L'histoire de Mélanie, graphiste freelance sans fibre commerciale

Cet article recense l'ensemble des posts racontant l'histoire de Mélanie.

Chaque semaine, je publie un nouveau passage de son aventure tumultueuse.

Mélanie est en quête d'indépendance et de liberté. Mais celles-ci ont un coût : devoir trouver des clients.

Chose que Mélanie n'a jamais fait... et déteste s'imaginer faire.

Voici son histoire.

Episode 1

***L'histoire d'une graphiste en quête de sérénité***

[L'histoire de Mélanie - Présentation]

Je vous avais raconté il y a peu l'histoire de Mélanie.

Pour vous rafraichir la mémoire, voici ce que vous devez savoir sur elle.

Mélanie s'est lancé à son compté il y a un an.

Avant d'être à temps plein sur sa nouvelle entreprise, elle a démarré en parallèle de son ancien job.

Prudente la Mélanie :)

Car ce projet entrepreneurial est le début d'une vraie quête : celle d'être indépendante.

De vivre sa vie pro et perso comme elle l'entend.

Sans rendre de compte à personne.

De bosser sur les projets qui l'anime.

Quand elle veut. Où elle veut.

Elle connaît d'autres freelances et sait que c'est possible.

Donc avec le soutien de son mari et de ses proches, elle se lance.

Avec un grand objectif en tête : 

Réussir à vivre confortablement de son activité quand ses allocations chômage se termineront.

Episode 2

***Le bouche-à-oreille, ça va bien un temps...***

Mélanie est graphiste indépendante, depuis un an et demi.

Elle kiffe cette nouvelle aventure.

Elle gère son temps. Elle bosse en direct avec des clients. Elle rencontre plein de monde. Elle peut se former sur de nouveaux sujets.

C'est super exaltant.

Et l'activité va bien : le bouche-à-oreille semble fonctionner.

Elle a des projets, on la contacte de temps en temps.

Mais bon, elle commence doucement à s'inquiéter...

Car elle n'a pas de projet à venir pour les prochaines semaines.

Elle se rend bien compte que le bouche-à-oreille a des limites.

Notamment le fait qu'elle n'a pas vraiment le contrôle dessus.

Elle sait ce qu'elle doit faire.

Mais ça la fait grincer des dents.

Elle ne veut pas entendre ce mot. Cela lui fait un peu peur.

Pourtant, elle sait que c'est la prochaine étape.

Elle doit... PROSPECTER !

Episode 3

***Quand faut-il apprendre à prospecter ?***

Mélanie a bien lancé son activité de graphiste.

Elle a fait fonctionner le bouche-à-oreille, notamment avec ses anciens collègues et clients.

Elle a eu du boulot pendant un certain temps, mais là... les projets commencent sérieusement à se tarir.

Elle le voit bien que le téléphone sonne moins souvent.

Elle sent que le vent risque de tourner à tout moment.

Mais elle s'accroche.

Et commence à s'intéresser à la prospection.

Car elle sait qu'elle va devoir y passer.

Mais pour le moment, elle voit ça de loin. Car elle a encore des projets qui tombent.

Donc elle se dit que l'orage va passer, puis que tout va se remettre en ordre.

Opération "miracle" en somme, non ?

On peut pas croire un peu au miracle parfois ?

Le souci est que plus les semaines se suivent, plus elles se ressemblent : moins de demandes entrantes, moins de projets.

Elle commence à s'inquiéter Mélanie.

Car il ne lui reste qu'un an d'allocation chomage, et elle se voit mal rester indépendante avec une angoisse pareille.

Car ce n'est pas une vie ça !

En tout cas l'urgence commence à pointer le bout de son nez... et ce n'est jamais bon signe.

Episode 4

***Quand sonne le glas***

Mélanie sentait que le démarrage de son activité commençait à tourner coton. 

Et la réalité lui a donné raison. 

Deux agences partenaires ferment coup sur coup.

Bim. L'une après l'autre dans une période de 3 mois. 

Du coup, il ne lui reste plus qu'une seule agence en portefeuille.

Son réseau s'est drastiquement amenuisé en un rien de temps. 

Que va-t-elle devenir ? 

Elle le sait : si elle n'a pas de nouveaux contrats dans les deux prochains mois, elle va devoir penser sérieusement à l'après. 

Redevenir salariée ? 

Quelle horreur ! Elle s'y refuse. 

Elle a trop pris goût à son indépendance et à sa liberté. 

La vérité la frappe alors. Assez violemment : elle aurait dû commencer à prospecter avant. Dès les premiers jours.

Ne pas laisser de place au hasard.

Avoir le contrôle de son activité dès le départ.

Heureusement, Mélanie n'est pas du genre à se laisser aller.

Elle prend plutôt les choses en main.

Ok, elle ne sait pas prospecter.

Mais elle peut sûrement apprendre à le faire.

Et elle se rend bien compte que c'est indispensable pour elle.

Par où commencer ?

Par un premier webinar :)

"Prospecter quand on est à son compte avec une stratégie adaptée à son activité et sa personnalité."