La Puissance de nos pensées, de notre imagination.

L’imagination gouverne le monde !

Cette maxime bien connue est la démonstration que tout ce qui nous entoure matériellement a été pensé et conçu par plusieurs esprits humains.

Du livre à l’ordinateur, tout est né de l’imaginaire humain qui semble sans limite.

« Toute idée que l’on a dans l’esprit tend à devenir une réalité dans le domaine de la possibilité » : Emile Coué.

Il y a une interaction entre la vie réelle et notre psychisme et vice versa.

La vue d’un gâteau a le pouvoir de nous mettre l’eau à la bouche alors que la peur peut nous couper l’appétit.

En anticipant la crainte, on crée un conditionnement de l’esprit qui se réalise conformément à notre prédiction.

Le mal de tête, au moment de commencer un devoir de mathématique.

Quand une idée domine notre esprit, il est difficile, voire impossible de la contrer.

Vous pensez dans votre tête qu’il ne faut pas rire. Plus vous vous répétez : « je veux rester sérieux » et plus le fou rire vous gagnera.

L’effort du contrôle de la pensée produit toujours le contraire de ce que nous voulons.

De la même façon qu’en s’efforçant de retrouver dans sa mémoire le nom d’une fleur, celui-ci nous échappe et peu de temps après,en y pensant plus, le nom nous revient subitement, c’est à dire quand on lâche prise.

Si on accepte notre vulnérabilité, les coups du sort, on apprend à ne pas leurs résister et donc à ne pas les amplifier.

On pourrait le résumer à : Plus on veut, moins on peut !

Quand on a le sentiment que l’idée est plus forte que soi, on ne se focalise que sur elle, une peur en générale et celle-ci devient incontrôlable à l’image de la peur panique.

Cette pensée négative est tellement forte qu’elle chasse les autres et plus on veut la combattre et mois on y arrive.

Il est important d’en prendre conscience pour éviter de vouloir maîtriser le trac par la volonté.

En détournant notre attention sur quelque chose que l’on apprécie, qui crée en nous une émotion positive comme un paysage, un nuage, une fleur, cela a pour effet de modifier notre schéma de pensée.

La vue d’une aiguille, nous évoque la douleur, au même titre que si quelqu’un tousse, on va se sentir moins bien.

Cela marche dans l’autre sens, un câlin atténue la douleur d’un chagrin, comme un feu de cheminée nous réconforte et crée une sensation de chaleur et de plaisir.

Une émotion positive, c’est pareil à un encouragement lorsqu’on entonne une chanson pour se donner du tonus en marchant.

Si vous avez une vision précise et concrète d’un objectif positif et motivant, soyez sûr que votre inconscient fera en sorte de trouver la solution.

Tout ce qui nous arrive est de notre responsabilité, il ne sert à rien de se défausser sur des causes extérieures à nous : la faute à pas de chance.

Notre réussite dépends de notre engagement individuel et de notre persévérance et patience, face à l’épreuve du temps.

Il ne sert à rien de se mentir à soi-même, en visant un objectif irréaliste comme être en bonne santé alors que l’on est malade.

Quelqu’un qui mange trop gras ou trop sucré, ne va pas arrêter du jour au lendemain.

Il va réduire progressivement, jour après jour, sa consommation néfaste pour la remplacer par une alimentation plus saine, avec plus d’apport en légumes et fruits.

Avoir un modèle sous les yeux, stimule notre envie d’y parvenir par mimétisme, au même titre qu’un fou rire peut être contagieux.

En devenant exemplaire, vous devenez un modèle à suivre, en totale cohérence entre vos pensées et vos actes.

La répétition d’une pensée, d’une suggestion, d’un comportement positive dans un sentiment de décontraction sur une période longue permet une mémorisation plus facile et crée une habitude, une routine bénéfique pour notre corps, notre esprit et en définitive pour notre vie.

Répétez cette phrase que j’ai crée, dans un état de relaxation ou en marchant dans un lieu calme :

« Tous les jours ma situation financière, ma santé, ma créativité, mes relations s’améliorent, je vis de plus en plus dans l’abondance sous toutes ses formes. »

Vous pouvez bien sûr, être le créateur de vos propres phrases, celles qui vous conviennent.

Au même titre que vos pensées reflètent votre posture, vous pouvez suivre les conseils du philosophe Alain qui dans son ouvrage à propos du bonheur écrivait :

« Mimez l’aisance plutôt que la timidité, la force plutôt que la faiblesse, la bonne santé plutôt que la maladie et l’imagination dévastatrice aura du mal à s’installer.»

En faisant comme si j’étais en forme, confiant et heureux de sourire, j’envoie un message positif, mais il doit se faire dans le même ressenti, en ne se mentant pas à soi-même.

Ces habitudes prises, au fil du temps, renforcent la confiance et l’image de soi.

Et plus nous avons une image de nous-même confiante, plus on se libère du syndrome de l’imposteur et plus, notre envie de réaliser nos rêves se libèrent.

Nos pensées s’alignent avec nos valeurs et ce qui nous tient à cœur, on est en mesure de concrétiser ce qui nous passionne, nous anime.

L’imagination se fait de plus en plus fertile et créatrice, ce principe a un effet boule de neige car en développant nos points forts, nos talents, on attire à soi les bonnes personnes et les circonstances qui permettent de mettre en œuvre ce pourquoi on est fait.

Je terminerai par cette maxime bouddhiste:"N'employez aucun parfum si ce n'est le charme des pensées".

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