“le célibat et la chasteté imposés par non seulement par l’Eglise catholique mais par le Christ Jésus Lui-même (2ème partie)
C’est en effet, le Christ Jésus qui a imposé à ceux qui voulaient devenir ses serviteurs dans son Royaume, disant :
- Je vous le dis en vérité, nul n'aura quitté maison, ou frères, ou sœurs, ou père, ou mère, ou enfants, ou champs, à cause de moi et à cause de l'Evangile,
qui ne reçoive le centuple maintenant, en ce temps-ci :
maisons, frères, sœurs, mères, enfants et champs, avec des persécutions,
- et, dans le siècle à venir, la vie éternelle. (Marc 10, 29-30)
Jésus ici promets à ceux qui quittent leurs maisons, leurs frères, leurs soeurs, leur père, ou mère ou leurs enfants, ou leur champ, à cause de lui, de son Evangile et de son Royaume ;
de recevoir en retour au centuple, dans son Royaume, ce à quoi ils auront renoncé, maisons, frères, sœurs, mères, enfants et champs, avec des persécutions,
Si quelqu'un veut être mon serviteur, qu'il me suive,
et là où je suis (dans le Royaume de Dieu mon Père, mon Royaume), là aussi sera mon serviteur.
Si quelqu'un me sert, mon Père l'honorera. (Jean 12, 26)
Que voulait donc dire Jésus ? Eh bien la réponse se trouve dans cette parabole où il leur a parlé de son départ.
il ajouta une parabole, parce qu'il était proche de Jérusalem et qu'ils pensaient (ses Apôtres et tous ceux qui les suivaient) que le royaume de Dieu allait apparaître aussitôt. (Luc 19)
Ils n’étaient d’ailleurs pas le seul à penser cela.
- Le lendemain, une multitude de gens qui étaient venus pour la fête, ayant appris que Jésus se rendait à Jérusalem, prirent des rameaux de palmiers, et allèrent au-devant de lui, en criant :
"Hosanna! Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur, le Roi d'Israël!" (Jean 12, 12-13)
- Il dit donc:
" Un homme de haute naissance s'en alla dans un pays lointain pour recevoir la dignité royale et revenir ensuite. (Il parlait de Lui-même)
- Ayant appelé dix de ses serviteurs, il leur donna dix mines et leur dit:
" Faites-les valoir jusqu'à ce que je revienne. "
- Or ses concitoyens le haïssaient, et ils envoyèrent une députation derrière lui pour dire: " Nous ne voulons pas de celui-là pour notre roi. "
Quand il fut de retour, après avoir reçu la dignité royale, il se fit appeler ces serviteurs auxquels il avait donné l'argent,
- pour savoir quel profit chacun en avait tiré.
- Le premier se présenta et dit:
Seigneur, votre mine a rapporté dix mines. "
- Il lui dit:
" Très bien, bon serviteur; puisque tu as été fidèle en chose infime, tu auras le gouvernement de dix villes. "
- Le second vint et dit:
" Votre mine, Seigneur, a produit cinq mines. "
- A lui aussi il dit: "
Et toi, deviens gouverneur de cinq villes. (Luc 19, 11-19)
N’est-ce pas ce qui est arrivé à ses Apôtres, quand il est revenu comme il l’avait promis,
pour régner sur son Peuple, dans ses apôtres et par eux ?
Certains ont en en effet hérités de la récompense promise à tous ceux qui avait accepté de tout quitter pour le servir dans son Royaume :
Ils sont devenus “dans son Royaume, les gouverneurs de plusieurs villes”.
En n’oubliant pas ce révélation que Jésus avait fait sur son Royaume, sur son règne.
Car en effet, le royaume de Dieu, c’est là où le Christ nous a dit être venu établir son règne,
là où il s’en est venu régner ; quand le jour des rameaux il est entré triomphant à Jérusalem, après être monté sur une ânesse et son petit :
- Le lendemain, une multitude de gens qui étaient venus pour la fête, ayant appris que Jésus se rendait à Jérusalem, prirent des rameaux de palmiers, et allèrent au-devant de lui, en criant:
"Hosanna! Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur, le Roi d'Israël!"
