Le Bitcoin c'est bien, toi c'est mieux

Fin 2017 le bitcoin s’est envolé. Comme toujours lors de spéculation, la grande question qui subsiste : est-ce que ça va continuer à monter ?

Une chose est certaine e bitcoin s’est révélé être un superbe investissement jusqu’ici. Il montre encore une fois, s’il le fallait, que le monde change et vite.

Plus que jamais, ceux ne sont plus les gros qui vont manger les petits mais les plus rapides qui vont manger les lents.

Après l’ère du primaire et de l’agricole, après l’ère industrielle de la fin du 20éme siècle, nous sommes à l’ère de l’information. L’information c’est le pouvoir.

Malheureusement nous avons été câblés(formatés) pour apprendre à l’école 70% d’informations inutiles. Une vingtaine d’année à se former pour un diplôme en poche, parfois obsolète qui nous ont appris les bases d’un métier qui n’existe plus. Et comme nous avons arrêté d’apprendre, de s’informer, de rester ouvert au monde, il nous a manqué l’intelligence première : celle de l’adaptation.

Cette stratégie fonctionnait bien pour les baby-boomers qui ont connu le plein emploi et l’apogée de la classe moyenne mais c’est une recette désastreuse pour les millénials.

Je pense que les millénials, s’ils ne veulent pas rester sur le carreau en ces temps de changements profonds, ne doivent pas compter que sur l’école pour leur éducation. Ils doivent faire preuve d’ouverture d’esprit comme jamais auparavant et avoir une soif d’apprendre insatiable.

Ce qui ont fait preuve de cette ouverture d’esprit et ont pris le temps de s’informer sur le bitcoin ont gagné beaucoup d’argent en cette fin d’année 2017.

Mais le bitcoin ça monte et ça descend : c’est le propre de l’investissement spéculatif.

L’investissement le plus rentable, le plus fiable du 21ème siècle, c’est l’investissement en soit. Investir sur soi, c’est augmenter ses compétences pas seulement dans son domaine mais dans tous les secteurs. L’investissement sur soi, c’est  s’intéresser (s’ouvrir) à toutes les technologies qui disruptent notre société.

C’est finalement un état d’esprit, celui d’être un apprenant toute sa vie, celui de ne pas accepter le statut quo et comme le disait l’écrivain britannique William Ernest qui inspira Nelson Mandela, d’être le maître de son destin et le capitaine de son âme.