Déformatage : le Dogme, ennemi de la Vente et du Développement !
Les dogmes :
- politiques,
- Religieux,
- Philosophiques en général,
- et pour ce qui nous occupe ici, en matière de Management au « Formatage » suranné,
sont par nature figés !
Donc, des freins coupables au progrès, au mouvement et à la remise en cause face à des modèles de fonctionnement sociétaux qui par nature avec le temps changent, les évolutions démographiques et écologiques, sont par nature mobiles, évolutifs. Le Dogme est l'Ennemi !
L’évolution est l’essence même de toute forme de vie et, des groupes !
Ceci, selon les travaux anciens et, quasi contemporains, publications profondément étudiés par de grands penseurs et politiques tels que les britanniques Thomas Hobbes (Léviathan), John Locke, puis Jean-Jacques Rousseau auteur du « Contrat social », inspiré du modernisme britannique du XVIIème siècle. Voire plus récemment, Tocqueville !
On pourrait évoquer également leurs grands inspirateurs philosophiques de l’Antiquité tels que Platon, Aristote, etc., ou de penseurs plus récents tels que Galilée ou encore Descartes. Tous faisant vaciller l’obscurantiste Moyen-Age, alors sous le joug de Dogmes religieux monothéistes eux-mêmes en très violente guerre interne, pour ouvrir enfin, le siècle des Lumières qui illumina l’Europe.
Étonnamment on oublie l’Empereur Philosophe Romain Marc Aurèle ((IIème siècle ap.JC) qui, si tant est qu’il osa parler de Dogme, soulignait que: « le seul qui vaille, est qu’il y a dans l’univers un «principe directeur»: la Raison universelle qui produit les êtres et les événements selon un plan rigoureusement rationnel. De ce principe découle en l’homme un principe directeur, la raison qui donne à l’homme la possibilité d’être tel qu’il veut.
De là découlent ainsi, des règles de vie dans les trois grands domaines de l’existence humaine : ce que l’homme fait, subit et, pense.
- Ce qu’il subit c’est tout ce qui ne dépend pas de lui.
- Ce qu’il doit faire, c’est tout ce qui dépend de lui.
- Ce qu’il pense, ce sont les représentations de la réalité et les jugements de valeur qu’il dépend de lui de porter.
De ces trois domaines de la vie humaine découlent des "règles" de vie.
Dans le domaine de vie de la pensée, il faut dénuder les événements et les choses de leur fausse valeur et ne pas juger ce qui ne dépend pas de nous.
Dans le domaine de la vie, de l’action, il faut traiter autrui avec une totale compréhension, un véritable amour et de la bienveillance ainsi que, bien agir dans la société.
Sociétés (marchés) sans cesse observées, scrutées, puis agir en totale simultanéité faisant évoluer modèles et règles qui gouvernent en harmonie avec, l’évolution naturelle et rapide de toute forme d’organisation !
Enfin, dans le domaine de vie de ce que l'on subit, faudrait-il accepter les événements que la Raison universelle d’un temps fugace, que notre Formation, notre « Formatage », souvent véritable carcans, nous a attribués comme destin ? Comme ligne de pensée et d'action immuables, inamovibles ? Certes non !
Ne pas subir mais, évoluer !
Ne pas subir pour les politiques, décideurs, et dans le cadre social majeur que sont les Entreprises, les managers, c’est accepter le «Déformatage» et la flexibilité intellectuelle, professionnelle en "jugeant avec acuité de ce qui ne dépend pas intrinsèquement, de nous".
Puis agir. Vite !...
Déjà 7 décennies d’actions « formatées » sont toujours, la Règle !