- Jésus ayant trouvé un ânon, monta dessus, selon ce qu'il est écrit:
"Ne crains point, fille de Sion, voici ton Roi qui vient, assis sur le petit d'une ânesse."
- Ses disciples ne comprirent pas d'abord ces choses;
mais lorsque Jésus fut glorifié, ils se souvinrent qu'elles avaient été écrites de lui, et qu'il les avait accomplies en ce qui le regarde.
lorsque Jésus fut glorifié, ils se souvinrent qu'elles avaient été écrites de lui,
En effet, ce jour là, celui de la fête des rameaux, Jésus a accomplit une prophétie que donna le prophète Zacharie ici :
- Tressaille d'une grande joie, fille de Sion ! Pousse des cris d'allégresse, fille de Jérusalem !
Voici que ton Roi vient à toi; Il est juste, lui, et protégé de Dieu;
il est humble;
monté sur un âne, et sur un poulain, petit d'une ânesse.
- Je retrancherai d'Ephraïm les chars de guerre, et de Jérusalem les chevaux, et l'arc du combat sera détruit. Il parlera de paix aux nations; sa domination s'étendra d'une mer à l'autre, du fleuve jusqu'aux extrémités de la terre.
- Le rétablissement d'Israël
Pour toi aussi, à cause du sang de ton alliance, je retirerai tes captifs de la fosse (la citerne) sans eau.
Revenez au lieu fort, captifs d'espérance
- Aujourd'hui encore je le déclare :
je te rendrai au double.
- Car je bande pour moi Juda,
et sur l'arc (l’arche) je place Ephraïm;
- j'exciterai tes fils, ô Sion, contre tes fils, ô Javan.
et je ferai de toi (Ephraïm) comme une épée de vaillant.
Yahweh apparaitra au-dessus d'eux, sa flèche partira comme l'éclair;
- le Seigneur Yahweh sonnera de la trompette, et s'avancera dans les ouragans du midi.
- Yahweh des armées les protégera; Ils dévoreront, ils fouleront aux pieds les pierres de fronde!
Ils boiront, ils se démèneront comme pris de vin,
et ils seront remplis comme la coupe des sacrifices, comme les cornes de l'autel.
- Yahweh leur Dieu sera leur salut en ce jour-là, le salut du troupeau qui est son peuple;
ils seront comme des pierres de diadème, qui brilleront dans son pays.
- Quelle prospérité, quelle beauté que la leur!
- Le froment fera croître les jeunes gens, et le vin nouveau les vierges. (Zacharie 9, 9-17)
Arrêtons-nous si vous le voulez bien pendant quelques instants sur cette prophétie qui ne vous parle peut-être pas. Par contre à moi elle me parle :
Je sais, je m’éloigne un peu du sujet, à savoir “le célibat et la chasteté des prêtres dans l’église catholique”.
Désolé, mais je m’adapte aux inspirations que je reçois. Je vous promets qu’on va y revenir.
Ce que m’inspire ces versets, est trop important pour qu’on passe à côté.
Voici que ton Roi vient à toi; Il est juste, lui, et protégé de Dieu; il est humble; monté sur un âne, et sur un poulain, petit d'une ânesse.
Qu’a dit Jésus en parlant de lui ?
- Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et ployez sous le fardeau, et je vous soulagerai.
- Prenez sur vous mon joug, et recevez mes leçons:
je suis doux et humble de cœur;
- et vous trouverez du repos pour vos âmes, car mon joug est doux et mon fardeau léger. (Matthieu 11, 28-29)
Qu’annonce cette prophétie comme autre évènement entraîné par la venue de ce Roi et vous l’aurez reconnu, de Jésus.
Je retrancherai d'Ephraïm les chars de guerre, et de Jérusalem les chevaux, et l'arc du combat sera détruit.
Il parlera de paix aux nations; sa domination s'étendra d'une mer à l'autre, du fleuve jusqu'aux extrémités de la terre.
Pour toi aussi, à cause du sang de ton alliance, je retirerai tes captifs de la fosse sans eau.
