Le paradigme du marbre dans l'Antiquité

<Le Parthénon au sein de l'Acropole d'Athènes construit en marbre>

<The Parthenon within the Acropolis of Athens built of marble> The period of antiquity: 

It constitutes tangible remains (ruins, works of art, everyday objects, inscriptions, etc.), which a rigorous science could describe and analyse without aesthetic or moral prejudices. The ancient sciences have provided both cultural legitimacy as a modern science by not referring to normative models, and a historical, and scientific definition of empirical disciplines. The use of ancient works was not only guided by an interest in knowledge, it aimed to regenerate a deficient present. Greek and Roman culture in Antiquity designated for the Ancients their past, literature will take up the idea that "men before" were better: (in strength, for Homer; in happiness, for Hesiod; in knowledge, for Plato, Cicero, Tacitus etc.)  The past served as a standard for the quality of human works. Plato and Aristotle developed a cyclical conception of history: the course of human time is punctuated by cataclysms that destroy high civilizations; what remains, at the origin of each cycle, is the memory of a "very ancient" knowledge, gradually developed by the previous cycle; the memory of this knowledge guides the progress of the next cycle. Antiquity can then serve as a standard

L’histoire du marbre :

Elle date depuis la période de l'Antiquité et des premières grandes civilisations qui furent les plus prestigieuses avec successivement l'Égypte, la Grèce puis Rome. Son exploitation et ses lettres de noblesse ont suscité un intérêt sur sont attrait, ses couleurs, sa provenance, ou son lieu d’extraction.

Au travers des siècles, l'exploitation des différents gisements a suscité le génie de l’homme, grâce à l’imagination puis au savoir des carriers, des scieurs, des tailleurs de pierre, puis des polisseurs, sans oublier les sculpteurs.

La transmission du savoir-faire s’est effectuée au travers des générations grâce à l’héritage précieux d’une longue expérience séculaire.

Ce sont les Grecs qui furent les premiers à extraire et à travailler le marbre qui était destiné pour la construction des édifices et réservé aux dieux grecs ou romains, il était symbolique pour des villes antiques comme Aphrodisias et Éphèse.

Le marbre grec fut concurrencé dans le bassin méditerranéen par le marbre blanc de Luni originaire des Alpes apuanes, pour la construction des temples, des monuments funéraires, des statues et des palais.

Plus de 2 millénaires et demi, n'ont pas suffi à trouver des réponses unanimes aux questions qui, continuent à interpeller la conscience et occuper les hommes. 

Les premiers édifices et monuments en marbres :

L'histoire débuta vers -590 av JC par la construction du premier temple d’Artémis (de Diane) à Éphèse, et figurera dans la liste des Sept Merveilles du monde antique apparue au Ve siècle av. J.-C. (d’Hérodote).

La découverte du gisement du marbre pour sa construction résulte d'une circonstance, d’après Vitruve, un bélier donna un coup de corne dans une paroi rocheuse, qui fit jaillir un éclat blanc bleuté. Intrigué, le berger, nommé Pixodore, le ramena en ville. Il fut récompensé et honoré comme un demi-dieu, sous le nom d'Evangelos (le messager de bonne nouvelle).

Chersiphron de Gnose, et son fils Métagène débuterons la construction du temple qui s’acheva grâce à Demetrius, et Péonius. Son rayonnement dans le Monde en plus de sa vénération devint une entité politique à part entière.

Le premier temple bâti fut celui d’Artémis (de Diane) à Éphèse figura dans la liste des Sept Merveilles du monde apparue au Ve siècle av. J.-C. (d’Hérodote) 

La ville de Selçuk fut construite à proximité des vestiges de la ville antique d'Ephèse, c'est pourquoi on parle toujours du temple d'Artémis à Ephèse.

Doté d'un important financement et situé un peu à l'écart de la ville d'Ephèse, il acquit des privilèges qui lui donnèrent une certaine autonomie et donc il put se développer dans le Monde connu.

Sur toutes les côtes de la mer Egée, mais aussi au bout de l'Anatolie, dans le bassin méditerranéen, dans la péninsule ibérique on vouait un culte particulier à l'Artémis éphésienne, ou, comme on la nommera plus tard, à Diane d'Ephèse.

