Faire en adéquation avec ce que l'on pense, ce que l'on sent.

Soumis aux contraintes de l'image sociale, des schémas relationnels/professionnels et des objectifs induits par le courant de la société, il n'est pas facile de déterminer si nous faisons selon des motivations intrinsèques ou extrinsèques.

Pourtant n'est-ce pas là, la porte d'accès au mieux-être ? Faire parce que nous sentons, là, dans notre ventre, nos tripes, le besoin irrépressible de faire.

Mesurons-nous la différence de vécu lorsque nous faisons parce qu'il faut et lorsque nous faisons parce que nous sommes ? Pourrions-nous envisager un instant l'impact, tant sur le plan psychologique que physiologique, lorsqu'on s'inscrit dans une vie qui ne nous ressemble pas ?

Qui suis-je ? Une réponse difficile à proposer si nous nous efforçons de nous défaire de nos fonctions sociales. Pourtant cette réponse construite nous serait d'une grande aide pour nous situer dans ce monde et envisager d'éventuelles re-directions de nos choix de vie.

Pourquoi choisir d'avancer en force, à contre-courant, afin de mieux répondre aux attentes des autres, lorsque nous pourrions choisir d'avancer vers là où nous sommes fait pour aller et ainsi répondre à nos attentes. Doit-on satisfaire les autres (Qui ?) ou nos besoins ? Quelles sont les conséquences d'un besoin inassouvi ?

Interrogeons-nous sur les raisons de nos choix, de nos actes. Agissons-nous selon des schémas ancrés ? Agissons-nous selon ce que nous sommes ? Sommes-nous remplis ? Entiers ?

Robin Cren-Moltrecht

Créateur de services digitaux

8 mois

Cindy, merci pour le partage!

Personnellement je trouve le questionnement intéressant et souvent nécessaire pour s accepter et progresser. Merci Cindy ;-)

Super article Cindy! ☺️ Bonne réflexion, mais trop de questions à mon sens et trop peu de temps pour tenter d'y répondre. Le temps, tout tourne autour de lui. La question que tout le monde se pose ''qui suis-je'' apparaît alors biaisée : notre Moi d'aujourd'hui n'est pas celui d'hier et encore moins celui de demain. Le tout n'est pas d'être mais de vivre. « Vivre est la chose la plus rare. La plupart des gens se contentent d’exister. »

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