- Quand l'heure fut venue, il (Jésus) se mit à table et les apôtres avec lui; et il leur dit:
- " J'ai ardemment désiré manger cette pâque avec vous avant de souffrir.
Car, je vous le dis, je ne la mangerai plus jusqu'à ce qu'elle soit accomplie dans le royaume de Dieu. "
- Et, prenant une coupe, il rendit grâces et dit:
- " Prenez-la et partagez entre vous.
Car, je vous le dis, je ne boirai plus désormais du produit de la vigne, jusqu'à ce que le royaume de Dieu soit venu. "
- Et il prit du pain, et, après avoir rendu grâces, il le rompit et le leur donna, en disant:
- " Ceci est mon corps, donné pour vous. Faites ceci en mémoire de moi. "
Et pareillement pour la coupe, après qu'ils eurent soupé (à la fin du repas) , en disant:
" Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang, répandu pour vous. (Luc 22, )
Pour toi aussi, à cause du sang de ton alliance, je retirerai tes captifs de la fosse sans eau. ... (prophétie de Zacharie)
" Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang, répandu pour vous. (parole prononcée par Jésus qui après que Pilate lui ai demandé s’il était “le roi des juifs” a répondu : “Tu l’as dit, je le suis”.
Et voici ce que dit encore Dieu dans la prophétie de Zacharie :
je retirerai tes captifs de la fosse (citerne) sans eau.
Cela ne vous rappelle rien ? Moi si ! l’histoire de Joseph, le fils de Jacob et de Rachel :
- Jacob reprit :
- « Va voir comment se portent tes frères et comment va le troupeau, et rapporte-moi des nouvelles. »
C'est de la vallée d'Hébron (Hephron) qu'il l'envoya, et Joseph parvint à Sichem.
- Un homme le rencontra alors qu'il était perdu en pleine campagne, et lui demanda : «
- Que cherches-tu ? »
- Il répondit :
« Je cherche mes frères. Indique-moi donc où ils font paître le troupeau. »
- L'homme dit :
- « Ils sont partis d'ici, et je les ai entendu dire :
« Allons à Dotane !»
- Joseph continua donc à chercher ses frères et les trouva à Dotane.
- Ceux-ci l'aperçurent de loin et, avant qu'il arrive près d'eux,
ils complotèrent de le faire mourir.
- Ils se dirent l'un à l'autre : « Voici l'expert en songes qui arrive !
C'est le moment, allons-y, tuons-le, et jetons-le dans une de ces citernes.
- Nous dirons qu'une bête féroce l'a dévoré, et on verra ce que voulaient dire ses songes ! »
- Mais Roubène les entendit, et voulut le sauver de leurs mains. Il leur dit :
« Ne touchons pas à sa vie. »
- Et il ajouta :
« Ne répandez pas son sang :
jetez-le dans cette citerne du désert, mais ne portez pas la main sur lui. »
- Il voulait le sauver de leurs mains et le ramener à son père.
Dès que Joseph eut rejoint ses frères, ils le dépouillèrent de sa tunique, la tunique de grand prix qu'il portait,
ils se saisirent de lui et le jetèrent dans la citerne, qui était vide et sans eau.
- Ils s'assirent ensuite pour manger.
En levant les yeux, ils virent une caravane d'Ismaélites qui venait de Galaad.
- Leurs chameaux étaient chargés d'aromates, de baume et de myrrhe qu'ils allaient livrer en Égypte. (Genèse 37, 14-25)
Comment ne pas faire le lien entre
- cette prophétie donnée par Zacharie,
- l’histoire de Jésus, le fils de Joseph de Nazareth,,
- et l’histoire de Joseph ?
d’autant plus quand on lit cet article “la Tombe du Jardin” sur lequel je suis tombé en faisant sur internet une recherche sur le verbe “entertrer” que je ne connaissais pas.
Cet article, autait été écrit par un Linguiste spécialiste du Moyen-Orient, professeur à l'Université de l'Utah et au Centre d'Études du Proche-Orient de l'Université Brigham Young à Jérusalem” dont le nom est : “John A. Tvedtnes “
Il parle du Saint Sépulcre de Jésus et voyez comme c’est intéressant et curieux :
Depuis le début du quatrième siècle de notre ère, de nombreux chrétiens ont révéré le site de l'église du Saint-Sépulcre à Jérusalem comme celui de la crucifixion, de la mise au tombeau et de la résurrection de Jésus.
