"La Vi(ll)e mode d'emploi" fait bonne figure avec le Panthéon et par ailleurs.

En écho à l'entrée au Panthéon de Missak et Mélinée Manouchian, ce qui vient conforté le grand récit national, il semble que la panthéonisation gagnerait d'avoir une meilleure contextualisation et un service après-vente moins socialement moins extraterritoriaux. Une affaire de collectivités territoriales qui ont également des femmes et des hommes remarquables dont la reconnaissance ne fait plus d'ombre que le Panthéon éclaire éclaire la longue marche du peuple et des nations. L'entrée au Panthéon de Missak et Mélinée Manouchian constituerait une ouverture remarquable si leur flamme se colporter comme l'olympique dont les entrainements préalables saturent les écrans, comme autant d'héroïsmes potentiels sur une planète alternative. Nous ne disposons pas plus de seconde vie que de seconde planète, dans la vie vécue et connue sur terre. La distinction de ces non-séparables devient en tout lieu "La zone d'attention". Et "Faire école avec les territoires" avec "La Vi(ll)e mode d'emploi" relève le défi du grand retournement, celui de voir dans l'intelligence des territoires le refus de son effacement, de son éclipse ne serait-ce que le temps d'une entrée au Panthéon d'un étranger et de son épouse, qui plus est réputés communistes, comme si les racines du commun de devaient pas trouver un même sol, une patrie, fusse même "une petite patrie".

Aux lisières de "La zone d'intérêt"

L'appel du sol, même aux apatrides, d'un silence assourdissant parle d'enracinements nomades, l'antidote que sont les mobilités documentés contre les assignations à la servitude (volontaire), le en soi toxique distinct et non séparable de la condition humaine.

Pas en prime time, le printemps en rhizomes.

Le printemps des poètes quand bien même "L'encre serait de l'ombre", écrire et lire nous éclaire.

Faire école avec les territoires : les progrès de l'Humain.

Humus, humilité, humiliation, humidité, humanité, le sol en soi.

Enlivrés dotés de mots pour le dire par ailleurs, claudicants, grandiloquences en sourdine, dans les milieux plus ou moins autorisés ont s'autorise des Ateliers de la pensée et pas seulement pour les arts vivants conventionnels ou conventionnés. Ainsi à Dakar en des temps moins troublés, Les Ateliers de la pensée furent non alignés.

L'école de la liberté n'est pas un long fleuve tranquille, mais le ruissellement des savoirs invente "Les territoires apprenants" et l'école hors les murs, troublantes zones d'attention.

Enlivrés.

Enlivrés (avec des livres aussi), "Ça ne peut pas faire (plus) de mal" que démunis des mots pour le dire.

Faire école avec les territoires : "La clinique de la dignité", "Ci-gît l'amer. guérir de du ressentiment" et se soigner "De l'humiliation" et se soustraire autant que faire ce peut à l'emballement de la machinerie infernale qu'est "La petit fabrique de l'inhumain".

Les arts vivants et autres théâtre d'objets.

• Pause photo prose, le photo-langage et l'éducation aux images, "Le dessous des images", comme "Le dessous des cartes". La société du spectacle s'offre un passage avec les échelles à coulisses, le mur du son se fissure.
• Rencontres de boites - Compagnie Kumulus, les arts de la rue in door .
• Cabanes rêvées ou le droit de poser ses valises - avec La Cimade - et encore vifs et futiles pour l'arrêt public.
• BANKSY à Valréas et pas encore sortis de l'étonnement de cette modeste exposition à effets-mères et gains collatéraux (expertise en cours)

Rapport d'étonnement.

Quand le salut vient d'inconnus tenus hors champ, à postériori ils deviennent héros de l'arrêt à distance. Sourions nous sommes filmés.

• In mémoriam "La résistance civile", dans "La Vi(ll)e mode d'emploi" quand l'essieu du char à l'arrêt public se trouve des alliés improbables pour le désembourber.

La Promenade des humanités commence au bac à sable.

La périnatalité de "La Vi(ll)e mode d'emploi" vue comme et avec les "1000 premiers jours". Il y eu un soir, il y eu un matin, et le noir dedans, et l'encre qui serait de l'ombre et l'écrire cependant. "Ci-gît l'amer, guérir du ressentiment". Le doit de l'enfant au respect, comme l'exception non exceptionnelle que la vie continue.

Banque de temps quand le (bac à) sablier y est!

Faire avec de belles figures.

Pour notre prototype de "Promenade des Humanités" à Nyons "Au fil de l'Eygues" nous convoquons :

• Louis René Villermé - pour la condition de soi(e) , du coton et de la laine, avec Les entreprises s'engagent.

Si c'est un chemin, voyons la voie départementale.

Quand le collège construit son parcours d'orientation textuel, car né de voyages la mise en récit déployée en "Zone d'intérêt" . En zone d'approche "Vent Debout" le salon local du Carnet de voyage. A la salle des fêtes et au Château Domaine départemental de Suze-la-Rousse. Un collège dans sa cité : "La Vi(ll)e mode d'emploi". Quand les territoires font école et que l'école prête tous ses sens, à la zone d'attention,e à ses périphéries pour une plus value en humanité.

Zone(s) d'intérêt. La Fabrique des communs pédagogiques.

Les "Juniors" français et européens de l'UE, qui pour les élections européennes de juin prochain ne connaîtrons pas l'audace d'un droit de vote à partir de 16 ans expérimenté dans des pays voisins, connaîtront la traversée du Département de la Drôme par la Flamme Olympique et même une escale "Royale" au Château de Grignan, domaine départemental, comme les Châteaux des Adhémar à Montélimar et de Suze-la-Rousse et plus "Nature que nature" le Domaine de la Forêt de Saoù avec la Maison de Site "L'Auberge des Dauphins".

La nouvelle alliance des Conseils municipaux des jeunes (CMJ) et des Conseils départementaux des jeunes ( CDJ), là où la paix niche, depuis le ruissellement infime jusqu'aux voies navigables. Grandes heures de la France...

"La Vi(ll)e mode d'emploi"

faire signe aux limbes - eaux limpides,

faire bonne figure

avec le Panthéon,

la zone d'attention,

et par ailleurs

s’octroie d'autres Promenades en humanités .