La Persévérance

« Venez jusqu’au bord

Nous ne pouvons pas

Nous avons peur

Venez jusqu’au bord

Nous ne pouvons pas

Nous allons tomber

Venez jusqu’au bord

Ils sont venus

Il les a poussés

Ils se sont envolés »

Concernant le poème de Guillaume Appolinaire ; vraiment, c’est un très bon exemple pour le concept de « croyances » et en même temps c’est un très bon outil, une excellente philosophie pour pouvoir dépasser nos croyances limitatives car quel que soit avec soi-même quel que soit avec les autres, il faut travailler et travailler.., et travailler.., et le dit travail porte sur l’état psychologique, sur l’état mental.., il faut pousser.., et encourager davantage.., et faire avancer…Néanmoins, pour accepter et faire ce travail dur « afin qu’ils arrivent jusqu’au bord, afin qu’ils s’envolent », il faut avoir la conviction qu’ils vont réussir, il faut croire en l’être humain…Autrement dit, il faut avoir une croyance positive en l’être humain pour pouvoir lever la croyance négative.

Tellement, en lisant le Poème de Guillaume Appolinaire, je me rappelle le Roman de Gabriel Garcia Marquez « Cent ans de solitude » qui est, vraiment, une excellente Philosophie en matière de Persévérance, et de croyance positive en l’être humain en ce qui concerne « la Réussite » et précisément le personnage Joseph Arcadio Buendía qui est un Patriarche de la famille et fondateur du village de Macondo. À 19 ans, il se marie avec sa cousine Ursula Iguarán. Joseph ArcadioBuendía, est une personne à la volonté forte, inamovible (tant physiquement et surtout moralement) et avec un grand intérêt pour les mystères philosophiques, idéaliste et aventureux. Il est responsable du destin de Macondo et en est le dirigeant modèle durant les premières années…Vous savez qu’est ce qu’il fut pour son village Macondo ?? Il était doué par les inventions, car il pensait qu’une excellente invention, peut lever Macondo jusqu’au la lune, peut sortir Macondo de sa solitude.., à chaque fois, il prenait ses argents ainsi que les épargnes de sa femme pour les dépenser dans une invention.. et à chaque fois, il tombait dans l’échec.., sa femme était mécontente…il répétait cette expérience plusieurs fois.., et plusieurs fois il tombait dans l’échec.., et comme d’habitude avec chaque défaite, il y avait « la casse-tête » de sa femme.., mais malgré ça il répétait l’expérience, il était trop persévérant...

Malgré que Joseph Arcadio Buendía n’a pas pu réaliser son historique invention, le village de Macondo vivait la grandeur avec lui vu sa force de caractère et sa manière d'être impulsive..

En outre, Aureliano Buendía (Colonel) qui est le second fils de la famille. Il a la mentalité et la nature philosophe de son père. Il étudie l’orfèvrerie et lorsque la guerre commence, il s'unit au parti libéral avec un mélange de passion pour les armes et les sciences. Il se bat contre le gouvernement colombien durant 32 guerres civiles et évite la mort en de multiples occasions. Quand il perd tout intérêt pour la guerre, il signe un traité de paix et retourne chez lui. Durant sa vieillesse, il perd toute capacité émotionnelle et mémorielle et se consacre entièrement à l'élaboration de petits poissons en or.

En résumé, la Philosophie de Joseph Arcadio Buendía durant des décennies (durant cent ans et à travers tous ses fils) a poussé le village de Macondo.., elle s’est envolée le village de Macondo.. 


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