Le paradoxe RH (suite)

Le paradoxe RH (suite)

L’importance d’un service des RH ne se mesure pas par la qualité de sa cohabitation avec la direction générale, par sa capacité à être un stratège d’affaires, par ses qualités de gestionnaire de dossiers des employés ou par une contribution diversifiée à une multitude de projets organisationnels. L’importance d’un service des RH se mesure fondamentalement et uniquement par sa capacité à n’engager que des « A » et « B » players. Par l’intermédiaire du succès qu’il a sur ce plan, du niveau de maîtrise qu’il démontre à l’égard de la science du recrutement et de la sélection, combinés à de l’art, les RH démontrent toute leur force, toute leur utilité sans artifice et font exactement ce qu’on s’attend d’eux, ce qu’il y a de plus important dans une organisation, c’est-à-dire n’engager que des « A » et « B » contribuant à la concordance de vocation. En réalisant cela, il se positionne au sommet de la stratégie d’affaires, c’est-à-dire celle qui alimente toutes les autres.


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