Il s'agissait d'une déesse bien à part, elle disposait d'une représentation distincte des autres Artémis, ses attributs étaient également différents.

Le grand prêtre du temple que l'on nomme le megabyse disposait de pouvoirs équivalents à ceux des magistrats d'Ephèse, du moins au moment de son apogée, ce pouvoir a été respecté par les différents gouvernements de la ville, quelque soient les civilisations qui la possédèrent.

Ainsi les lydiens, les perses, les athéniens, les spartiates ne touchèrent pas au temple d'Ephèse, et même Alexandre le Grand n'y imposa pas ses conditions.

Bien au contraire, il proposa de financer sa reconstruction, après que l'incendie du temple archaïque eut lieu il fut refusé par les habitants qui cherchèrent un autre moyen de financement.

Même les empereurs romains désireux de forcer la population à les vénérer ne parvinrent pas à remplacer le culte d'Artémis à Ephèse.

Ce n'est que plus tard, au moment de la chute de l'Empire, que ce culte disparaîtra, entraînant aussi celui, matériel, du temple lui-même.Il marqua l’histoire dans l’antiquité, étant mis à l’honneur par Pline et Lucien, Philon de Byzance, Vitruve, et les apôtres qui l'avaient vu regorgeant de richesses et assiégé par un concours immense de fidèles, ainsi :

  • ­       Vitruve décrit le temple comme octostyle et diptère, ce qui signifie qu'il avait huit colonnes sur ses faces qui étaient disposées sur ses flancs en deux rangs parallèles.
  • ­       Pausanias le proclame le plus magnifique édifice du monde
  • ­       Ampelius le vante avec enthousiasme,
  • ­       Pline en fit une description détaillée.

Il nécessita deux cent vingt ans de travaux, bâti aux frais des rois et des principales cités de l'Asie. On le plaça sur un sol humide pour le mettre à l'abri des tremblements de terre, et on réalisa un lit de charbon broyé avec de la laine par-dessus de façon à ce que les fondements d'une telle masse ne s’appuient pas sur un terrain glissant.

Le temple entier a quatre cent vingt-cinq pieds de long et deux cent vingt de large. Cent vingt-sept colonnes, représentants autant de rois, s'y alignent ; elles sont hautes de soixante pieds.

De ces colonnes trente-six sont sculptées ; une l'a été par Scopas. L'architecte fut Chersiphron. On eut une grande difficulté pour placer le linteau de la porte. C'était une masse énorme, et tout d'abord elle ne portait pas d'aplomb.

L'artiste désespéré songeait à se tuer ; mais Diane lui apparut en songe, l'exhortant à vivre et lui promettant qu'elle-même allait mettre la main à l'ouvrage. En effet, le lendemain, le linteau était en place et parfaitement d'aplomb».

La construction du Parthénon :

Au Vème siècle av. J.-C., les cités grecques sortent victorieuses des guerres Médiques, menées contre l’Empire perse. À leur tête, Athènes, pillée en 480, se relève. Pour faire disparaître les traces du saccage, Périclès, engage de grands travaux de restauration.Son action est centrée sur les édifices culturels, il décide de construire l’Acropole, sur la colline dominant la ville. Athènes devient ainsi un gigantesque chantier avec des artisans venus de toute la Grèce.

La construction dura moins de dix ans (-447 à -438 av. J.-C.), il a fallu 100 000 tonnes de marbre. Il mesure 69,51 m de long sur 30,88 m de large. 46 colonnes extérieures s'élèvent à 10 m de haut elles sont composées de 10 à 12 tambours. La forme triangulaire du fronton rappelle un élément de charpente, "la ferme".

Les architectes Ictinos et Callicratès ont établi le plan en suivant le modèle d’un grand temple périptère. L’édifice est construit intégralement en marbre de pentélique d’une qualité exceptionnelle, provenant d’une carrière située à 17 kilomètres d’Athènes, ce matériau était habituellement réservé au décor sculpté.

