Entre zéro et un

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Celui un jour qui disait qu’entre zéro et un, toute l’économie mondiale pouvait être régulée ou mise à genoux, n’avait peut-être pas tort ou passait pour fou mais ce qui est certain c’est que dans cet espace métrique entre 0 et 1, il y a autant de chiffres et de numéros en trillards qu’on peut mettre derrière la virgule qu’il en existe entre 1 et + ∞. Ainsi conçu, entre 0 et 1, il est facilement concevable d’apprécier tous ces 0,1 / 0,2 / 0,3… 0,999999 comme des coefficients correcteurs pouvant relier la macroéconomie des grandes entreprises côtés au Cac40 à celles de la microéconomie des TPE / PME, des petites exploitations agraires, artisanales de manière à introduire ce coefficient de participation collective d’entrée à chaque investissement ou pour la sortie des bénéfices sur une caisse commune, municipale ou collective. Chaque unité d’investissement, constituant une unité, quelque soit la somme en milliers ou en milliards d’unités de la monnaie mondiale qu’elle utilise, en tant qu’unité, serait soumise à participation d’entrée et de fonctionnement de 0,1 ou 0,2 ou 0,3 jusqu’à 0,9999999999 de plate-forme boursière pour ce qu’on appelait naguère la « Caisse Municipale » collective. Pareil pour les sorties des bénéfices et les plues-values boursières, elles aussi transformées en dividendes d’unités de gains, sur lesquelles 0,123456789 peuvent envoyer une partie du capital vers la microéconomie des TPE/PME, histoire d’avoir régulièrement un fond de caisse régulier qui puisse fonctionner sur les bourses, les multinationales et les marchés du change pour qu’ils alimentent aussi la petite économie, chaque jour qui soulève des milliers de capitaux d’unités d’investissement ou de gains, est laissé 0,123456789, à l’entrée et à la sortie. Le 0,1 de départ peut se transformer en 0,4 selon les nécessités des priorités des secteurs qu’on cherche à protéger. 4 secteurs (agriculture, éducation, santé, climat) = 0,4.

3 secteurs (forêt, pêche, champs) = 0,3

% de coefficient correcteur de majoration des grandes entreprises pour les plus petites qui de toutes façons ne font pas autant de % d’intérêts ou de salaires mirobolants que n’en font les traders, les actionnaires et les fournisseurs de dividendes. Ainsi posé, sur toutes les places financières, boursières où passent les capitaux, jusqu’au change des différentes monnaies mondiales, toute unité d’investissement entrée le matin, dépose son 0,1 ou 2… ou 3 ou 4 son coefficient de participation à l’économie plus petite ; tout comme le soir, lors de la sortie des bénéfices, sur la récupération de l’argent travaillé qui refile vers les banques privées et les caisses du patronat, le coefficient rectificateur entre aussi en action entre 0 et 1 pour les services publics, les fonds sociaux ou aussi les TPE/PME. Entre 0 et 1, ce n’est pas un espace gigantesque bien qu’il y en a autant à compter qu’entre 1 et + ∞ et sur les centaines de milliards ou milliers de milliards qui passent sur les marchés, 0,4% ou 0,7%, justifie amplement le fonctionnement des établissements qui font échanger, en les réunissant, les États de l’économie mondiale, tout en pensant aussi à la microéconomie, plus souvent soumise à liquidation judiciaire qu’à arrosage de dividendes. L’entrée des investissements et la sortie en gains (bénéfices) ne peuvent être séparées de la petite économie qui n’est pas cotée en bourse, au Cac40 mais dont l’importance, en première nécessité ou en viabilité pour une famille et des enfants, n’en démontre pas moins l’indispensable place dans le fonctionnement général d’une économie. Alors, pourquoi pas financer automatiquement par la macroéconomie des places boursières, un petit marché d’une consistance certaine par une solidarité de coefficient applicable le matin et le soir, entre 0 et 1. Le fait qu’une grosse caisse comme la bourse tourne devrait automatiquement en faire fonctionner une plus petite, sur une échelle économique différente où le coefficient 0,123456789 met en valeur l’économie jusqu’à la plus petite échelle, dans le but de rendre la petite économie aussi forte que la macroéconomie, dans une conception de « gestion collective ».


En installant, dès que se constituent des capitaux mis en circulation, un système de « filtre » à l’entrée et à la sortie des marchés financiers et boursiers, une caisse approvisionnée en permanence et quotidiennement par un coefficient de solidarité et de fonctionnement par la régularité participative de la règle « entre 0 et 1 » qui, après tout, a autant de valeur métrique et comptable que celle comprise entre 1 et plus l’infini ; sans doute arriverions-nous à limiter les distances qui séparent le monde boursier des places places financières, de celui des petites, moyennes et très petites entreprises qui n’ont pas les mêmes rapports financiers à la concurrence ou à l’occupation d’un marché et d’une clientèle.

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