LE MONDE VEGETAL AU SERVICE DE L'HUMANITE
Je viens de terminer la lecture de ce livre étonnant, qui caché dans le rayon "Nature" ne paie pourtant pas de mine, se faisant beaucoup trop discret pour ne pas être révélé au grand jour !
Son auteur, le fabuleux Didier Van Cauwelaert, m’a encore une fois scotchée par son talent de narrateur et par les réponses qu’il donne à l’humanité toute entière sur la manière dont nous devrions nous comporter avec le reste de la Nature et de notre planète pour notre bien-être à tous. Je vous livre ici un extrait vraiment parlant de ce qu’il a voulu faire passer comme message, à découvrir en pages 187-188 :
<< Nous sommes arrivés à un tournant où, à force de massacrer la nature en la ratiboisant, en l’épuisant, en l’ignorant, en la détournant de ses buts, nous devenons à notre tour une espèce menacée. Et pas seulement parce que nous détruisons nos ressources vitales.
S’il se confirme que les végétaux ont développé la capacité – et donc l’intention – de nous nuire pour se défendre en décuplant nos allergies à leur pollen, voire en nous stérilisant comme de vulgaires punaises, comment riposterons-nous ? En déforestant ce qui nous reste de poumon vert, en détruisant le règne végétal au nom du principe de précaution, nous privant ainsi d’oxygène ? L’homme ne peut pas vivre sans les plantes. Les plantes, si – elles l’ont prouvé durant des millions d’années avant qu’il n’apparaisse sur Terre.
Mais rien n’est joué : il nous appartient de mettre fin à ce combat suicidaire en restaurant l’harmonie. La loi du moindre effort incite les plantes à l’indulgence et au pardon – du moins à l’armistice. Nous l’avons constaté sur de nombreux sites pollués par l’industrie : quand les usines ferment définitivement, les pollens font redescendre leur taux allergénique. De même que la diminution du nombre d’insectes fait cesser la production d’hormones insecticides par les arbres infestés.
A l’inverse, un lien créé par l’homme, un courant de joie conductrice, un élan de bienveillance attentive, une mélodie adéquate stimulent la croissance des plantes et leurs réactions émotionnelles, ainsi que l’ont mesuré Cleve Backster, José Carmen, Masaru Emoto ou Joël Sternheimer. Alors ? Cette sensibilité des plantes ne nous renvoie-t’elle pas à nos devoirs ? Devoirs d’humanité, de bien-être, de vie en bonne intelligence, pour, à l’instar des végétaux transformant le gaz carbonique en oxygène, rendre notre monde un peu plus respirable.>>
Il évoque ensuite une synchronicité au moment de l’achèvement de son livre, que je vous laisse découvrir volontiers et où il parle de Bayer (Monsanto) en des termes peu élogieux mais néanmoins réels. Cela fait froid dans le dos. Je pense qu’il a voulu par ces mots nous mettre en garde et nous faire réagir.
De même, vous pourrez découvrir dans ce livre ce qu’il entend par « en nous stérilisant comme de vulgaires punaises » : nous ferions bien de nous méfier des actes destructeurs que nous portons à la Nature, et notamment aux forêts, au risque de représailles qui pourraient faire diminuer le nombre de la population mondiale ! On ne s’imagine pas un seul instant quel extraordinaire pouvoir ont les arbres et les plantes. Je regarde à présent mon jardin d’un autre œil, même si j’avais l’intuition de cela bien avant la lecture du livre de Didier Van Cauwelaert.
Plus qu’une apologie sur la Nature et ses bienfaits, ce livre nous donne les clés et de nombreuses pistes de recherches pour découvrir des remèdes naturels à nos maux, et redécouvrir le pouvoir extraordinaire et illimité des plantes et du monde végétal qui œuvrent, a contrario d’une grande partie de l’humanité, pour le bien de tous…
A LIRE ET A RELIRE SANS MODERATION :)
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