Le Temple d'Athéna Nikè  

Il se dresse sur un promontoire de 9.50 m de hauteur , d'ordre ionique, il est entièrement en marbre pentélique (marbre blanc provenant du Mont Pentélique). Il est constitué de 4 colonnes sur les façades est et ouest.Il a été construit au Vème siècle av. J-C (427- 424 av. J-C) par l'architecte Callicratès.

Le temple romain de Cérès et de Proserpine

Il fut construit entre 499 et 496 av. J-C à Éleusis par Ictinus dans les proportions de l'ordre dorique, sans colonnes extérieures, afin qu'il y eût plus d'espace pour l'accomplissement des sacrifices.

Le temple de Jupiter Olympien 

Situé au sud de l'Acropole, à environ 700 mètres du centre d'Athènes, d’ordre corinthien, il reste aujourd’hui 15 colonnes .Sa construction débuta au IV ème siècle av. J-C. , et fut achevée par Hadrien.

L'extraction, le transport, le sciage et le travail du marbre sont restés inchangés hormis l'utilisation de la poudre noire entre les débuts de l'excavation et le siècle dernier

L'EXTRACTION

La raison était principalement la difficulté d'accès aux carrières dans les montagnes abruptes, les routes étant quasi impraticables, le transport des blocs de marbre ainsi que le poids énorme du matériau et sa dureté étaient une énorme difficulté .

Pour autant, les connaissances pour cette industrie la plus vieille du monde furent transmises de génération en génération. La dimension humaine, pour l'exploitation pendant des milliers d'années, fut orientée sur les esclaves, les serfs, puis les hommes des villages proches, qui gagnaient leur pain et celui de leurs familles effectuant ce travail dangereux dans la carrière et dans le transport du marbre, certains y ont laissé leur vie.

Le travail dans la carrière du marbre reste toutefois, malgré des techniques modernes coûteuses, extrêmement dangereux. Lorsque Aujourd'hui une sirène résonne sur le site de la carrière , c'est uniquement dans le but d'annoncer une détonation à laquelle il faut faire attention.

Or la montagne a toujours été, et reste aujourd'hui encore, imprévisible. La poudre noire "matière explosive" simplifia énormément l'extraction.

Au début, on utilisa une technique très efficace baptisée "Varata", à l'aide d'une barre de fer, on perçait un trou profond dans la masse de marbre et on y déversait de l'acide . On remplissait la cavité ainsi formée de poudre noire et on allumait.

L'explosion étant incontrôlable, une grande quantité de la masse rocheuse ayant subi l'explosion était ainsi détruite et les couches de pierres avoisinantes étaient souvent cassées, de telle sorte qu'il était quasiment impossible d'en poursuivre l'extraction. L'autre grand inconvénient était les déchets appelé ''ravaneti'' , qui constituaient de gravats entassés entre les carrières datant de presque deux mille ans , qui sont aujourd'hui visibles (on dirait de la neige fraîchement tombée).

Les premiers concasseurs de pierre engagés étaient pour la plupart des esclaves. Les hommes étaient divisés en groupes par les Romains :

  • les "marmorarii" étaient les véritables carriers sur place,
  • les "quadratarii" devaient mettre en forme les blocs bruts 
  • les "sectores serrarii" les divisaient en plaques.

Dans les plus anciennes carrières il existe encore des traces témoignant de la méthode d'extraction utilisée en ce temps-là, la célèbre "tagliate" (coupe) romaine. Les "marmorarii" inséraient des cales de fer dans les fentes naturelles ou dans les trous burinés et les frappaient jusqu'à ce que le bloc soit presque complètement détaché de la montagne. Intervenaient ensuite des travailleurs musclés, aidés de dispositifs de traction simples et de bœufs.

Les carriers utilisaient aussi des cales de bois qu'il fallait maintenir humides. Le bois, en gonflant, exerçait une forte pression qui entraînait le détachement. Ce système a été utilisé sans modification jusqu'à l'introduction de la poudre noire.

Avant l'extraction, on posait au sol des boules de fer pour faciliter le transport. Le bloc ainsi détaché était ensuite travaillé avec peine au marteau et au burin par les "quadratarii" pour lui donner une forme plus ou moins rectangulaire.

