Le mot travail est voué à disparaître d’ici à 2020 vs des écosystèmes collaboratifs

Le mot travail est voué à disparaître d’ici à 2020 vs des écosystèmes collaboratifs

A l’heure de l’écriture de ce billet (novembre 2016), il n’aura jamais été autant déstabilisant et en même temps grisant de voir les modèles changer à la vitesse que nous imposent les technologies émergentes (le sont-elles encore) et disruptives telles que le sont la « décentralisation » de la distribution, des compétences, du consulting, de l’innovation.

Comme le disait un ancien professeur et qui faisait figure de maître à penser, le monde est ce que l’on en fait, à nous de le chosifier, de le structurer, de le modéliser. Un modèle étant une représentation d’une réalité. A nous donc de prendre chaque réalité qui nous entoure et d’en créer nos modèles ! Et pas les modèles des autres (piège à éviter). Sinon on risque d’inventer ce qui ne nous appartient pas, de vivre éveiller le rêve de quelqu’un d’autre et de travailler pour lui. Pardon ? Le mot travail !

Le travail devient de plus en plus asservissant pour ceux qui le vivent et le subissent parfois sans avoir d’autres choix. Il faut donc d’autres modèles ! Ces modèles doivent reposer sur des écosystèmes collaboratifs mettant en présence des ingénieurs, des consultants et en plaçant au cœur de l’aventure, du projet => des partenaires, des clients. Ce qui ressort ici, ce n’est pas le mot « travail » mais le mot « collaboratif », ce qui est beaucoup plus valorisant, dynamique car il y échange ! Echange de savoir, de compétences, partage d’informations. Le mot « travail » devient de plus en plus « statique » ! Nous vivons dans un monde fait de couleur, de diversité, de métissages, de schémas de pensées différents (mindset), de technologie (que l’on le veuille ou non) !

Dans tout cela, comment trouver sa place en tant qu’être humain ! En acceptant d’utiliser les technologies de l’information ! Cela permet de se distancer, de se « décentraliser ». Car oui le travail avec un grand T est très centralisé. Donc si l’on considère de créer une entreprise aujourd’hui c’est quoi, demain c’est quoi ? Le problème est qu’aujourd’hui c’est déjà demain ou plutôt « future is now » ou « demain c’est déjà trop tard », alors il reste la possibilité de devenir son propre moteur à penser, son propre générateur d’idées et de collaborer !  Créer une entreprise aujourd’hui, ce n’est pas nécessaire d’engager un salarié. A choisir engager un sous-traitant, une compétence c’est tout aussi valorisant car on en a besoin à un instant T pour un projet P dans la réalité R.

La personne effectuant un projet se sent beaucoup plus valorisée qu’une personne effectuant des tâches répétitives en suivant toujours les mêmes schémas. Cette personne est un électron libre chargé d’électricité, de matière grise à profusion et ne demande qu’une chose ………. Collaborer, échanger, faire grandir une initiative, innover !

Dans ce sens, nous allons de plus en plus vers des approches d’entreprise, d’entité, d’organisation basées sur une approche pyramidale ! La pyramide étant propre à chaque contexte ! La pyramide contient la connaissance de l’entité. Cette connaissance a suivi un cheminement de désorganisation à l'organisation. Cette pyramide doit être utilisée sur une plateforme.


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