INVESTIR DANS LES INCINATEUR ET LE RECYCLAGE ET NE PLUS VOIR CES HORREURS DANS NOTRE BEAU PAYS CEST NO COMMENT!!!!!!
L’Usine de Valorisation Energétique tout en prezservant l environnement
EXEMPLE..
L’Usine de Valorisation Energétique transforme vos ordures ménagères en énergie
Collectées par les villes, vos ordures ménagères sont transportées directement vers l’Usine de Valorisation Energétique, située à Toulon. Cette usine produit de la vapeur d’eau et de l’électricité à partir de la combustion de ces ordures. La vapeur d’eau produite est valorisée sous forme de chaleur, tandis que l’électricité est revendue au réseau ERDF. En 2013, environ 54% du total des déchets des ménages ont été valorisés sous forme d’énergie grâce à l’usine.
FICHE D’IDENTITÉ DE L’USINE DE VALORISATION ENERGÉTIQUE
EXEMPLE
- Exploitation : ZEPHIRE
- Capacité de traitement : 239 663 tonnes
- Matière : ordures ménagères et déchets d’activité de soins à risques infectieux (DASRI)
- Production : vapeur d’eau et électricité à partir de la combustion des ordures ménagères
- Tonnage de déchets valorisés en 2015 : 200 525 tonnes
- Energie thermique produite en 2015 : 33 726 MWh – chauffe l’équivalent de 5 200 logements sur l’aire toulonnaise
- Energie électrique produite en 2015 : 111 255 MWh
COMMENT ÇA MARCHE ?
Une fois collectées, les ordures ménagères arrivent à l’Usine de Valorisation Energétique où elles sont stockées en fosse.
Elles passent ensuite dans un des trois fours dont la température se situe entre 850 et 1000°C.
L’énergie produite par cette combustion est récupérée et transformée en électricité ou en vapeur d’eau – utilisée ensuite pour chauffer des logements.
Les fumées provenant de ces fours sont lavées et épurées dans le respect de la réglementation.
Lors des arrêts techniques de l’Usine de Valorisation Energétique, les ordures ménagères sont envoyées sur l’installation de stockage des déchets non dangereux située à Pierrefeu (83). Ce qui correspond à moins de 4% des tonnages annuels.
LE TRAITEMENT DES RÉSIDUS ISSUS DE LA COMBUSTION DES ORDURES MÉNAGÈRES
Suite à la combustion des ordures ménagères, il reste des résidus à traiter. Appelés techniquement « sous-produits d’exploitation » de l’usine, ces résidus font l’objet de qualification et de traitement précis afin de valoriser là encore le maximum de matière. Il existe 3 catégories de résidus classés selon leur état.
- Les résidus gazeux
Par des procédés chimiques, les résidus gazeux sont éliminés : la chaux sert à neutraliser les acides (HCl) et l’urée sert à neutraliser les oxydes d’azote (Nox).
De plus, le SITTOMAT a mis en place un système d’injection de charbon actif pour neutraliser les dioxines. L’usine de l’Escaillon est l’une des trois unités en France à être équipée de ce système.
Consultez l’arrêté ministériel du 20 septembre 2002 sur le site legifrance.gouv.fr
- Les résidus liquides
Depuis 2009, la totalité de l’eau utilisée pour le fonctionnement des réseaux vapeur est recyclée et utilisée pour le fonctionnement de l’usine. Seuls les rejets des sanitaires sont envoyés à l’égout.
- Les résidus solides
Les résidus solides sont divisés en 2 classes :
Les Mâchefers d’Incinération des Ordures Ménagères (MIOM)
La combustion des ordures ménagères génère des mâchefers. Ces 60 000 tonnes de produits sont commercialisées pour des travaux de remblais routier. Les mâchefers sont traités depuis 2009 sur une plateforme de maturation exploitée par la société Sovatram à Pierrefeu (83).
Par extraction magnétique, le Syndicat récupère plus de 4 000 tonnes de ferrailles. Par séparateur à courant de Foucault, ce sont plus de 500 tonnes d’aluminium qui sont extraites des résidus solides. Ces matières réintègrent le circuit du recyclage et sont ainsi envoyées vers les filiales spécialisées.
Les Résidus d’Epuration des Fumées d’Incinération des Ordures Ménagères (REFIOM)
Le traitement des fumées produit des résidus solides chargés en métaux lourds qui sont stockés à Bellegarde dans le Gard (30), sur l’Installation de Stockage des Déchets Dangereux.