On y montre aux visiteurs un petit tertre rocheux qui est, dit-on, le Calvaire ou le Golgotha,
et dans un site avoisinant, une grotte est, prétend-on, l'endroit du tombeau du Christ.Mais cette affirmation pose des problèmes.
Premièrement, les dalles de pierre dans la grotte, sur lesquelles le corps du Christ aurait été lavé et oint et où il fut étendu dans le tombeau sont de marbre rose.
Ces pierres ne proviennent pas de Palestine et furent certainement importées d'Europe beaucoup plus tard qu'à la mort du Christ.
Deuxièmement, ce site a été désigné en l'an 326, à l'époque de la reine Hélène, mère de l'empereur Constantin.
Elle pensait que les restes du tombeau du Christ devaient se trouver sous l'un des temples romains puisque les Romains recouvraient les sites sacrés chrétiens par des temples à leurs dieux.
Elle fit donc raser le temple de Venus et fit faire des fouilles dans le secteur ; elle découvrit un grand cimetière.
Puisque l'une des tombes se trouvait dans une grotte, elle déclara péremptoirement qu'il s'agissait du saint sépulcre du Christ.
Le problème est que les Romains du deuxième siècle ne se souciaient pas des sites sacrés chrétiens ; c'étaient les Juifs que Rome combattait, et ces derniers n'auraient pas tenu pour sacré le tombeau de Jésus.
Bien qu'ils détruisissent le temple juif d'Hérode, les Romains ne se seraient pas nécessairement préoccupés du site du tombeau de Jésus.
Bien que l'église du Saint-Sépulcre ait été visitée par de nombreux chrétiens pendant plus de seize siècles, il n'y a à vrai dire pas de preuve pour soutenir ce qu'elle prétend être.
En conséquence, d'autres sites appropriés ont été recherchés de temps en temps, mais sans grand succès.
Puis, en 1867, un tombeau a été mis à jour à la base d'une petite falaise.
Le propriétaire grec du site avait eu l'intention d'utiliser le tombeau creusé dans le roc comme citerne pour contenir de l'eau.
Mais comme des amis lui dirent que des archéologues seraient intéressés de la trouver intacte, il la réenfouit puis la dégagea ensuite à nouveau.
Gordon remarqua que la muraille de la falaise ressemblait à un crâne (sens du mot Golgotha), avec des anfractuosités pour les yeux, le nez et la bouche,
et qu'il y avait un tombeau à proximité dans la falaise vers l'ouest, celui qui fut d'abord dégagé en 1867 pour être transformé en citerne.
II s'enthousiasma à la perspective de faire préserver le site pour la visite des pèlerins. Une campagne commença pour ramasser des fonds en Angleterre et pour organiser l’Association du tombeau du jardin, qui acheta ensuite le terrain et la tombe dégagée.
Dans les années qui suivirent,
un bon nombre de preuves archéologiques et issues des traditions furent découvertes ;
elles soutenaient la thèse selon laquelle c'était là une possibilité extraordinaire que ce soit le site ou le Christ avait été déposé pour y reposer.
Le tombeau, d'après la Bible, avait appartenu à Joseph d' Arimathée.
Dans les années suivantes, la preuve fut découverte que le tombeau du jardin était vraiment un tombeau juif du premier siècle qui n'avait jamais été terminé.
II était également conforme à la description qu'en donne la Bible parce qu'il était situé au milieu d'un jardin et près de la prétendue place d'exécution (voir Jean 19:41, 42).
La première chose à remarquer, c'est que la petite colline que l'on appelle « le calvaire de Gordon » ou le Golgotha
est la partie la plus au nord du mont qui s'appelle “Moriya” dans la Bible.
Elle est séparée de la masse principale du mont Moriya
par une brèche résultant d'une ancienne carrière de pierres.
