Laissez vous porter #2

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Dans cette Newsletter :

  • 5 conseils pour optimiser les résultats et ses campagnes cold emailing et leurs résultats
  • Le manager de transition est-il confronté au syndrome de l'imposteur ? Si oui, quoi faire ?
  • Dans les coulisses de la méthode Six Sigma (c'est vraiment simple à lire)
  • La vision de l'épanouissement de Franklin D. Roosevelt


5 conseils pour optimiser les résultats de ses campagnes cold emailing

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L'efficacité de l'e-mailing

Le cold emailing est une stratégie d’acquisition marketing utilisée par la plupart des entreprises. Mal définie, cette stratégie génère relativement peu de réponses. Pour autant, elle demeure une des stratégies les plus rentables si elle est bien menée. 

Comment s’y prendre pour augmenter le taux de réponse et faire du cold emailing un véritable canal d’acquisition ? Dans cet article, nous avons identifié les 5 principaux critères qui garantissent la réussite d’une campagne d’emailing.

1️⃣ Soigner ses objets d’email

L’attention portée sur l’objet d’email est un critère fondamental de réussite d’une campagne d’emailing. En effet, il s’agit de la première interaction avec la personne qui reçoit le mail. Cette première impression conditionne bien souvent tout le reste et il est difficile de la modifier après coup, même avec un excellent mail 😊. 

3 éléments à peaufiner pour vos objets d’email : 

  • La longueur. La plupart des études ont montré que les objets d’email les plus longs étaient ceux qui obtenaient les meilleurs taux de réponse. En effet, un objet long a plus de chance de toucher sa cible en décrivant davantage la proposition de valeur présente dans le corps du mail. En tout cas, un objet trop court risque de ne pas être suffisamment descriptif.
  • La personnalisation. Ce paramètre vaut pour toutes les composantes d’un email. La personnalisation implique davantage la cible en lui montrant qu’on s’intéresse vraiment à elle. Elle permet également d’éviter l’effet « spam » d’un objet générique qui s’adresse à tout le monde et à personne en particulier. Personne n’aime recevoir de mail adressé indifféremment à plusieurs centaines d’autres personnes !
  • Le contenu. L’objet d’email ne doit pas être racoleur, sous peine de finir sa (courte) vie dans le dossier spam. L’utilisation des spam words (« gratuit », « rencontre », « bonne affaire », « félicitations », etc.) est à proscrire.

2️⃣ Parfaire le corps du mail

Votre cible a ouvert votre mail (bravo !) et commence à lire votre contenu. Le but ici va être de développer votre propos de façon claire et succincte en structurant au maximum. 

En premier lieu, il convient de faciliter la lecture en aérant le texte et en évitant les gros blocs de textes indigestes. 

Ensuite, il faut délivrer les informations les plus importantes (proposition de valeur) dès les premières lignes dans le but de capter l’attention. 

Enfin, veillez toujours à personnaliser au maximum votre email afin de créer une véritable proximité avec votre destinataire. À cette fin, on peut envisager d’utiliser le nom de la personne et de l’interpeller directement (attention à ne pas en abuser au risque de paraître trop invasif).

3️⃣ Un email = un objectif 

Un email doit servir un objectif à la fois. Un corps de texte qui contient trop d’informations est de nature à perdre (littéralement) le destinataire qui n’aura qu’une seule envie : en finir au plus vite (comprendre appuyer sur « effacer »).

Aller à l’essentiel en ne visant qu’un seul objectif est un véritable exercice de style. Une fois maîtrisé, les taux de réponse ont de très bonnes chances d’augmenter significativement.

4️⃣ Ne pas oublier le call to action (CTA) !

Tout le travail effectué jusqu’ici mérite d’être concrétisé. C’est le rôle du CTA. Une fois la proposition de valeur exposée, il convient d’obtenir de la part du destinataire une réponse. Pour cela, on cherche à le faire passer à l’action : réponse au mail, confirmation de réception, remplissage d’un formulaire, etc.

Il est vivement recommandé d’utiliser des verbes d’action dans les CTA pour accentuer l’incitation.

5️⃣ La signature de l’email

La signature de l’email est très importante. Elle présente l’auteur du message. En outre, une bonne signature redirige vers les profils réseaux sociaux de l’expéditeur. C’est une incitation à aller plus loin pour le destinataire, à découvrir qui a pris le temps de lui écrire (non un robot). Cela contextualise un peu plus le propos et rassure sur l’intention initiale. 

