« L’ouvrier qui a un métier est à l’abri de la faim » - Proverbe juif
COMMUNICATION
Emploi et médias sociaux : participer ou pas ?
LinkedIn présente les 25 postes pour lesquels la demande a le plus progressé entre 2017 et 2021.
Parmi les principaux figurent, sans surprise, les métiers du numérique, témoins de l’informatisation croissante de la société française, les métiers de la santé, dont la crise sanitaire a usé les professionnels ou les métiers du commerce, pierre angulaire de la pérennité des entreprises.
Les professionnels de l’insertion et de la relation entreprises noteront avec intérêt le positionnement de leur métier dans cette liste.
Un tiers de ces métiers sont accessibles aux titulaires d’un diplôme de niveau 5 (bac+2). Cela signifie que les deux tiers restants requièrent un niveau de formation 6 à 7 (Maîtrise, Master). Cette exigence témoigne de la technicisation croissante des métiers et de la nécessité de suivre des formations de plus en plus pointues pour se constituer un socle de connaissances en adéquation avec les attentes professionnelles des entreprises recruteuses.
Etonnament, les métiers accessibles avec des niveaux de formation 3 et 4 (CAP, BEP, baccalauréat) ne figurent pas dans cette liste. Un indice qui peut laisser penser que les publics précédemment mentionnés ne sont pas présents sur ce réseau, principalement peuplé d’étudiants et de professionnels issus du monde du commerce, de la communication ou des Ressources Humaines, et titulaires de diplômes de niveau 5 à 7. Une absence qui s’explique par la place importante accordée par ce réseau social à la communication écrite, une forme pas toujours maîtrisée par des professionnels détenteurs de diplôme de niveau 3 ou 4. Il convient donc de considérer avec prudence les métiers plébiscités en fonction du niveau de formation, du secteur d’activité et de l’âge des personnes inscrites sur LinkedIn.
Avec la montée en puissance du marketing de réseau et de la nécessité d’engager la conversation avant de vendre son produit ou ses compétences, les 16-25 ans en phase d’insertion socio-professionnelle peuvent d’autant moins se dispenser d’être présents sur LinkedIn, pourtant perçu comme « un réseau social de vieux », que la plupart des managers et des recruteurs y affichent un profil. Ne pas y être visible, c’est prendre le risque de passer à côté d’opportunités professionnelles. Encore convient-il, pour y être visible, respecter les codes de communication en vigueur. Un apprentissage qui nécessite un accompagnement spécifique…
Si les 16-25 ans ne maîtrisent pas tous la communication écrite, ils se sentent parfois beaucoup plus à leur aise avec la communication vidéo. Et préfèrent afficher leurs compétences professionnelles sur des réseaux sociaux plus adaptés que LinkedIn à ce format de communication. Faute de s’ouvrir à d’autres profils que ceux actuellement présents sur son réseau social, LinkedIn prend le risque de passer pour « le réseau social professionnel des élites ». Ce qui pourrait obliger les acteurs du management et du recrutement soit à être présents sur plusieurs réseaux sociaux simultanément, en plus des réseaux sociaux d’entreprises, ce qui requiert plus de disponibilité, soit de faire le choix d’ignorer un support de communication au profit d’un autre.
La crise sanitaire et les adaptations qu’elle a imposé à l’exécution du contrat de travail et à la production des richesses nécessaires à la poursuite de la vie économique pourraient transformer les mentalités des générations qui entrent ou s’apprêtent à entrer sur le marché de l’emploi. A condition que les générations qui les ont précédées le permette. L’hypothèse contraire pourrait ouvrir la voie à une fuite des compétences les plus qualifiées vers des pays européens ou extra-européens plus ouverts au changement. Une hypothèse qui pose le débat de la généralisation de l’exercice d’activités professionnelles sous le statut d’indépendant ou du maintien de la prééminence du salariat.
Insérer les 16-25 ans dans notre société commence parfois par les connecter ou les reconnecter au monde professionnel. Le savoir-faire va de pair avec le faire savoir et « les mots pour le dire ». Cette démarche débouche sur la construction par chacun de sa « Marque Candidat » et sur la gouvernance par les acteurs, qu’ils soient consommateurs, collaborateurs ou citoyens, de leur image publique en ligne.
