L'Art se meurt... N'ayons de cesse que de le rendre plus vivant

L'Art se meurt... N'ayons de cesse que de le rendre plus vivant

Et c’est ainsi qu’en ce mois de Janvier, assise à mon bureau, l’air pensive je ne peux qu’être. Tentant après moult réflexions de m’adonner à un tri des plus sélectif, notamment en ce qui concerne ces si innombrables idées qui n’ont eu de cesse que de jaillir au sein de mon esprit. D’ailleurs, voyez vous, je pensais toutes ces idées comme étant des plus novatrices mais apparemment, en y réfléchissant le plus en conséquence que cela le soit, je me suis donc aperçue que cela ne pouvait pas l’être ainsi.

Par ailleurs, comme me l’a déjà confirmé mon coach et si fidèle ami Abdelhamid Niati à maintes reprises (par conséquent, sachez que si actuellement, vous vous lancez activement à la recherche d’une personne qui soit à la fois de confiance et compétente, n’hésitez pas à prendre contact avec lui ; il a toujours su avec exactitude de quelle manière je devais m’y prendre pour pouvoir observer mon entreprise prendre son envol en son ensemble) bien évidemment, pour être apte à travailler le plus efficacement qui soit, il ne faut pas hésiter à passer par la mise en pratique de divers efforts des plus variés et surtout, ne pas omettre un point essentiel dans tout cela : ÉVITER DE SE TUER À LA TÂCHE (une perspective que je me suis toujours mise à négliger bien volontiers)

Et c’est ainsi qu’il est tout à fait, envisageable d’être en mesure d’atteindre le succès comme il nous soit pensable de le souhaiter tel quel mais en travaillant, le plus intelligemment que cela le soit. De plus, il n’est que dernièrement qu’il m’ait été possible d’admettre que pour s’accomplir professionnellement parlant, « il ne faut pas tout faire » mais « faire le nécessaire » (enfin, tenter de ne se focaliser que sur quelques tâches essentielles et laisser à l’abandon ce qui, de toute manière ne nous apportera jamais rien de constructif) d’ailleurs, il en va de même pour les relations, que celles-ci soient amicales, sentimentales… Du moins, il arrive un temps où les relations que nous jugions être idylliques peuvent finalement, se transformer en quelque chose de beaucoup moins passionnant, voire en une chose dite de « destruction ». Cela est donc à partir de cet instant même que nous nous rendons compte qu’il est jugé intéressant, notamment pour chacune de ces relations, d’être le/la plus apte à établir une liste de ce que nous pourrions considérer tout simplement comme étant « des pour et des contre » Une idée que je me suis donc mise à transposer en ce qui concerne l’utilité de l’ensemble de ces idées de base, étant donné qu’en effet, il ne faut pas prendre pour argent comptant la globalité de ce que nous pensons. De plus, il est donc bien impossible de transformer la plupart de ces idées en des projets que nous pourrions et qui, surtout pourraient être considérés comme étant aussi brillantissimes. En effet, un sujet qui a donc bien eu de cesse que d’être travaillé par un nombre de personnes assez en conséquence ne peut pas laisser s’engendrer chez l’acquéreur, notamment bien une fois ce projet finalisé, un sentiment d’étonnement, sentiment que nous pourrions plus à proprement nommer de « réaction de stupéfaction ». D’ailleurs, lorsqu’un créateur se décide à se lancer dans la conception d’un produit quel qu’il soit, ce que ce dernier cherche principalement, à générer chez autrui n’est autre qu’une réaction d’émerveillement ; sensation qui se pourrait bien de lui permettre de mettre en avant, notamment au sein d’une démarche artistiquement créative, un processus comme celui du bouche à oreille par exemple. Il n’y a que lorsqu’un tel procédé puisse s’enclencher que la personne en elle-même peut se mettre, comme il se doit, à être valorisée par le succès, ce qui peut décidément ne pas être le cas avec un même élément servant à la création et de surcroît, ayant été modifié à plusieurs reprises. La seule réaction que nous pourrions avoir, face à un projet ayant utilisé des éléments que bien d’autres créateurs auraient utilisé auparavant, dans l’élaboration de leurs travaux n’est autre qu’un « il est bien » mais malgré cela, sans trop grande conviction, soit à cause d’un manque d’innovation flagrant, soit par manque de pertinence tout simplement. Il n’y a donc qu’en pensant à cela, que je me suis rendue compte qu’il était temps de vous faire part de mon projet actuel qui n’est autre que celui du design textile mais également, de mes débuts en tant qu’Artiste. Et c’est ainsi qu’à la fois enjouée je le suis à l’idée de pouvoir vous faire part de tout cela dans les moindres détails, enfin de ce qui a pu me motiver et de ce fait, me pousser à me lancer dans une telle aventure, aventure que je ne regrette aucunement à ce jour mais l’esprit si confus, inspirée je ne peux l’être que par des échanges entretenus avec mon coach si excellentissime et mon ami si fidèle Abdelhamid Niati. A ce jour, sachez que je me souviens encore de cette toute première fois lors de laquelle il m’ait été possible d’avoir eu l’envie de me lancer dans une réalisation du portrait d’un cheval et notamment, de ce désir de pouvoir mettre enfin en forme mes idées et de cela bien, dans les moindres détails.

