Les cinq infos qu'il ne fallait pas manquer aujourd'hui

Les cinq infos qu'il ne fallait pas manquer aujourd'hui

1/ Avion du futur : ces ailes révolutionnaires que prépare Airbus 

Un nouvel avion, c'est avant tout un nouveau moteur et une nouvelle voilure ! Mais pour la future génération d'Airbus, dont l'ambition est de faire entrer le transport aérien dans l'ère de la neutralité carbone dès 2035, les ingénieurs d'Airbus ont dû concevoir une aile révolutionnaire. Voici à quoi elles ressembleront.

2/ « L'épidémie de Covid en Chine ne créera pas de variant dangereux » 

Il en va du Covid-19 comme de tous les virus : au fil du temps, les variants gagnent en contagiosité mais deviennent moins virulents, c'est-à-dire moins dangereux, explique le virologue Bruno Lina, du Centre international de recherche en infectiologie de Lyon.

3/Immobilier : le nombre de logements à louer a fondu à vitesse grand V 

Il est près de deux fois inférieur à ce qu'il était il y a trois ans, selon Bien'Ici. Ceci s'explique à la fois par une difficulté plus grande des ménages à accéder à la propriété et par la sortie du marché locatif d'un certain nombre de passoires thermiques.

4/ L'étonnante remontée des cours de l'or 

La perspective de hausses de taux moins rapides que prévu par les banques centrales a ravivé l'intérêt des investisseurs pour l'or. Sur l'année, le métal précieux reste quasi stable.

5/ Opinion | Comment aider les réfugiés ukrainiens à reconstruire leur pays ? 

Les réfugiés ukrainiens vont pouvoir jouer un rôle important dans la reconstruction de leur pays, estime Hillel Rapoport, professeur à l'Ecole d'économie de Paris (PSE). L'Ukraine va en effet pouvoir bénéficier de l'expérience, des connaissances, de l'épargne et du savoir-faire accumulés par les réfugiés ukrainiens sur leur lieu de travail.

Digard Thomas

Gérant Ouvrages et Patrimoine - collectif La Voie Est Libre

1 ans

L'aviation du future, c'est celle là : «Je pense que l’immense majorité des gens ne se rend pas compte de ce que veut dire aller à la neutralité carbone, voire diminuer par 4 nos émissions. (…) Il est évident que dans une France qui aura divisé ses émissions de gaz à effet de serre par 4, il n’y aura plus d’avion – on ne peut pas y arriver si on conserve le transport aérien. De nombreuses questions de ce type se posent. Le fait qu’il y ait encore ce genre de débats montre bien que l’on n’a pas réalisé ce que veut dire diviser par 4 les émissions de gaz à effet de serre." François-Marie Bréon, physicien-climatologue et auteur du cinquième rapport du GIEC, en audience à l’Assemblée nationale en juillet 2019 :

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