Le bloc d'un poids monstrueux devait alors être amené jusqu'à la vallée. La méthode appelée  "abbriviatura" était la plus rapide (et fut partiellement utilisée jusqu'à récemment encore). Elle consistait à laisser les blocs dévaler les versants en attendant de voir où et quand ils allaient s'arrêter. Bien sûr, ils furent souvent détruits dans cette opération.

Autrement, on s'aidait également de la "lizza" qui s'est conservée jusqu'à nos jours. Deux rondins de bois étaient posés sur le versant pour relier la carrière à la route en contrebas qui menait à la plaine.

Les blocs de marbre étaient certes encore roulés "abbriviati" mais, au lieu de dévaler le versant, ils le descendaient, puisqu'ils étaient guidés et freinés d'en haut à l'aide d'épaisses cordes de chanvre. Bien plus tard, les rondins furent remplacés par des traverses de bois, qui étaient fixées en travers de la direction de la chute.

C'est là qu'apparut la véritable "Lizza" : deux poutres de bois pouvant aller jusqu'à plus de 10 mètres formaient un support un peu comme un traîneau sur lequel le chargement "Carica" était fixé. Ce chargement pouvait comprendre plusieurs blocs ou un seul bloc pour un poids total allant jusqu'à 25 tonnes. Là encore, le chargement était manœuvré d'en haut avec des cordes pour la descente, dans un premier temps avec des cordes de chanvre, puis avec des câbles d'acier souples.

Le système fut amélioré par la suite en remplaçant les traverses fixes par d'autres mobiles et d'une forme particulière, appelées "parati", qui étaient soigneusement accrochées à une corde et amenées devant la "lizza" pour pouvoir glisser dessus.

Jusqu'à environ vingt "lizzatori" et un "capolizza" avaient en charge, le long des versants incroyablement abrupts, de placer toujours et encore les  parati devant la lizza, qu'elle laissait derrière elle en glissant. D'en haut, les hommes dirigeaient la corde, la laissaient descendre ou la freinaient au besoin en l'attachant à des poteaux plantés dans la roche à cet effet.

Ce travail était incroyablement dangereux pour tous ceux qui y participaient et beaucoup d'hommes furent mutilés ou tués lorsque les blocs de marbre libérés dévalaient la montagne dans un bruit assourdissant en arrachant tout sur leur passage. Michel-Ange réchappa de peu et avec beaucoup de chance à deux accidents de la sorte.

Les "sectores serrarii" avaient la tâche difficile de couper le bloc en plaques. Ils travaillaient par deux avec une scie, comme les bûcherons, à cette tâche fastidieuse et pénible.

Le sciage du marbre se faisait avec du sable, et du fer, la scie pressait le sable dans un sillon très fin, et c'est en évoluant dans ce sillon qu'elle coupée. Le sable d'Éthiopie était recherché pour cette opération puis le sable de l'Inde qui donnait une tranche moins unie l'utilisation de sable plus gras faisait un trait plus large, détruisant plus de marbre et laissant plus de travail à faire au polissage,

Aujourd'hui encore, les habitants se souviennent dans la transmission du savoir de leur ancêtre, avoir vu des hommes effectuer ce travail. Les derniers étaient d'anciens marbriers qui travaillaient le marbre en petits blocs pour augmenter leur retraite.

Ils y passaient leurs journées, l'un à droite, l'autre à gauche, maugréant avec leur éternel "Toscano " (marque de cigare) aux lèvres et ils s'arrêtaient toutes les heures pour boire un verre de vin".Enfin la phase de polissage était réalisé en frottant le marbre avec du sable calciné qui était du sable thébaïque, puis avec un sable fait de pierre poreuse.

LE TRANSPORT

Il consistait à acheminer le matériau jusqu'à la mer et à le charger sur les bateaux. On se servait de chariots tractés par plusieurs attelages qui était tirés par des bœufs efflanqués par l'effort .

Aujourd'hui encore, la route autrefois empruntée par les charrettes et désormais par les camions s'appelle la Via Carriona, elle traverse la région, des montagnes jusqu’à la mer.

