D’expert à facilitateur : l’évolution du métier de formateur et ses compétences centrales. Interview de Stéphane Vaillant

Le métier de formateur traverse une période de transformation radicale, marquée par les progrès technologiques, les nouvelles méthodes d'apprentissage, les exigences changeantes du monde VICA, et les attentes diversifiées des apprenants. Ces évolutions redéfinissent le rôle et les compétences nécessaires pour exceller dans ce domaine.

Dans cette interview, nous allons à la rencontre de Stéphane Vaillant, qui nous explique son parcours et épingle les évolutions de son métier ainsi que les soft skills centrales.

Dans ce résumé, je partage avec vous les propos de Stéphane qui nous explique son parcours de commercial à formateur innovant, mettant en lumière l'évolution du métier de formateur.

Avec une carrière riche allant de la vente au coaching, Stéphane illustre la transition du statut d'expert à celui de facilitateur, une métamorphose essentielle pour répondre aux besoins actuels de formation.

La définition du métier de formateur selon Stéphane

"Être formateur, c’est être celui qui amène les autres à grandir, un éveilleur de curiosité."

Les évolutions identifiées dans le secteur de la formation

Stéphane retrace les évolutions du métier de formateur, depuis l’expert (celui qui sait) à celui de facilitateur. Il revient aussi sur l’importance de l’utilisation des nouvelles technologies et de l’intelligence artificielle qui marquent profondément ce métier.

Et il souligne qu’il envisage le formateur moderne comme un facilitateur, privilégiant une pédagogie interactive et intégrant les technologies récentes pour répondre efficacement aux besoins variés.

Pour rester pertinents, les formateurs doivent cultiver leur curiosité pour les innovations, tout en restant authentiques et conscients de leurs propres compétences, afin de développer une méthode d'enseignement unique et efficace.

Il paraphrase d’ailleurs cette citation: “apprendre à connaitre les autres, c’est de la science. Apprendre à se connaitre, c’est de l’intelligence!”

Les compétences prioritaires à maitriser en tant que formateur...

Une bonne compréhension et application des nouvelles technologies en pédagogie, ainsi qu'une capacité à personnaliser l'apprentissage, sont essentielles.

... ainsi que des soft skills

Selon Stéphane, les soft skills permettent de se connecter avec les apprenants et d'ajuster ses méthodes selon leurs besoins.

Il épingle 5 soft skills centrales pour le métier:

• Leadership
• Organisation, gestion du temps et progression logique pour l’apprenant
• Adaptabilité
• Empathie
• Résilience

En conclusion, ces soft skills permettent aux formateurs de développer une pédagogie interactive et pratique pour faciliter l'apprentissage efficace et pertinent dans le contexte actuel.

Envie d’en découvrir plus, retrouvez l’article précédemment publié en collaboration avec Stéphane et intitulé "Quelles compétences pour les formateurs (augmentés) de demain?"

Une interview à découvrir en

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