TECHNOLOGIE
Télépilote : métier ou spécialité ?
Pour prendre de la hauteur, en ce 20 janvier, Nicolas HUMBERT et Karim BOUSSELIT ont proposé une visioconférence sur les secteurs d’activité qui impliquent le pilotage de drones.
Le drone permet l’inspection d’installations industrielles : pétrolier (pipelines, oléoducs, gazoducs…), énergie (réseau de transport d’énergie, nucléaire…). Les drones sont équipés de lampes LED, ce qui évite d’envoyer un être humain. En matière de sécurité civile, la thermographie permet de détecter les gens dans les zones de gravats après un tremblement de terre. Hors Europe (USA, Amérique du Sud…), les drones sont utilisés pour la surveillance des frontières, la surveillance maritime, la surveillance du trafic routier... La seule difficulté reste la portée du drone. La surveillance routière pourrait, dans le futur, permettre d’évaluer l’état d’un camion, pour prévenir des accidents.
En Travaux Publics, le drone permet de surveiller le chantier, de pratiquer les relevés, d’inspecter des ouvrage (ponts…) en particulier dans des endroits difficilement accessibles. Le drone permet aussi d’identifier si des infiltrations d’eau existent dans une pile de pont ou sur un barrage.
L’Union Européenne et certaines agences françaises travaillent sur l’épandage raisonné par drone, pour éviter des épandages nocifs sur des habitations. Une start-up agricole propose même une application intégrée dans les tracteurs pour faire de l’épandage. Mais l’objectif à court et moyen terme reste l’épandage sans pollution. Or, le tracteur reste polluant.
Le drone permet aussi d’étudier l’atmosphère, les sols, les océans, grâce à des bornes RTK qui permettent de mesurer l’avancée du littoral sur les terres. Il permet aussi de prévoir la météorologie.
Les films et les reportages utilisent aussi le drone pour tourner des plans. Le FPV est utilisé au cinéma pour des plans qui ne peuvent pas être tournées en voiture.
La difficulté résulte d’impératifs de sécurité, énoncés par des normes légales. Pour les travaux des transports publics souterrains à Paris, certaines zones ne sont pas accessibles par drone. L’inspection et la surveillance des ouvrages d’art s’effectuent par drones. Le drone permet aussi de détecter, sur les montagnes, des parois rocheuses prêtes à s’effondrer.
Une autre difficulté résulte de la source d’énergie qui alimente les drones. Les batteries de drones professionnels coûtent entre 180 et 500,00€. Certaines batteries sont chauffantes, ce qui permet de voler par des températures négatives.
Enfin, l’un des gros problèmes autour du drone émane de l’importante consommation de carburants. C’est une des raisons pour laquelle EDF n’utilise pas de drone pour surveiller ses lignes électriques. Aux USA, les drones peuvent être commandés de plus loin, grâce à deux opérateurs différents. Mais la législation française impose un commandant de bord unique.
L’industrie minière utilise le drone pour la cartographie et l’impact de l’extraction sur le milieu environnemental. Par ailleurs, pour faire un relevé correct, les conditions de vol du drone peut constituer un handicap, comme le vent dans l’ouest de la France. Le survol d’une zone urbaine doit faire l’objet du dépôt d’un plan de vol, ce qui n’est pas possible lorsque le survol du drone est lié aux conditions météorologiques. Et sur Paris, l’autorisation de survol est liée à une autorisation militaire. Le vol sous la pluie ne peut être pratiqué que par des drones tropicalisés, et la thermographie n’est pas possible par temps de brouillard, conformément au VFR (Visual Flight Rules). Pour cette raison, les télépilotes professionnels planifient une plage de date, ou intègrent une clause dans les contrats d’intervention. Sur ce point, l’évolution des drones est envisageable, et des drones militaires semblent avoir contourné les difficultés météorologiques.
