Les géants du numérique sont-ils des poisons pour les marques?
Les géants du numérique apparu en 2000 sous acronyme GAFA en suite GAFAM qui représente les 5 multinationales américaine de l’internet (Google Apple Facebook Amazon et Microsoft) et maintenant s'ajoute NATU (Nextflix, Airbnb, Tesla et Uber) et les géants chinois BATX (Badou, Alibaba, Tencent et Xiaomi) sont aujourd'hui considéré comme des poisons pour le service marketing de toute marque :
Google concentre à lui seul plus de 90% des recherche sur internet dans le monde, qui est maintenant le premier contact entre les consommateurs et les marques,
Facebook totalise à lui seul plus de 2,38 milliards abonnés dans le monde imaginez-vous Facebook décide de se lancer dans n’importe que secteur activité il possède déjà une base de données de plus de 2,38 milliards de consommateurs potentiels,
Ils sont tellement en situation de monopole qui peuvent imposer aux entreprises leur tarif pour accéder à leurs produits à exemple de Google avec la publicité sur les moteurs de recherche ou même YouTube c’est lui qui fixe les prix les conditions utilisations aux entreprises et la publicité sur web qui est devenue aujourd'hui incontournable pour toute marque
Ils sont tellement en situation de monopole et de puissance qu’ils imposent leurs produits aux consommateurs à exemple de Microsoft qui impose son système d’exploitation au consommateur des ordinateurs sans oublier qu’il équipe plus de 90% des ordinateurs dans le monde. Google et son système d’exploitation Android et Apple avec IOS, quelle marque dans le monde a la possibilité d’imposer ses produits à ses consommateurs à part les géants du numérique (Microsoft, Google Apple)
A peine 20 ans existence, la capitalisation de chacune d’elles (les géants du numérique) tourne autour de 1 000 milliards de dollars qui est l’équivalent du PIB d’un pays comme l’Indonésie, 16e pays le plus riches du monde. A eux 5, les GAFAM sont davantage valorisés que le montant du PIB de l’Allemagne, du Royaume Uni ou de la France, donc ils ne sont pas juste des poisons pour les marques mais aussi pour les États.