Femme, le monde peut mieux pour toi!

Une femme, c’est un complexe gigantesque de responsabilités, d’ambitions et de batailles tant intérieures qu’extérieurs !

Femme, c’est une guerrière déterminée avec l’amour comme arme, la passion comme bouclier et la discipline comme minutions….

Femme, c’est comme une larme qui résume une mer de douleurs incompréhensibles et inaccessibles…

Femme, c’est un avocat magicien qui transforme le tribunal de ses enfants en un fruitier qui produit des fruits abondants pour leur plaisir et leur bonne santé !

Femme, c’est une bibliothèque fermée de pardons avec des serrures de tolérance, des cadenas de compréhension et des barres d’espoir et de confiance en son mari!

Femme, c’est une terre nourricière qui accepte tout et les transforme pour donner généreusement à manger à sa progéniture !

Devrait-on en bonne foi parler de parité entre toi, femme et l’homme ?

Devrait-on simplement scander des refrains d’égalité, de bonne fête et autres discours simplement institutionnels ?

En effet, il faudrait:

• Tout d’abord, sortir la femme de l’engrenage, du piège du capitalisme car selon Hugues Jarreault, un entrepreneur français : « Dans la société, il n’y a ni homme, ni femme, il n’y a que  des travailleurs ».

Si l’on doit se borner à traiter la femme comme un homme, on peut comprendre alors l’inconfort et les difficultés des femmes dans le monde du travail qui n’arrive pas à leur donner les conditions adaptées à leur nature et aux charges de responsabilité de mère, et/ou d’épouse.

• Ensuite, il faut positionner la femme à sa place naturelle et non celle artificielle que le monde s’efforce de lui créer…Quelle est cette position ?

Un proverbe africain dit, la femme est la ceinture qui tient le pantalon de l’homme. Et la Bible dira : « Sans une femme, l’homme gémit et va à la dérive ». C’est dire que la femme a une place irremplaçable dans la vie de l’homme avec qui elle forme la famille, base de toute société. Quand elle n’occupe plus ses fonctions naturelles dans le couple, c’est le fondement de la famille qui prend un coup et c'est la société qui est déstabilisée.

En réalité, pendant que l’homme serait naturellement le plus fort physiquement, la femme serait la plus intelligente.

Honoré de Balzac dit que : « La femme est l’être le plus parfait entre les créatures ; elle est une créature transitoire entre l’homme et l’ange ».

Par suite, la bonne promotion des droits de la femme devrait engendrer le bien-être de tous et aboutir de plus en plus à la stabilité et à la justice sociale et non à une société de plus en plus malade en perte de valeurs sociales où les femmes se chargent des plus grandes responsabilités pendant que les hommes s’adonnent à plus de loisirs. 

C’est pourquoi, je pense que le combat des droits des femmes, pour qu’elle leur profite et rende service utilement à toute la société, devrait consister à donner aux femmes l’opportunité d’éduquer au mieux aujourd’hui leurs enfants, pour avoir demain une société d’homme et de femmes meilleurs. Cette éducation, n'a rien à avoir avec le fait de les combler matériellement. C'est ce que la société capitaliste pense et se propose à les employer pour les payer à cet effet afin de bénéficier de leur résilience et de leur capacité de fidélité.

Dans une société vraiment juste, on ne parlera point des droits de femme, de parité, de droit de l’homme… on parlera plutôt des droits humains où le bien-être de chacun et de tous sera la priorité. En terme de modèles, nous avons les pays scandinaves qui accordent au couple de longs congés payés de maternité afin qu’ils s’occupent d’un nouveau-né ? Mais dans nos sociétés capitalistes, quelle mère peut avoir un an pour son enfant dès lors qu’elle a un travail?

En conclusion, le combat pour les droits des femmes selon la civilisation occidentale, serait un complot, une tromperie des femmes et de toute la société en volant le principe même de féminité pour transformer les femmes en guenons. Julius Evola dira: « La femme ne peut être supérieure à l’homme que comme femme, mais à partir du moment où elle veut égaler l’homme, elle n’est qu’une guenon ». C’est pourquoi, Colette aurait bien raison en affirmant : « Une femme qui n’est pas intelligente demande les mêmes droits que l’homme. Une femme intelligente y renonce ».