La fête des rois et reines
Faisons un petit exercice introspectif : quelle émotion éprouvons-nous aux tréfonds de nous-mêmes quand nous découvrons que, bingo, la fève est pour nous ? Imaginons, pour plus de fun, que la galette soit partagée en public, dans un espace de travail, par exemple. Pour les timides, c’est l’épreuve du feu. Pour les exubérants, c’est l’occasion rêvée de se faire remarquer un peu plus encore. Entre, il y a, bien sûr, mille nuances de gris et autant de manières de rougir ou de se réjouir. Et si, aujourd’hui, nous nous reconnections à la source de cette fête ? L’Épiphanie signifie « la manifestation de la lumière ». Dans l’antiquité, au moment du solstice d’hiver, qui annonce le rallongement des jours, les Romains utilisaient la fève d’un gâteau pour tirer au sort l’esclave qui deviendrait le prince des Saturnales, le « roi d’un jour » autorisé à faire valoir ses souhaits pendant vingt-quatre heures, avant de retrouver sa condition initiale.
Et si nous en profitions pour associer à nos fèves nos désirs les plus secrets et les plus fous ? Pour y glisser un vœu sans rien dire à personne, et nous relier à notre âme d’enfant ? Chaque occasion de rêver grand et fort est bonne à prendre. De notre côté, nous formulons le vœu suivant : puissiez-vous vous sentir reines et rois à nos côtés, non pas d’un jour, mais de chaque instant !
Médiateure - Médiation d’affaires - Transformation organisationnelle - Accompagnement des Équipes & Managers
3 ansIsabelle est-ce que tu connais la tradition de deux fèves? Et quand tu tombes sur la deuxième. Toutes les émotions sont intensifiées par cette deuxième surprise.