#Duchamp (le Marcel) ma touyé !

#Duchamp (le Marcel) ma touyé !

En joue, Feu !...

Son corps déjà enterré s’écroule toujours plus bas que sa considérable renommée, entretenue au flambeau de l’art « idiot-matique ».

Un titre, un #prix, une raison à donner à la fainéantise des établis, une justification pour #galerie sans inspiration, une carte de visite comme passe à valoir sur tout avoir, « Pet ! » à ton âme damnée Marcel #Duchamp, fumiste nouant la ficelle honorifique du déménagement des amis en exile. Je te meure de toute ma fureur.

Quand, tu crèveras enfin des cous de jatte des contemporains, du content’pour’rien, le temps reprendra son chemin de retour. Ce sera le temps de l’automne, le moment des feuilles mortes, du bruissement de la pluie sur ta pierre (ef)frontale.

Mais de quoi t’accuse-t-on vieille Rrose ?

Les mots, les maux, les crimes sont légions sous la justification de ton nom, devenu sans ton accord une œuvre d’#art à lui seul.

Ainsi, je prose sur une couronne de fleurs à l’intention de l’art pour rien : « Duchamp ma touyé ! ».

Aussi, je « proposifis » un billet de banque comme unique #monnaie d’échange entre #spéculateurs, à l’effigie de ta glorieuse fontaine émis par la #banque internationale Marceline Duchampoise, l’éternel secrétaire signataire des bons de payement sur papier glacé contrefait par des nains autistes fortement #alcoolisés.

Encore un #crime du #DADAïsme du « c’était mieux avant », mais avant, il y avait la guerre Comment ça pouvait-être mieux avant ? L’art de cette #guerre et lard de #cochon, c’est du pareil au même, le nom compte plus que l’œuvre, pour afficher le prix de ta crotte.

Ta carte de visite est ta plus grande #œuvre « d’artist’mystique ».

Je sais moi, que tu sais toi, qu’ils se trompent tous et toutes : l’art Sélavy !

#JYB - Dix cours d’un rot ha

Beatrice Thèves-Engelbach

Maraîchère Jardinière Designer

5 ans

quelle verve!

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