GUILLAUME SORO .K ET SON AMOUR POUR SON PAYS EN QUESTION

GUILLAUME SORO .K ET SON AMOUR POUR SON PAYS EN QUESTION

Président  de ce que notre peuple a d’assemblée, je ne peux penser à mon pays et avoir son  devenir pour objet  sans que cette pensée me ramène inexorablement  vers ceux qui voient en ce qu’ils sont, c’est-à-dire, en eux-mêmes,  le destin de porter notre devenir collectif.

La chose de l’analyse sociale n’est pas chose aisée et il faut avouer que rien sur cette terre des hommes ne peut avoir la chance si je peux le dire, d’être aisée.

Rien dis –je, ne peux avoir cette chance d’être aisée et l’homme politique fait l’expérience de cette réalité.

Il faut commencer par dire que la notion de destin est diversement perçu  et c’est cette diversité de perception qui justifie l’idée que je me fais du mot partage.

Contrairement à l’idée courante, ce n’est qu’en la présence de la diversité que le partage devient plus qu’un mot pour devenir un concept. Le mot fait tout de suite penser à une signification acquise alors que le concept a pour  lui, le propre d’être une signification dont l’acquis reste à établir et à maintenir.

C’est ainsi que l’on se retrouve à devoir faire comprendre l’idée que l’on a de son destin. C’est un caractère du destin que d’être quelque chose qui ne prend son sens que dans la reconnaissance que seul permet le partage.

Mais comme l’idée en l’homme vit comme  l’homme lui-même, ici il faut bien comprendre que je ne fais pas dépendre l’existence de l’idée à la naissance de l’homme, mais tente de mettre en exergue le fait que, bien que nous trouvons des idées à notre naissance, ces idées en nous-mêmes, obéissent aux nécessités de notre croissance.  J’en viens au fait que même si l’on apprend d’autres personnes ce que peut être notre destin, nous ne pouvons être épargné de la nécessité de son appropriation pour être capable de se sentir bien dans la manifestation de ce destin.

L’implication directe de mon affirmation est qu’il arrive trop souvent de poser des actes qui rendent difficiles et délicats après, le partage de l’idée de notre destin. Le destin quelque soit la définition que l’on peut lui donner ne pouvant être quelque chose que l’on vit pour soi-même, l’on se retrouve ramener à la nécessité que représente autrui, le semblable, celui qui n’est pas soi-même et que parce que ne l’étant pas, exprime par ses incertitudes le besoin d’une assurance à avoir parce que finalement, si destin il y a,  il doit pouvoir l’approprier pour la saisie du sien. C’est de ce besoin d’appropriation que prennent naissance les incompréhensions souvent amenées à leurs expressions les plus graves.  Grave quand on arrive à la nécessité de la tuerie morale et physique, à la négation de l’autre comme nuisance à son propre destin. Il ne faut pas oublier qu’exprimer suffisamment ou non, chacun court à la réalisation de son propre destin ou il y est conduit malgré lui-même.

Le besoin de contribuer au progrès social de mon pays, a incliné mes réflexions sur la chose de la perception que nous avons du jeu démocratique.

Le jeu démocratique permet à chacun de voir naître en lui-même, cette notion de destin à portée collective comme celle d’un pays.

On se retrouve de ce fait avec un foisonnement de proclamation de destin. Ce foisonnement rend propice l’autre idée qui est celle du devoir de s’imposer avec ses corollaires de dominations etc... On ne  peut plus être surpris d’entendre et voir les hommes se dire qu’on ne construit pas un pays avec des mots mais des actes.  Je crois que cette façon de voir revient à faire des réductions qui ne mènent pas toujours à bon port.  Je le dis parce qu’il n’est pas difficile de comprendre que les actes posées qui, quoi qu’on dise ont besoin d’être compris.

Le critique social que je suis ne peut plus l’être sans rester admiratif sur  ce qui m’apparaît comme un effort de communication de GUILLAUME SORO .K avec son peuple. 

Adepte de participant à tout effort de construction  de mon pays, mon silence à son effort de communication aurait pris la signification d’une démission, d’un manque d’esprit d’indépendance qui ma toujours caractérisé.

C’est ainsi que j’ai eu à me demander où conduira l’amour que GUILLAUME SORO manifeste pour son pays ?

 Comment en tant que citoyen puis-je m’approprier l’idée d’une rébellion faite pour moi pendant que dans le silence, j’en porte les séquelles ?

Comment faire quand je sais que je n’ai pas commencé par avoir le choix d’une rébellion pour exprimer l’idée de mon bien-être. La rébellion s’est imposée   

à moi  et aujourd’hui, je vois une communication à ce sujet. Je me demande si on me laisse le choix d’une compréhension à avoir. Je m’interroge parce que c’est une idée courante que l’on a de croire que le destin s’impose à soi-même sans aucune participation de soi-même. Dans le même temps, pour la réalisation de ce destin, on fait appel à ce qui me reste comme libre arbitre. Si la contradiction, le fait de se contredire  peut trouver meilleure explication qu’on me le montre.

GUILLAUME SORO  doit comprendre que peut être que assis dans le silence, dans l’anonymat, quelque chose à été touchée, blessée, est devenue obscure dans l’admiration que je dois à l’Ivoirien qu’il est et à son œuvre.

Certainement que l’ouverture à son prochain, aidera autrui à faire le sacrifice de sa propre douleur pour un bien plus grand qu’il doit avoir le moyen de saisir, comprendre car finalement, c’est en cela que doit se réduire sa lutte mais  le mot lutte n’est pas véritablement approprié en mon esprit car je préfère, une réponse à l’appel d’un devoir qui s’impose à GUILLAUME SORO s’il croit vraiment à son destin.

 

CHERCHEUR ADHOUT

GROUPE SIRC sa (groupe Société Ivoirienne de Recherche et Communication) société anonyme.

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