La disruption au service d'une identité différenciante 🌀
Personnalité 🔎
Cet article a pour objectif de vous faire comprendre qui je suis en quelques mots.
J’ai 21 ans, je suis des études de marketing et de communication à l’ISEG (campus de Lille). J’ai commencé mes études supérieures dès l’obtention de mon bac économique. Jusqu’ici, rien d’extravagant, un parcours qui répond à l’ordinaire. Néanmoins, je compte aussi et surtout vous parler de ma personnalité qui, elle, n’a rien à envier à la normalité.
Je n’ai jamais été très scolaire, j’ai toujours pensé que l’école était une entité qui nous bridait, n’exploitait pas notre potentiel. Le système scolaire se contente de nous transmettre les fondamentaux et nous vomit à la société une fois le travail fait. J’ai toujours été partisan de l’idée selon laquelle il existe deux types d’intelligence : la scolaire et l’innée, la sociale. Je fais partie de la deuxième catégorie. Même si je n’ai jamais vraiment eu de mauvais résultats tout au long de mon cursus parce que j’ai compris qu’il fallait quand même réussir, je pense être beaucoup plus agile en société. Je fais partie de ceux qui privilégient l’instinct aux connaissances théoriques. Même si je les prends en compte dans mes décisions, elles n’occupent pas la majeure partie de ma réflexion. Je suis donc de nature spontanée, je surprends et puisque je ne suis pas les conventions, je peux avoir une vision disruptive des choses.
Le travail le plus dur que j’ai dû faire sur moi-même a été d’arriver à coupler cette faculté d’être adroit, à l’aise en société avec toute une vie d’apprentissage de cours magistraux. Je suis persuadé que si l’on arrive à atteindre cet objectif, on tient quelque chose de différenciant. Se faire confiance et faire confiance en ce que l’on nous a transmis, apprendre des autres et de nous-même, et allier ces deux univers pour n’en faire qu’un nous permet sans aucun doute d’avoir un œil critique et aiguisé. Ces deux qualités sont assurément essentielles pour réussir aujourd’hui.
Il me semble que l’expérience professionnelle, aussi impressionnante soit-elle, ne constitue plus l’unique critère de sélection sur un CV. Notre époque commence de plus en plus à regarder la dimension humaine. Lors d’un entretien, les questions posées ne portent plus seulement sur l’expérience acquise au sein de structures professionnelles, mais aussi sur ce qui forge le caractère. On essaie de sonder la personne au-delà de la façade avec laquelle elle se présente lors de l'entretien, on veut balayer tous les filtres pour cerner au mieux la personnalité. C’est en cela qu’être au-dessus des conventions et avoir une réflexion disruptive est devenu crucial. Le monde, les courants et les gens changent tellement vite que s’adapter n’est plus suffisant. Il faut arriver au milieu de cet ensemble complexe avec quelque chose de différent qui puisse nous démarquer. C’est aujourd’hui ce que je vous propose dans cet article en vous soumettant ce court résumé de ma personnalité.
Expériences professionnelles ⚙
Ce qui a structuré cette réflexion, ce sont mes expériences professionnelles variées. Je suis réellement entré dans le monde du travail à l’âge de 16 ans. J’ai été embauché en tant que livreur dans un restaurant japonais appelé Osaka. C’est la première fois que je me confrontais au domaine de la restauration et je dois avouer que cela m’a énormément plu. J’y ai offert mes services durant six mois, jusqu’à ce que je ne puisse plus assurer des horaires de nuit avec les cours la journée. Un an après, j’entre en deuxième année d’études à l’ISEG et dispose d’un emploi du temps plus souple qui me permet de travailler à côté. J’ai été pris dans un restaurant appelé Le Barbue d’Anvers en la qualité de serveur. J’ai énormément appris du métier mais aussi de moi-même. J’y vois une dimension sociétale exprimée dans une structure historiquement régie par le pouvoir et aujourd’hui par un acte beaucoup plus humble et volontaire : le service. C’est un beau métier lorsqu’il est exercé avec envie et compréhension. Et donc, au-delà de l’aspect professionnel, ce métier m’a beaucoup apporté humainement. On a le sentiment de passer de spectateur à acteur. On se retrouve dans les coulisses d’une activité dont on ignore tous les aspects si l’on ne l’a jamais pratiquée.
J’ai arrêté d’y travailler huit mois après mes débuts pour réaliser mon stage de fin d’année.
Au cours de mon cursus à l’ISEG, j’ai eu l’occasion de réaliser deux stages.
Le premier m’a permis de me constituer un bagage extrêmement utile en termes de connaissances marketing, publicitaires et de communication. Durant deux mois j’ai travaillé en tant que stagiaire chez Being, agence de design, communication et conseil appartenant au groupe TBWA. Cette période était intense mais nécessaire. C’était pour moi la première fois que la théorie faisait place à la pratique : expérience extrêmement enrichissante.
Pour mon deuxième stage, j’ai privilégié le voyage, la découverte. C’est essentiel pour se découvrir, éveiller notre curiosité et gagner en maturité. Ces qualités s’apprennent à force d’expériences de vie et sont capitales dans le monde du travail. J’ai donc pris l’initiative de partir trois mois au Canada (Québec) pour effectuer mon stage de deuxième année chez Fondation Chefs d’Entreprises.
Contrairement au premier stage, le Canada a répondu à toutes mes attentes concernant la dimension humaine. Professionnelles aussi, mais ce genre d’expérimentation se veut plus humaniste. J’ai pu voyager et apprendre beaucoup de la culture canadienne ainsi que du fonctionnement de leur business. J’ai également gagné en maturité et en autonomie. Pour pouvoir assurer la partie financière de ce voyage, j’ai travaillé en faisant de la prospection durant un mois et 4 fois par semaine.
Aujourd’hui je suis en 3e année d’étude à l’ISEG avec un bagage non-négligeable notamment grâce à ces expériences ainsi que ces approches de vie.
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📩 arthur.destailleur@orange.fr
Arthur Destailleur
Social Media
7 ansSuper article Arthur! 🔝