Et si je prenais des vacances avec moi-même ?
Parfois on a besoin de #prendredurecul face au travail, mais souvent le besoin n'est pas de s'éloigner du quotidien que de prendre des vacances avec soi-même !
Les #vacances sont le meilleur moment pour prendre du recul et profitez un peu. Elles font germer cette magie que procure le changement immédiat d’environnement, de rythme, de rapports à l’autre et à soi. Elles sont l’occasion de faire taire cette voix intérieure qui nous pousse à faire encore plus, encore mieux, encore plus vite, au risque de passer à côté de notre vie.
Alors si notre mission des vacances, tellement attendues et diablement méritées, est de nous rapprocher un peu de nous-même et d’un bonheur auquel nous aspirons légitimement.
Nous suffirait-il de modifier notre rapport aux choses pour vraiment profiter de la vie ?
Ces vacances peuvent être le point de départ d’un voyage, d’une expérimentation pour nous autoriser à retrouver notre âme d’enfant. Cet enfant observateur, émerveillé, rêveur, spontané, enchanteur, qui sommeille en nous.
Il nous suffit de vivre chaque matin comme si chaque jour qui venait, éclairait notre vie. Quand nos yeux s’entrouvrent après une pause nocturne, profitons de l’occasion d’une nouvelle expérience et d’un nouveau regard… Vivre la vie sous un autre angle.
Comment façonner une réplique récurrente de vacances ?
Pour opérer ce changement, nous allons rechercher cette curiosité, cet émerveillement de l’instant de notre âme d’enfant. Cet exercice de #sophrologie tend à parsemer notre quotidien de vacances répétées, de parenthèses de lâcher-prise renouvelées. Il s’agit de prendre des vacances avec nous-même, avec nos mécanismes psychiques internes et habituels, avec notre façon d’être intrinsèque, qui ne nous permet pas toujours de vivre les bonheurs subtiles du quotidien.
Les vacances sont sources de repos, plaisir et bonheur. C’est donc le meilleur moment pour entrainer notre cerveau à mémoriser ce changement de regard. Puis continuer au retour. Bien sûr, certains jours ce sera plus facile, et d’autres plus difficile. L’important est d’essayer, de transformer notre critique intérieure en une petite voix encourageante et bienveillante (comme nous le ferions avec un enfant) pour engendrer ce changement.
Abandonner ses doutes, c’est oser. Alors accueillons les rires d’enfant qui sommeillent dans nos corps d’adultes, ces rires légers, profonds et authentiques qui viennent guider cette petite voix intérieure.
Essayez !
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