Dès que le convoi exceptionnel utilisant les mauvaises routes arrivait jusqu'au point de chargement en Méditerranée, les petits bateaux "naves lapidaire" l'attendaient déjà sur terre pour être chargés à l'aide de cordes, de poulies et de plans inclinés.

Les bateaux étaient ensuite remis à l'eau au prix de nouvelles difficultés. On a retrouvé à ce sujet dans l'ancien estuaire du fleuve Magra, les traces d'une installation portuaire, où l’on chargeait les bateaux à rames ou à voiles pour son transport. 

LA CONSTRUCTION

L'art Grec se vérifiera dans le domaine de l'architecture, les dispositifs constructifs privilégiés étant : le mur, la colonne et la plate-bande, il se se veut une structure fondée sur un système dimensionnel entre les parties dont il se compose, se réclamant de l'arithmétique et de la géométrie, par l'intermédiaire des corrections optiques, comme celle pratiquée entre autres par Ictinos (architecte du Vᵉ siècle av. J.-C. qui a conçu avec Callicratès et Phidias le Parthénon à Athènes) au Parthénon, qui consistait à bomber légèrement la plate-forme du temple.

La période hellénistique qui s'ouvrit peu après la mort d'Alexandre en 323 avant Jésus-Christ est marquée par une sophistication croissante des programmes et des procédés de construction bien que l'arc et la voûte deviennent d'usage fréquents.

Les progrès privilégient le principe d'unité structurelle du classicisme grec , comme étant indissociables d'un mouvement d'investigation scientifique et technique, auquel participent des savants comme Euclide, Archimède ou Eratosthène, des ingénieurs comme Ctsibios, Philon de Byzance ou Hron d'Alexandrie. Sur les bases des notions géométrique et scientifique , un nouveau système technique se met en place, nécessitant une bonne connaissance des mathématiques.

Sur le plan scientifique et technique, Rome apparait comme l'héritier de la civilisation hellénistique. La dissociation entre forme et structure se voit accentuée par l'innovation constructive que représente l'opus ‘’cémenticum’’, le béton romain permettra de batir au moyen d'un mélange de mortier et d'agrégats avant de procéder à un habillage de pierre.

Les grands monuments comme le Panthéon feront l’usage de cette technique, Vitruve va faire la distinction entre la discipline architecturale du simple art de bâtir, à 'la solidité, l'utilité, et la beauté' ; comme étant les qualités essentielles de l'art de bâtir, où naquit la méditation de l'usage et sa pérennisation dans la pierre et le marbre.

Cette triade va se révéler porteuse de bien des interrogations auquel va s’enchainer un travail de codification des proportions données par les architectes grecs dans leurs édifices, en positionnant dans le même esprit les rapports qu'entretient la discipline architecturale avec la philosophie, les mathématiques, l'astronomie...

Cependant, les techniques de l'ingénieur apparaîtront convaincantes sur l'ensemble des procédés au moyen desquels l'homme agit sur la nature et sur la science.

En résumé , le génie humain s’est affirmé dés l’antiquité, en approfondissant la recherche, tout en créant les chaînes du savoir.

La science est avérée lorsque le stade empirique et la méthode sont épuisés , c’est l’aboutissement du progrès vers plus de connaissances et de généralités.

La transformation méthodologique à travers l’histoire, a développée après des siècles et des millénaires un savoir subjectif, tout en créant  les conditions qui ont permis l’émergence d’une méthode conduisant à une connaissance objective .

Aussi loin qu’on puisse remonter dans le temps, on constate que les premiers rudiments de la science et des techniques sont inséparables et resteront au centre des préoccupations utilitaires. Je reprendrai une citation de Gustave Flaubert "le marbre constitue le paradigme de la dureté, son usage, par conséquent, est laudatif".

Yves Couteau expert devant la Cour pénale internationale La Haye (patrimoine culturel mondial classé par l'UNESCO)

Dominique Lencou

Expert agréé par la Cour de cassation commissaire aux comptes

7 ans

Très intéressant

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