SURVEILLANCE DE L’IMPACT ENVIRONNEMENTAL DE L’USINE DE VALORISATION ENERGÉTIQUE
La réglementation impose aux unités de valorisation énergétique de réaliser une fois par an l’analyse de l’impact de l’exploitation de l’Usine sur son environnement. Le SITTOMAT réalise deux campagnes par an.
Le Syndicat a positionné sur six points 6 jauges de Berghoff : des coupelles, implantées dans l’environnement immédiat de l’installation, qui reçoivent les retombées de la pollution atmosphérique des environs. De plus, 3 points supplémentaires ont été rajoutés. Deux hors du panache de l’Usine et un sur les pentes du Faron, destinés à faire une zone hors influence complète des activités diverses de la ville de Toulon (y compris circulation routière). Depuis 2011, une analyse des aiguilles de pin est réalisée par le cabinet BIOTOX (indépendant) auprès des 9 points de mesures. Les résultats sont comparables à ceux des dix premières campagnes. Sur la base des concentrations mesurées et des différents référentiels, aucun impact significatif lié au fonctionnement de l’Usine de Valorisation Energétique n’est mis en évidence pour les campagnes de 2012.
Les résultats de la surveillance de l’impact de cette installation classent le quartier de l’Escaillon comme une zone rurale non exposée. En termes de rejets dans l’atmosphère, ces résultats sont plus performants que ceux imposés par la réglementation en vigueur.
L'USINE CERTIFIÉE POUR SON MANAGEMENT ENVIRONNEMENTAL, SON MANAGEMENT DE LA QUALITÉ ET DE LA SANTÉ-SÉCURITÉ
L’Usine de Valorisation ENERGETIQUE DOIT ETRE certifiée par LES AUTORITES COMPETENTES OU RAMENE DIRECTEMENT DES CABINETS SPECIALISE DANS CE GENRE DE TECHNOLOGIE en ce qui concerne :
- le Système de Management de la Santé-Sécurité
- le Système de Management Environnemental
- le Système de Management de la Qualité
Les résultats en termes de rejets dans l’atmosphère sont plus performants que la réglementation en vigueur.
nouvelle source d'énergie en Europe
La "valorisation énergétique" des ordures ménagères se répand, mais les projets d'incinérateurs se heurtent encore à de fortes mobilisations locales.
Quelle différence entre un incinérateur d'ordures ménagères et un "centre de valorisation énergétique" ? Aujourd'hui que la plupart des incinérateurs produisent de l'électricité ou de la chaleur à partir de la combustion des déchets, aucune : ce n'est plus qu'une question de sémantique. Mais le mot "incinération"évoque encore le temps – révolu – où ces installations de traitement des déchets rejetaient à qui mieux mieux de la dioxine dans l'atmosphère, alors que la "valorisation énergétique des déchets" se pare d'accents vertueux.
Dans l'Union européenne (UE), l'incinération a le vent en poupe : sa part dans le traitement des déchets des ménages et assimilés est passée de 13,5 % en 1996 à 22 % en 2010, selon Eurostat, le bureau européen des statistiques. Quasiment inconnu en Europe de l'Est, ce mode de traitement arrive en tête dans un certain nombre de pays : il pèse pour 54 % au Danemark, 49 % en Suède, 39 % aux Pays-Bas et 38 % en Allemagne.
Des pays qui, curieusement, comptent parmi les plus performants en termes de recyclage mais ont abandonné presque totalement la mise en décharge. La France fait figure d'exception, avec 34 % d'incinération, mais 31 % de mise en décharge et des performances de recyclage médiocres.
"ASPIRATEUR À DÉCHETS"
"Contrairement à une idée répandue, l'incinération ne “tue” pas le tri", assure Luc Valaize, président du Syndicat national du traitement et de la valorisation des déchets urbains (SVDU), l'organisation des industriels de l'incinération. "Les pays qui se soucient de valorisation au sens large mènent le combat sur les deux fronts."
Un point de vue que ne partagent évidemment pas les opposants à l'incinération, regroupés au niveau international dans l'Alliance globale pour des alternatives à l'incinération (GAIA), qui estiment que les incinérateurs devant fonctionner à pleine puissance pendant leur durée de vie (trois o
L'incinération des déchets, nouvelle source d'énergie en Europe