L'importance du visible et de l'invisible dans la relation de la maladie comme dans la relation cadre de santé et patients
Dans le précédant post je vous parlais de l'importance des softs-skills dans la relation cadres de santé et patients.
💬 𝑷𝒐𝒖𝒓𝒒𝒖𝒐𝒊 𝒄'𝒆𝒔𝒕 𝒊𝒎𝒑𝒐𝒓𝒕𝒂𝒏𝒕 ?
➡️ Dans un environnement de soins de santé de plus en plus technique, revenir à l'humain et à la connexion peut faire toute la différence.
➡️ Les patients se sentent mieux pris en charge et les médecins trouvent plus de satisfaction dans leur pratique.
Ma mission
Le pourquoi je veux faire une formation auprès des cadres de santé et patients Cancer.
Mon intention
Pour faire grandir ce projet dans la réalité, je souhaite me mettre en relation avec tous les responsables de Santé sur les Hauts de France et notamment sur la Région de Dunkerque.
A cet effet: mon pouvez joindre mon amie Cinthia Vamombola par email : cvanombola@gmail.com et par téléphone au 06 02 42 78 87
Ou bien mon amie YASHI au 06 62 11 94 17 et par email : yashi@harmony-essenciel.comyashi@harmony-essenciel.com avec qui je fais un travail pour découvrir l'harmonie de mon être intérieur.
La qualité de la relation médecin-malade est essentielle pour l’obtention d’un résultat thérapeutique optimal.
Fondée sur l’écoute, l’empathie, le respect, l’examen physique, la clarté et la sincérité du langage, elle vise à établir la confiance, condition première de l’adhésion du patient et de l’alliance thérapeutique.
Son action favorable s’exerce principalement par l’amélioration de l’observance des traitements, mais aussi par des effets propres, apparentés aux effets placebo, spécialement mis à profit dans le traitement des troubles non lésionnels.
Le médecin d’aujourd’hui doit faire face, dans sa relation avec le patient, à plusieurs difficultés : malade plus informé et plus critique ; manque de temps du fait du poids des tâches administratives ;
Travail en équipes qui disperse et appauvrit la relation ; et surtout primauté des technologies.
L’examen du patient L’examen, dans ses composantes physique et psychique reste, en dépit des progrès techniques, indispensable au diagnostic de nombreuses maladies.
Sa persistante nécessité doit être soulignée, et il n’est ici considéré que dans sa nature d’acte relationnel. Une consultation sans examen physique est, de l’expérience générale, tenue pour incomplète par de nombreux patients (« il ne m’a même pas touché… »), et la valeur qu’ils accordent à ces gestes est élevée.
L’examen physique est un rituel, qui a ses règles, et le rituel renforce le lien avec le clinicien et l’effet à venir du traitement.
Dans le cadre de la consultation d’aujourd’hui et de la place qu’y occupe l’informatique, l’examen physique est un temps sans l’ordinateur où seule compte l’attention portée sur le patient, ce qui contribue à la perception d’une médecine personnalisée.
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Le toucher a en outre un effet propre.
L’expérience clinique et de nombreux travaux expérimentaux montrent son implication dans le contrôle du stress, de l’anxiété, la qualité des soins et les relations humaines en général, avec la connaissance de certains relais neurophysiologiques et de neuromédiateurs et hormones (notamment l’ocytocine) qui en sous-tendent l’effet. Il est clair que son défaut est une limite à la bonne qualité de la RMM.
- La relation médecin-malade (RMM) Qu’entend-on par RMM ? Qu’est-ce qui en fait et en exige la qualité ?
De l’utilité d’une bonne RMM Au-delà de la satisfaction qu’elle procure au soignant et au soigné, une bonne RMM agit favorablement sur le résultat thérapeutique, par l’incitation à l’observance et par ses effets propres.
Ce qui menace ou modifie la RMM
Les contraintes de temps
Il est logique de penser que la bonne durée d’une consultation est celle qui permet, dans un climat détendu, l’écoute du patient, un examen physique suffisant, et les explications, prescriptions, conseils et recommandations qui en découlent de la part du médecin.
Il est admis qu’une durée suffisante à satisfaire ces critères améliore, outre la satisfaction du médecin et du patient, le résultat de la prise en charge, la promotion de la santé, et réduit le recours à l’hospitalisation.
Mais la durée requise pour cet exercice est éminemment variable suivant les spécialités, les conditions d’exercice, le contexte économique et social, la personnalité du patient, la nature de la maladie et le stade de sa prise en charge ; l’incertitude diagnostique, l’échec du traitement préalablement prescrit, la fin de vie, notamment, exigent une consultation longue.
Il est donc exclu de fixer une durée standardisée.
La relation partagée
Pour nombre de pathologies aigües ou chroniques, le patient est confronté à un plus ou moins grand nombre d’interlocuteurs, dans le cadre d’un parcours de soins ou d’un séjour dans un établissement de santé. La relation ne s’envisage plus alors avec un seul médecin, mais avec une équipe pluri-professionnelle et/ou pluridisciplinaire.
Il est clair que pour la satisfaction et la tranquillité du malade, tout membre de l’équipe en contact direct avec lui est tenu, à sa place et pour ce qui est de sa compétence, d’observer les règles précitées de la bonne relation et notamment le respect, qui n’accepte aucune dérogation.
Mais il arrive qu’en raison de manque de temps, d’ignorance du rôle des uns par les autres, de manque de concertation et de contradictions, de défaut de lisibilité des fonctions et, finalement, de défaut d’attention du service à la qualité de la relation, le patient se trouve désorienté, inquiet, inconsidéré ou insatisfait.
La meilleure façon d’éviter ces écueils est qu’un des soignants de l’équipe soit nommément reconnu (ou désigné) pour veiller à la qualité de la relation et en assumer l’essentiel.
Ce rôle pourrait être celui du médecin généraliste référent, responsable de l’orientation initiale, mais si l’appel à son avis doit toujours rester possible, sa disponibilité et la limite de sa compétence sur des questions très spéciales empêchent sa pleine intégration à l’équipe.
Le plus propre à jouer ce rôle est donc le médecin auquel le patient destine naturellement sa confiance, à savoir celui qui, en son propre nom ou au nom d’un collège, formule le diagnostic, propose le traitement, exécute le geste principal et assure le suivi, et cela pour toute la durée de la maladie.
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