💡 Bonus : les erreurs à ne pas faire

Afin que vos emails soient les fidèles messagers de votre offre, voici un récapitulatif des erreurs à ne surtout pas faire : 

  • des fautes d’orthographe (y.c le nom du destinataire) ;
  • des phrases longues et alambiquées ;
  • des abréviations ;
  • l’absence de structure ;
  • un email trop long ;
  • l’oubli de la pièce jointe…


Manager de transition et le syndrome de l'imposteur

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Syndrome de l'imposteur

Vous êtes un manager de transition ? Alors, vous savez identifier les signes révélateurs du syndrome de l’imposteur au sein de vos équipes. Toutefois, soyez vigilant, car votre statut ne vous épargne pas le mal-être au travail. C’est pourquoi, si vous ressentez des doutes ponctuels ou chroniques sur vos performances, un malaise lié à vos interventions, une remise en cause de vos compétences et de votre légitimité au poste que vous occupez, vous êtes sans doute vous-même atteint du syndrome de l’imposteur. Vous devez réagir, car ce complexe peut entraver votre progression professionnelle et inhiber vos capacités à intervenir efficacement.

 

Qu’est-ce que le sentiment d’imposture du manager de transition ?

Définition du syndrome de l’imposture

Le syndrome de l’imposteur (aussi appelé syndrome de l’autodidacte) révèle un manque d’estime de soi. Il met en exergue des doutes et des remises en question.

Le complexe de l’imposteur peut être :

  • ponctuel, c’est-à-dire lié à une situation exceptionnelle (promotion, contrat très important…) ;
  • ou chronique : il s’agit alors de questionnements permanents sur ses compétences et aptitudes, quelles que soient les missions ou les performances.

Syndrome de l’imposteur chez le manager de transition

Votre statut de manager de transition ne vous protège pas de ce syndrome. En effet, plus vos missions sont stressantes, plus vous êtes exposé.

C’est pourquoi lorsque vous opérez un management de crise ou le licenciement d’une partie du personnel d’une entreprise, vous êtes soumis au jugement des autres et surtout au vôtre.

Alors, vous vous interrogez sur votre légitimité. Vous perdez vos capacités. Tout votre potentiel pour assurer vos missions de management peut être anéanti par cette pression.

Définition de l’effet Dunning-Kruger

L’effet Dunning-Kruger est l’inverse du syndrome de l’imposteur. Dans ce cas, vous ne doutez plus de vos compétences, mais au contraire, vous les surestimez.

Vous manifestez alors un excès de confiance en vos capacités.

Vous ne parvenez pas à admettre votre incompétence dans certains domaines.

Comment expliquer le sentiment de l’autodidacte chez le manager de transition ?

Certains évènements ou circonstances du passé peuvent expliquer le syndrome de l’imposteur :

  • échecs scolaires ;
  • éducation ;
  • cascade de critiques sévères ;
  • etc...

Par ailleurs, certaines personnes se trouvent particulièrement affectées par ce phénomène :

– Les femmes : dans beaucoup de domaines professionnels, elles font encore exception. Par conséquent, elles associent leurs succès à de la chance ou du favoritisme.

– Les autodidactes : ils admettent difficilement leur réussite qu’ils attribuent à de la bienveillance ou de l’indulgence de la part de la hiérarchie.

– Les personnes surdouées : elles ont l’impression de duper leur entourage. Elles ne font pas d’effort pour mériter leurs récompenses, et ne se sentent donc pas légitimes.

Conséquences du syndrome de l’imposteur des managers de transition

Les managers de transition atteints du syndrome de l’imposteur peuvent :

  • Soit fournir un surcroît de travail. Leur but est alors de compenser leur incompétence présumée. Ce surmenage les mène souvent à un burn-out.
  • Soit procrastiner pour aboutir à un échec professionnel qu’ils pourront justifier par un manque d’implication.

Remèdes pour lutter contre le sentiment d’imposture du manager de transition ?

Identifiez et assumez vos failles

Vous devez vous montrer bienveillant avec vous comme vous le feriez avec un collègue :

  • Tolérez vos failles et vos lacunes ;
  • Acceptez de ne pas tout savoir, et de ne pas pouvoir être performant dans tous les domaines ;
  • Renforcez vos faiblesses avec des formations lorsque c’est nécessaire.

Déterminez vos compétences

Faites le point sur vos atouts et vos aptitudes. Interrogez votre entourage afin d’identifier objectivement vos qualités.

Par ailleurs, prenez le temps d’écrire chaque jour ce que vous avez fait de bien pour en prendre conscience.

Acceptez les éloges

Ne dépréciez pas les compliments que vous recevez de vos équipes. Consignez-les soigneusement. 

L’essentiel est de les retrouver facilement pour les relire dans les moments de doutes. Vous pourrez ainsi vous souvenir de votre valeur connue et reconnue, et reprendre confiance en vos capacités.

Demandez une aide extérieure

Parfois, le syndrome de l’imposteur est tellement enraciné qu’il est difficile de s’en débarrasser seul.

Il est alors important de faire appel à un professionnel (un coach, un thérapeute, un mentor…).

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Dans les coulisses de la méthode Six Sigma

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Lean, Six Sigma

La méthode Six Sigma, ça vous parle ? Mystérieuse pour beaucoup, elle est pourtant utilisée depuis de nombreuses années dans des entreprises. Mais alors, à quoi correspond cette fameuse méthode de management ? Elle permet d’améliorer l’efficacité des processus de production d’une entreprise pour atteindre le zéro défaut. Au départ, cette méthode était destinée aux processus industriels. Elle a ensuite été appliquée à d’autres types d’organisations. Comment la mettre en pratique dans votre entreprise ? Découvrons ensemble son fonctionnement.

