“It’s a bird… It’s a plane... No it’s SCABILITY !!!“
Prospection manuelle VS marketing automation – Episode #2 : La scalabilité.
Nous l’avons vu lors du précédent article « Ingrid est-ce que tu b… signes ? », la prospection à la papa comporte de nombreux inconvénients, l’un d’entre eux est l’absence de la sacro-sainte «scalabilité ».
On entend ce terme partout dans l’univers de la start-up nation… Mais quésaco ?
Puisqu’une image vaut mille mots :
Vous l’aurez compris, il s’agit du rapport entre vos charges et le chiffre d’affaires généré.
Scalabilité et croissance ne sont pas antinomiques. On peut avoir une croissance sans avoir un business-modèle scalable. Cela permet juste d’avoir une croissance plus rapide à tendance exponentielle.
Dans le cas d’un business-modèle non scalable lié à une prospection manuelle, à froid, vous serez dépendant d'un coût de fonctionnement important lié à votre masse salariale essentiellement composé de « commerciaux ».
Si vous voulez augmenter votre chiffre d’affaires, vous êtes obligé de recruter encore et encore avec toutes les contraintes que cela impose. Dans le cas du marketing automation, ce n’est pas le cas, les outils informatiques travaillent à votre place.
Si dans votre stratégie vous avez besoin d’une armée d’unité pour effectuer des tâches répétitives de vente, n’est-ce pas le signe qu’il faut la « robotiser » ?
Évidemment ce n’est pas une solution miracle, la machine ne va pas remplacer l’humain. Votre présence sera toujours nécessaire pour finaliser la vente, créer du contenu web et produire votre véritable valeur ajoutée.
Encore aujourd’hui, l’un des indicateurs de réussite d’une entreprise est le nombre de salariés. N’est-ce pas une erreur ? En quoi est-ce vraiment important d’avoir 20 ou 300 salariés si c’est pour réaliser le même chiffre d’affaires ?
L’un des autres inconvénients financier majeurs à ne pas rendre sa société scalable est le risque de se faire disrupter.
Si vous laisser une opportunité de marché à une entreprise concurrence, vous aurez vite fait de vous faire couper l’herbe sous le pied. La nature déteste le vide.
La semaine prochaine, j’aborderai le plus gros du morceau, les coûts cachés liés à l’absence de digitalisation.
N’hésitez pas à critiquer objectivement cet article, me donner votre avis. J’écris surtout pour le fun, dans un intérêt d’échange, d’élever le débat et la pensée.
À lundi prochain.