, mais sans sa structure. Elle n’a pas à le faire car désormais c’est une affaire interne.

 

 

Ont-ils, les blancistes, raison de procéder ainsi ?  C’est leur affaire à eux. Toutefois il y a deux choses à signaler. Dans un premier temps le blancisme voulait prouver qu’il n’a violé aucune règle externe parce que la république d’Haïti était finie. Il l’avait déjà proclamé. Cela le met, selon son calcul, à l’abri d’une poursuite pénale quelconque pour esclavagiste, un crime contre l’humanité. Son interlocuteur est son monde à lui. Il supporte ce coup de carte par le consentement ou le ralliement de l’ancienne république d’Haïti. Pour lui ce n’est pas farfelue puisqu’il y a absence de protestation. Pour éviter celle-ci, il ramenait à sa cause les quelques groupes qui manifestaient la volonté de le dénoncer, de s’y opposer. Celui qui l’a fait en étant instruit de l’intention et s’y était opposé a été lâchement assassiné, les groupent le savent bien. L’Éternel Empire d’Haïti, l’Empire de Dessalines, en prend note. Y-a-t-il eu un autre coup napoléonien, un à peu près pour sauver le blancisme du danger?

 

 

La deuxième chose, le blancisme sait que sa tentative est vouée à l’échec parce que la république d’Haïti n’a pas de territoire, qu’elle est une simple institution, égale à une religion, qu’elle était là illégitimement et illégalement dans le but d’amener les gens à la compréhension du coup de 17 octobre 1806, que le coup du 17 octobre 1806 est inconstitutionnel, que la république d’Haïti est persona non grata depuis le mois de mars 2024, que l’Empire d’AYITI est Éternel et que l’Administration Impériale est déjà Rétablie. L’ombre de la république d’Haïti n’est plus sur le Territoire d’AYTI, Territoire Impérial. La loi de l’Empire d’AYITI s’y applique pleinement et dans toute sa force.

 

 

L’Éternel Empire d’Haïti est le « Dépôt Sacré », la Gwqmunité, Mbwa de se gouverner soi-même, que l’Éternel Vainqueur du Blancisme, Invincible Général et Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines, a demandé au Peuple Endogène de maintenir parce qu’il est ce qui le définit en tant qu’ËTRE MUNAL. L’Empire d’AYITI est la forme extérieure de ce que nous sommes intérieurement en tant que MUN, Indomptable et Insoumis.

 

 

La république d’Haïti a mis en lumière ses origines coloniales. Eux qui, par la greffe, en se soumettant au discours, donnent vie au blancisme, ne sont en retour, au moyen de la greffe secondaire, soit sur un autre rapport, que par celui-ci, et tendent, eux aussi, à rester en vie, mais en tant qu’être qu’ils se sentent être, alors seules les libres aiment l’esclavagisation. Cela ne peut pas être autrement, à cause, bien sûr, de la quintessence, discursive, certes, d’esclavagisé(e)s ou esclavagisante qui les a faits être.

 

 

Il découle de cela que, par la république d’Haïti il y a sur le Territoire Impérial plus d’Haïtiennes et Haïtiens ennemis de l’Ancestralité que partout dans le monde; toujours par cette institution, les Négresses et Nègres y ont plus d’ennemis que partout ailleurs; tous les blancistes (de la terre) réunis ne peuvent pas atteindre le niveau de gens dans la république d’Haïti qui haïssent les Nègres et Négresses; ça va de soi, c’est en Haïti que les blancistes ont plus d’adorateurs et adoratrices dans le monde.

 

 

Plusieurs membres de l’Éternel Empire d’AYTI diront peut-être qu’il faut tenter de dessaliniser les gens afin de les sauver. Nous en doutons fort, la dessalinisation n’y pourra rien car le problème est la perte de communication avec soi-même. Ils se voient autre et sont convaincus de la conscience d’être qu’ils ont d’eux-mêmes. C’est delà que vient la perception de la vie, surtout de soi-même. C’est une maladie mentale rarissime. Les gens atteints de la blancismologie, une bactérie mentale ou spirituelle mangeuse de l’Ancestralité des Négresses et Nègres, ont très peu de chance de s’en remettre.

