L'experience des Roms dans la R.de Macédoine
Biljana Z.Biljanovska
Cette article fut publié par "Atelier des médias"
La Macédoine contemporaine est un État où vous pouvez très facilement trouver les citadins d’origines différentes : l’histoire particulière, les événements politiques récemment actualisés, avaient crée des conditions pour la vie commune des ethnies de différente provenance, mais avec le but commun: créer un État moderne qui serait capable assurer à tout ces habitants une vie normale, sans aucune différence parmi les groupes ethniques, ou les minorités présentes dans le pays depuis toujours. Vous y trouverais non seulement des Macédoniens comme peuple constitutionnel, des Albanais, des Turques, des Serbes, ou des Monténegrins, des Bulgares, ou des Grecques, mais aussi bien, comme dans l’entière Europe, et entier monde, des Roms. Mais tous ensemble, représentent le corps civile d’ un État commun, qui est la République de Macédoine.
Si vous connaissez bien l’histoire des Roms, groupe ethnique, qui commence entre V-X siècle à s’évader de ces terres natales à la recherche des meilleures conditions de vie, et pour une organisation qui pourra tolérer leurs habitudes, coutumes, point de vue et tout le reste qui les fait d’être une ethnie typique et différente des autres identités démotiques du monde. Une fois on les avait appelé des Tziganes, Egiupzi, Magiupi, Karavlach, Gitanes, Tzhiganes, Bohémiens, mais aussi des Manouches, Romanichelles, Sintis et Kelés, à cause de leur esprit nomad et une nécessité inépuisable de voyager toute sa vie en recherche toujours de quelque chose de mieux. Et les historiens nous racontent que leur souches tirent ces racines en Inde, plus précisément Inde du Nord, d’où ils ont partie, et quand ils ont commencé leur vie errante, ou de déménagement perpétuel. En Europe, en générale, il commence à se stabiliser vers le XIV siècle, fait tiré des documents écrites, ou des fresques gardés dans des église ou monastères. Et si vous les aviez demander autre fois d’où un tel esprit errant, il vous répondraient que c’est quelque chose qui est dans leurs sang, inné, qu’il s’agit simplement d’un besoin intérieur et que personne ne pourra jamais les changer. Ce qui n’est pas du tout vrais, car, long le temps, les événements, les conditions de la vie changèrent, et en concordance avec le processus évolutifs individuels et sociales, en générale, et dans le pays où ils se sont stabilisés parfois et très souvent pour toujours, il commencèrent à s’integrer et d’adpater les modes de vie typique pour la zones, ou la région.
Il est plus que bien connu le fait que durant la II Guerre Mondiale, ils étaient frappés par le pire destin qui pourrait jamais les toucher, étant persécutés et renfermés des fascistes dans des camps de concentrations, où ils ont subit d’ incroyable torture, mentale et physique. Le plus souvent, jusqu’à l’extermination totale. Mais chez nous, par exemple, il est aussi bien connu le fait qu’ils étaient des participants dans le mouvement pour la libération du pays d’occupation fasciste, et qu’ils faisait partie intégrante des groupes partisans en exécutant différent tâches, même responsables.
Et c’est exactement aujourd’hui et ici, en République de la Macédoine qu’ils ont déjà des nouvelles options envers sa propre organisation de vie, des nouvelles tendances, et avec cela, même des nouvelles visions envers ce qui serait un jour leur vie. Ils ont peu à peu changé leur comportement, en acceptent même de faire partit intégrante du système éducatif de pays, ils ont commencé à abandonner ces anciens habitudes nomadiques et de cultiver un autre attitude qui signifie de vouloir s’integrer dans le système politique du pays, en s’organisant politiquement, ce qui ne fut pas du tout notable dans les années précédentes. Aujourd’hui et actuellement, ils ont déjà ses propres partie politiques, avec leur propres représentants au gouvernement, avec leurs députés qui sont obligés à promouvoir les processus émancipatifs parmie eux, et dans tout les niveaux de la vie commune. Une foi citoyens de deuxièmes ordre, aujourd’hui ils sont égaux en droits avec tout les autres citadins du pays, en occupant des fonctions responsables que dans la vie sociale, ainsi dans la vie politique, scientifique, éducatif, culturelle. Ce qui reste à être promu encore de plus, est leurs intérêt individuel et collectif envers les processus éducatifs plus élevés, ce qui précédemment était complètement négligé.
Malheureusement, partie de culpabilité de leur sous-développement fut le désintéressement de la part des pays développés, et de l’entière Europe, qui ne voulait jamais faire ni un seule pas, ni un seule geste pour leur dévoiler le fait le plus significatif : que dans ce monde, et depuis abrogation d’esclavage (donc, par la proclamation portée en 1862 de la part de A.Lincoln) tout et tous sont égal en droit, néanmoins la provenance, origine, race, langue, ou religion. Que même les Roms du monde entier sont les représentant de genre humain, et qu’ils méritent aussi bien d’être traiter de façon civilisé et humain.
Notre conscience, ici, sur les Balkans, en particulier dans la République de Macédoine, est tranquille, car depuis toujours[1], ils jouissaient ces droits civiles, garantis par les lois et la Constitution, mais la majeur partie des problèmes furent liés à leur refus, écartement, ou désintéressement envers tout ce qui fut nouveaux, moderne, ou selon leur opinion pouvait les distanciées de leur tradition, coutumes, habitudes et en générale, de leur façon de vie. Même aujourd’hui, ils continuent à communiquer entre eux en langue qu’ils ont porté une fois en l’Inde, mais pas si pure et influencé par des langues du pays où ils se sont stabilisé et commencer peu à peu s’integrer.
Aujourd’hui ni cela n’a plus aucune importance, car les voilà déjà partout autour de nous : des braves étudiants, des braves élèves, des ardents maires municipale ou communale, et chargés des fonctions importants dans la vie quotidiens. Ils sont également présents dans la vie artistique du pays, ayant son propre théâtre, des notables écrivains participent à tout les manifestations littéraires, et sans exclu. Mais ils restent vraiment surtout inoubliables sur la scènes musicale, un des postes le plus évident qui les tiens liés à leur origines et la tradition mémorable long les siècles, qui va toujours témoigner leur provenance. Métier et art qui les aident même aujourd’hui de ne vouloir jamais nier ses orignies, et ce qui les avait toujours identifier d’être des Bohémiens, des Gitans, des Tzigans, et avec tout les autres noms péjoratifs, disent-ils, car leur vrais nom est Roms, ce qui signifie en leur langue d’origine ‘Romane chib’ – les enfants de Rama. C’est un fait tirait des légendes, tandis que les source scientifiques plus remarquables expliquent ce antonyme par – « l’homme accompli et marié au sein de la communauté »[2]. Quoi qu’il soit, ce qui est important aujourd’hui c’est que leur vie commence à se modifier selon les exigences modernes, et les besoin d’une modernisation complète de l’entier pays, où ils obtient tout les garantis pour une meilleur vie, conforme aux besoins dictés par notre époque, cela veux dire du XXI siècle.
Préparé par Biljana Biljanovska,
freelnce journaliste de la République de Macédoine
[1]) Cela veux dire que depuis la libération du fascisme ils étaient égalisés avec tous les autres citoyens que de la Yougoslavie, ainsi bien des Républiques et par les Constitutions de chaque pays indépendamment.
[2]) Majeure partie des faits sont prie du livre de prof. Rajko Đurić, qui est actuellement représentant officiel des Roms en Serbe, (voir aussi l’article de Wikipedia).