Comme le crâne se trouve sur la falaise qui provient de l'exploitation de la carrière, il est important de savoir quand la carrière a été exploitée.
Si elle a été utilisée après l'époque du Christ, la forme du crâne ne pouvait pas exister à son époque et il n'y aurait aucune raison de croire qu'elle donna le nom de Golgotha à l'endroit.
II y a cependant des signes établissant que la carrière date d'une époque antérieure à celle du Christ.
C'est la tradition qui apporte les premières preuves.
La falaise sud de la carrière est juste en dessous de la muraille nord de la vieille ville de Jérusalem.
Une vaste grotte (en partie naturelle) est découpée dans cette falaise ; elle a été agrandie par l'exploitation de la pierre.
On a longtemps appelé cet endroit les « carrières de Salomon » ; d'après la tradition, ce serait ici que Salomon se serait procuré les pierres pour la construction de son temple.
On l'a également appelée la grotte de Sédéclas,
car une autre tradition rapporte que c'est l'endroit ou le roi Sédécias s'est caché de Neboukadnetsar de Babylone en 587 av. J.-C.
Si l'une ou l'autre de ces histoires est vraie, la carrière et la forme de crâne qui en résulte sont antérieures au Christ, et la forme de crâne pouvait donc être visible à son époque.
Je passe un peu plus loin dans l’article, où l’on parle encore de “citerne”
L'église Saint-Étienne du cinquième siècle (aujourd'hui reconstruite avec le même nom) est située à proximité du Golgotha, au sommet de la falaise qui se trouve immédiatement au nord du jardin du tombeau lui-même.
La découverte de ce site en 1882 (remarquez que la porte Saint-Étienne et que l'église Saint-Étienne à l'est de la vieille ville n'ont pas reçu leur nom et leur identification avec Étienne avant les dix-huitième et dix-neuvième siècles) apporta une preuve supplémentaire à l'appui de la tradition ancienne situant à cet endroit l'exécution d'Étienne.
II est probable que Jésus fut exécuté au même endroit.
Les fouilles du secteur du tombeau du jardin ont révélé la preuve que c'était en fait un ancien jardin, non pas de fleurs, mais un verger.
Un pressoir à vin découvert en 1924 peut être vu à cet endroit à l'heure actuelle ainsi que trois citernes, dont l'une a une capacité de 760.000 litres.
Le plâtre qui entoure l'extérieur du tombeau et à proximité de la grande citerne date de la période romaine bien que le plâtre de la citerne elle-même fût réparé par la suite à l'époque byzantine
et décoré d'une croix qui est en soi une preuve de la vénération des premiers chrétiens.
Mon article commençant à être long, je risque d’être bloqué par facebook, je vais donc l’arrêter là en vous encourageant à lire la suite dans le prochain article que je vais écrire, et dans lequel je vous promets des découvertes surprenantes et intéressante,
que l’on peut aussi relier à l’histoire de Joseph, cette prophétie, et l’histoire de Jésus.
Notamment sur le lieu où Joseph fut retrouvé dans cette “citerne sans eau” par les Ismaélites :
“Allons à Dotane”
Ephraïm; j'exciterai tes fils, ô Sion,
contre tes fils, ô Javan, (Zacharie 9, 13)
Revenez au lieu fort, captifs d'espérance
Je dis donc à tous ceux qui sont curieux de découvrir la suite de ce que j’ai découvert,
Auteur Compositeur chez Éditions ADF/BAYARD - KINNOR
4 ansLes évangiles synoptiques rapportent la guérison de la belle-mère de Pierre par Jésus. Le premier « pape » de l’Église était donc marié. Toute l’histoire de l’Église montre que le célibat des prêtres est d’abord une discipline à laquelle on a cherché à raccrocher des significations théologiques et théologales, parfois pertinentes mais en rien exclusives. Il est grand temps, en effet, de s’ouvrir davantage aux libertés de choix, tout comme la très belle cohérence pour aujourd’hui et demain d’ordonner des femmes.
écrivain, oblat bénédictin, pianiste
4 ansla discipline, dans un art ou même dans la sagesse, a sa raison d'être : elle est un moyen qui est loin d'être insensé, encore moins absurde