Tout commence en 2017...

D’ailleurs, cela est lors de cette période-ci que ce goût pour la création n’a eu de cesse que de croître pour moi. En effet, ayant absolument souhaité me lancer dans le domaine de l’Art, je me suis alors tentée à la réalisation d’une telle œuvre et de ceci, à l’aide de peinture Acrylique (par la même occasion, désirant me tester au niveau de cette capacité à créer qui m’est donc si favorable à ce jour) ; par ailleurs, ceci est une de ces réalisations qu’il m’ait ainsi, été possible de nommer « Délicatesse enchanteresse »

Objectif atteint, cela est alors qu’après m’être mise à me découvrir une aptitude à concevoir sur le plan artistique, le tout découlant de la mise en pratique d’une passion qu’il m’ait toujours été possible d’avoir et de cela, depuis ma plus tendre enfance. Malheureusement, ce n’est que tardivement qu’il m’ait été envisageable de pouvoir l’explorer comme bon me semble. En effet, avant cela, impossible pour moi d’avoir ne serait ce que l’envie d’être bien apte à mettre toutes mes compétences artistiques au bénéfice de la créativité, non seulement par manque de temps mais également, par manque de patience. De plus, ce n’est qu’en désirant le plus ardemment qui soit, exploiter l’un de mes objectifs (ce que j’appelle plus communément une mission de vie) que vraisemblablement, je m’y suis mise. Il n’est donc qu’a partir de 2017 que cette décision de persévérer a donc été prise toujours en tentant, bien évidemment de m’améliorer le plus que je le puisse, tout cela jusqu’a la mise en place d’une première exposition (2018 – Espace Culturel Saint-André à Abbeville (80))

De mon pseudonyme Priscillia Mortier (P.M) josepha040, Artiste peintre, Illustratrice numérique, Illustratrice, Designer textile et ayant eu, de ce fait bien dix expositions à mon actif (de 2018 à 2021) je me suis alors décidée à me lancer dans la création de textile personnalisé en 3D fait main. Tout d’abord, tentant de travailler au feutre, j’opte de ce fait pour la réalisation de quelques illustrations sur vêtements et de ceci, à l’aide de peinture à effet 3D (parfois phosphorescente, parfois non) non seulement dans la simple mesure à ce qu’il me soit possible d’améliorer ce rendu mais également – et surtout – afin de pouvoir rendre le tout plus réaliste, notamment au niveau de cette représentation dans son intégralité. Et c’est alors que, me dévoilant telle une Autodidacte passionnée, je désirerais pouvoir attiser une certaine forme de curiosité chez un certain nombre d’entre ces personnes, et plus spécifiquement, chez les plus jeunes afin à ce que ces derniers puissent, être inspirés un maximum par l’ensemble de mon travail, les poussant – et de cela bien je l’espère – à exploiter leurs dons qui, pour la plupart s’en trouvent être inexploités, peut-être tout simplement par manque de temps ou ne serait-ce que d’envie (le désir engendrant une certaine forme de motivation, il est alors plus évident à ce que cette caractéristique nous pousse à créer, particulièrement lorsque l’on s’en trouve être motivé(e) le plus vraisemblablement qui soit)

Et pourquoi cela… ?

Le domaine de l’Art a, selon moi, si tant besoin de nouveauté et de fraîcheur ; principalement, cette nouvelle génération pourrait, quant à elle apporter ce petit plus qui permettrait de redonner, a ce domaine qui n’est autre que celui de la création un nouveau souffle, voire une seconde jeunesse. Et ne l’oublions pas, cela est ainsi qu’en se développant en tant qu’être de type inventif qu’un spectateur, dont l’esprit ayant été paramétré grâce à l’apport intellectuel d’oeuvres et de connaissances artistiques, pourra donc prendre part à l’élaboration d’un scénario agrémenté au gré de ses quelques désirs ; une activité artistique pouvant laisser place à l’élaboration d’une histoire de type évolutive, dépourvue de scène de clôture mais ayant, tout de même cette capacité à prendre vie sous les yeux de ces quelques observateurs en leur ensemble.



Frederic Hinix

Depuis 2006, je fais grimper les chiffres d’affaire de TPE/PME de 20 à 30%, en moins d'un an. Prospective Marketing : Du sur-mesure omnicanal.

2 ans

Un grand plaisir de te découvrir Priscillia Mortier, à travers ce très bon article ! 👍

Abdelhamid NIATI Business Coach Certifié

Business Coach Consultant en stratégies 🚀accompagner les CEO et les équipes à croitre sereinement 🚀. 📈 2600 entrepreneurs accompagnés 📈 5000 personnes formées 📈 Une activité croissante sur 4 continents

2 ans

Voici une article dans lequel on découvre qui tu es Priscillia Mortier. Denis Gentile #storytelling or not ?

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