 Qu’est-ce que la Méthode Six Sigma ? 

Tout d’abord, un petit historique s’impose. La méthode Six Sigma a été créée en 1986 par l’entreprise américaine Motorola. Elle fait d’une pierre deux coups : en améliorant la qualité des processus de production, la satisfaction client a augmenté. Le succès était au rendez-vous ! Motorola a reçu le prix Malcolm Baldrige. Elle a ensuite été utilisée par d’autres groupes industriels comme General Electric et Texas Instruments. De nombreux bénéfices sont recensés : optimisation des processus, réduction des coûts de fabrication, hausse de la satisfaction client… 

Mais, pourquoi la nommer : « Six Sigma » ?

Son nom provient de la lettre grecque sigma σ, l’écart-type. Six Sigma correspond à 6 fois l’écart-type, c’est-à-dire le niveau de variation statistiquement acceptable : 3,4 défauts pour un million d’unités produites. En revanche, en pratique, il est difficilement atteignable. Certaines entreprises parviennent au 4 Sigma. Vous suivez toujours ? Voici un petit tableau pour vous aider à y voir plus clair : 

Quel outil est utilisé par la méthode Six Sigma ?  

L’application de la méthode six Sigma s’appuie sur l’outil DMAIC. Il s’agit d’un procédé de résolution de problèmes en 5 étapes :

  • Définir le problème rencontré ;
  • Mesurer des données mesurables et réaliser une base de données ;
  • Analyser les mesures du processus et identifier les causes du problème ;
  • Innover et trouver une solution ;
  • Contrôler la nouvelle méthode.

Quels sont les objectifs de la méthode six Sigma ?

Elle repose sur une stratégie visant à améliorer les performances d’une entreprise et la qualité de ses produits. Découvrez ses objectifs : 

  • Mieux connaître les attentes des clients ;
  • Maîtriser la variabilité de la qualité : 
  • Réduire les défauts des processus de fabrication ;
  • Améliorer les performances de l’entreprise ;
  • Réduire les pertes et coûts liés aux réparations ;
  • Augmenter ses parts de marché.

Comment fonctionne cette méthode ? 

La méthode Six Sigma améliore les processus et réduit les défauts. Mais alors, comment procèdent les entreprises ? Elles s’appuient sur les retours et les avis des clients. De plus, des données mesurables et fiables (statistiques, indicateurs…) sont utilisées. Résultat : une amélioration de la qualité des produits. Ils répondent ainsi à 100 % des attentes des clients. Cela évite les corrections, les réparations et les coûts associés. L’objectif principal est d’atteindre le zéro défaut. La régularité absolue est donc recherchée !

Comment être certifié ‘méthode Six Sigma’ ?

Vous souhaitez obtenir des certifications ? Cela tombe à pic, vous pouvez passer des certifications auprès de l’American Society for Quality (ASQ) ou de l’International Accreditation for Six Sigma Certification (IASSC). Pour comprendre le fonctionnement, c’est simple ! Prenez l’exemple du judo et les ceintures de couleurs qui indiquent le grade du judoka. C’est le même procédé pour la méthode Six Sigma : de la couleur blanche à la noire, en passant par la jaune et la verte, selon votre niveau d’expertise. 

De nombreux bénéfices… mais certaines limites pour l’entreprise !

Cette méthode n’est pas toujours simple à mettre en pratique. Les processus et les produits sont parfois complexes ; la régularité de la qualité peut en être impactée. La méthodologie Six Sigma reste cependant efficace pour améliorer la qualité des produits. Vous voilà incollable sur cette méthode ! 


"La seule limite à notre épanouissement de demain réside dans nous doutes d'aujourd'hui"

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Les indépendants sont souvent confrontés à des défis et des incertitudes, et il est facile de se laisser submerger par le doute et l'inquiétude quant à l'avenir.

Cette citation rappelle que ce sont ces doutes qui peuvent devenir la principale limite à la réussite future, plutôt que les circonstances externes ou les obstacles réels.

Un indépendant prend des risques calculés et de poursuit ses objectifs, même lorsqu'il y a des incertitudes et des doutes quant aux résultats.

Le doute est une émotion naturelle, mais il ne doit pas bloquer la progression.

L'épanouissement et la réussite future dépendent ainsi de votre capacité à surmonter les doutes et les peurs actuels, et à poursuivre vos objectifs avec confiance et détermination.

Et Freedom Portage peut vous y aider en vous accompagnant dans votre métier !

Freedom Portage est une société à mission, et notre mission est de "favoriser l'accomplissement professionnel du Freelance".

Merci de nous avoir lus, et pour ceux qui sont arrivés jusque là, je vous propose de laisser en commentaire le mot "Epanouissement" 😊



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