J'AI FOI EN CETTE JEUNESSE AFRICAINE
J’ai foi en la jeunesse de mon continent. J’ai foi en cette belle fleur qui jaillit et qui comme l’espoir du matin embaume notre vie. L’Afrique est forte de sa jeunesse qui incarne l’espoir de toute une nation qui crie son humanité au summum des bourgeons qui ont donné vie aux ambitions longtemps nourries. L’Afrique est riche de sa jeunesse décomplexée, engagée et qui se fraye un passage dans les ronces d’une mondialisation écrasante où l’absurde devient la règle au détriment de la réalité qui crie au toit de la raison.
L’Afrique décollera avec sa jeunesse si compétente, pleine de talents et qui se bat chaque jour pour être. Les afro pessimistes ne voient que les jeunes qui prennent les pirogues au péril de leur vie. Et chaque jour les media nous bombardent de ces informations négatives qui résonnent dans notre conscience et nous empêchent de voir réellement ce dont nous sommes capables et la richesse qui est entre nos mains. Que dire alors de cette masse énorme de jeunes qui sont dans leurs pays, qui se battent sur le continent et qui chaque jour essaient malgré les difficultés et les incohérences de la vie, de hisser la belle KAMA au sommet de l’humanité rayonnante ? La jeunesse africaine aussi nombreuse soit-elle ne doit pas faire peur. Ce nombre important est un atout que nous devons exploiter. C’est à cette jeunesse que je parle aujourd’hui pour lui demander de prendre son destin en main et continuer à se battre sans baisser les bras.
Cette jeunesse doit apprendre à se frayer un chemin au milieu des ronces qui veulent les maintenir dans un esclavage mental qui écrasera le germe de leur réussite. Cette jeunesse est capable d’accomplir les choses les plus inimaginables. Mais pour cela, il faut qu’elle croit en elle-même, qu’elle continue toujours à se former et qu’elle se départisse de ces fausses idées reçues des hommes politiques et des vendeurs d’illusions. Ayez la tête sur les épaules, concentrez-vous sur vos objectifs et agissez. Cette jeunesse doit se méfier de ces voleurs de rêves, qui leur font croire que leur situation ne leur permet pas de réussir. On peut naitre pauvre, mais on n’a pas le droit de mourir pauvre. Surtout pas de fatalisme. Le secret, c’est de croire en soi et de travailler constamment, sans baisser les bras à l’atteinte de ses objectifs. Ne vous laissez pas voler vos rêves, mais laissez les pessimistes se lamenter tout le temps et passer leur vie à s’auto flageller. Vous avez une vie à construire, un continent à remettre debout, une vision à atteindre et une mission de vie à réaliser. Alors, vous n’avez pas de temps à perdre en futilités.
PRENEZ SOIN DE VOUS CAR CHAQUE JOUR EST UNE VIE ET DEMAIN EST UN AUTRE JOUR...SOYEZ BENIS !
Léopold NDIAYE
Ecrivain, Coach de vie et formateur
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