 

 

Cependant les Ancêtres, nos Ancêtres, Négresses et Nègres, et nous-mêmes sont et restent en eux-mêmes invariablement. Nous sommes le centre invariable et irrévocable de nous-mêmes. Nous sommes le lieu d’action infinie de Notre Dieu, Bon-Dieu, GWQMRTLA. Nous sommes antipodiques aux blancistes comme aux libres car nous sommes des êtres ofowu en tous points. Notre lieu d’exister est l’Éternel Empire D’AYTI, notre être extérieur, érigé sous le « Décret immortel Divin ». Jean Jacques Dessalines définit notre espace existentiel comme suit : Dessalines 28 avril 1804 « « Quel est ce vil Haïtien, quelle est cette ville Haïtienne, (…), qui ne croit point avoir rempli les décrets divins (donc éternels), en exterminant ces tigres altérés de sang? S’il en est un ou une, qu’il ou elle s’éloigne; la nature indignée le ou la repousse de notre sein; qu’il ou elle aille cacher sa honte loin de ces lieux : l’air qu’on y respire n’est point fait pour ses organes grossiers; c’est l’air pur de la Gwqmunalité, laquelle est auguste et triomphante. » Le message est simple : l’Éternel Empire d’AYITI EST pour une catégorie de gens bien précise, ceux avec qui nous formons une Yunité irréversible.

 

 

À la demande générale du début à la fin

La république d’AYTI, habitat des deux bactéries, l’une physique, l’autre mentale, c’est-à-dire le blancisme, est à jamais expulsée de notre Territoire, le Territoire de l’Éternel Empire d’AYITI. L’institution n’est plus sur notre Territoire mais les gens qui la portaient pendant 218 ans ainsi que les blancistes qui les chevauchaient ne peuvent pas le quitter. Ils y sont retenus jusqu’au jour où leur sort sera fixé. La raison pour laquelle nous procédons ainsi est qu’il ne s’agit pas des personnes spécifiques dans le sens de déterminées. La liste des crimes est longue à cause du temps concerné. Nous le savons, plusieurs de ces criminel(le)s sont déjà partis pour le pays sans chapeau et d’autres n’y avaient pas encore vu le jour au moment où certains de ces crimes ont été commis mêmes s’ils en sont coupables au même titre que les autres. Les coupables sont déterminé(e)s en tout premier lieu par leur appartenance à la république d’Haïti. C’est une culpabilité d’abord a priori. Il y a un nombre massif de citoyens et citoyennes qui n’y figure pas. C’est le Peuple Endogène, il est et demeure l’Éternel Empire d’AYTI. Ces gens sont en dehors de la république d’Haïti. Il y en a qui seront coupables a postériori, par exemple, les enfants qui n’ont rien compris de ce qui se déroulait. Leur culpabilité sera fixée au moment où ils feront preuve de blancismologie. À titre d’exemple, une personne qui, après ses études classiques, et même pendant, dans certains cas, devient un(e) farouche défenseur(e) de la république d’Haïti et du blancisme et qui se met même au service de son penchant bactérien, est en situation de blancismologie et est, par le fait même coupable, du 17 octobre 1806 et tout ce qui suivra. Toute tentative de barrer la route à l’Éternel Empire d’Haïti par le silence ou l’apologie de la république d’Haïti est sous l’effet de la blancismologie. Camoufler la présence du blancisme comme le dirigeant effectif par la mise en accusation des serviteurs et servantes haïtiens qui sont des agents du blancisme en les rendant responsables directs de tous les crimes et la dite mauvaise gestion est un crime relevant de la blancismologie. Ces exemples suffisent à donner une idée de ce qui se prépare. C’est ce sur quoi nous travaillons à l’ombre de son corps pour être en plein accord avec l’Ancestralité et la Dessalinienne.

 

 

Il est à noter que ce que nous vivons présentement est irréversible et nous sommes de plein pied dans l’Éternité de l’Empire d’AYTI. Rien ni personne ne nuire ou retarder quoi que ce soit. Le ciel toujours gris et constamment endeuillé est à jamais derrière nous et le Pays Ancestral, l’Éternel Empire d’AYITI de Tóya-Dessalines, LIEU « d’assurer la garantie et la sûreté des citoyens et citoyennes  d’une manière immuable et irrévocable"  sort des nuages qui le cachaient. TRAVAILLONS ENSEMBLE !

 

 

Jean Jacques Dessalines Plus Que Grand, « Éleveur(Fondateur) de l’édifice de notre indépendance et notre liberté.(Gwqmunalité) ».

 

Ce Décret est effectif dès aujourd’hui

 

 

Pour la Maison Impériale Dessalines, l'Empire d'Ayti, Éternel Empire de Tóya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité, que l'ennemi et sa gang, présents sur Notre Territoire Impérial, croyaient à tort avoir à jamais englouti :

HRH Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste, 7e de la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, IIIe de la lignée des Empereurs d'AYITI, et Garant de la wÄnité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Tóya-Dessalines, Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme, et théoricien de la munalité, soit l’Existentialisme VudUn

                                                                              

 

Samedi 9 mars 2024- et renforcé au fil des événements fin dimanche 05 mai 2024

Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire

Autres pages consultées

Explorer les sujets