Une activité qui se professionnalise
Depuis le 1er janvier 2021, l'utilisation de drones civils est soumise à la réglementation européenne qui crée 3 catégories en fonction du risque (ouverte, spécifique, certifiée). Elle impose pour les drones de 250 gr à 25 kg, une déclaration sur Fox Alphantango et une formation obligatoire.
L’arrêté du 18 mai 2018 relatif aux exigences applicables aux télépilotes qui utilisent des aéronefs civils circulant sans personne à bord à des fins autres que le loisir encadre et définit la formation pratique basique qui devra être dispensée au télépilote.
14 organismes franciliens proposent des formations pour piloter un drone, pour un coût allant de 900 à 1200 euros. Il est cependant possible de passer le CATT (Certificat d’Aptitude de Pilote à Distance) en candidat libre, grâce à des formations en ligne. L’épreuve se compose d’un QCM de 60 questions et d’un examen pratique. Le titulaire du CATT peut ensuite solliciter le BAPD (Brevet d’Aptitude de Pilote à Distance), pour piloter des drones de 500g à 2kg.
Recommandé par LinkedIn
Dans le civil, les pilotes de drones professionnels sont dans leur grande majorité des micro-entrepreneurs qui travaillent dans le domaine de l'audiovisuel (photos, vidéos). Une infime partie sont aussi fonctionnaires d'Etat (pompiers, gendarmes, policiers municipaux, garde forestiers, chargés de communication...), d'autres salariés au sein de grandes entreprises ou des TPE-PME. Ils peuvent exercer dans de nombreux domaines d’activité : BTP, énergie, transport, urbanisme, agriculture, environnement, ingénierie, surveillance, cabinet de géomètre…Cependant, de nombreuses offres d’emploi émanent de l’Armée de l’Air. Les rémunérations offertes varient autour de 1.300€, avec des primes pour la participation aux opérations extérieures.
Pour les 16-25 ans attirés par ce métier, les conditions d’entrées, en dépit de la récente législation européenne, restent accessibles. Si l’éventail des secteurs d’activité se révèle large en théorie, la demande émane principalement du secteur militaire. Un bon moyen de se faire une expérience professionnelle avant de se lancer dans le civil…
Statut
Salarié ou indépendant ?
Le 19 janvier s’est tenu à LA CENTRIF le Social Selling Forum, qui rassemble, sous le patronage de Loïc SIMON, les professionnels du marketing de réseau en ligne.
Parmi les tables rondes qui se sont enchaînées en ligne, « Soyons plus facilement employables » a rassemblé plusieurs acteurs du marketing RH en ligne, tous familiers avec l’utilisation du réseau social professionnel de Microsoft.
L’introduction à la table ronde souligne l’importance de définir ce que l’on cherche en termes d’emploi, mais aussi d’entreprise et de secteur d’activité.
Y compris en créant son propre emploi et en se lançant dans l’entrepreneuriat, en écoutant l’avis de mentors et des professionnels qui aident et qui motivent, plutôt que l’entourage proche, dont la peur explique les réactions.
Être plus facilement recrutable en entreprise, que l’on soit étudiant ou en reconversion, c’est parfois aller vers les secteurs d’activité, les entreprises et comprendre le lien entre l’activité de l’entreprise et le métier recherché ou les compétences les plus en rapport avec les enjeux auxquels l’entreprise est confrontée. Une démarche possible, notamment grâce à une surveillance de l’actualité économique, mais aussi à une plus fine connaissance de soi qui permet une meilleure interaction entre l’offre et la demande. Le marketing s'invite désormais sur le marché de l'emploi…
Et si vous quittiez le salariat pour devenir freelance ou entrepreneur ? Une stratégie qui, pour être payante, doit concilier impératifs professionnels et financiers, tout en prenant conscience de l’évolution de son secteur d’activité. Cette évolution, marquée par la raréfaction, puis la disparition du salariat en CDI au profit d’indépendants prescripteurs de produits et services et apporteur d’affaires ou de profils compétents, favorisera ceux qui créent de l’influence pour mettre en relation deux ou plusieurs interlocuteurs partageant des intérêts. Une transformation synonyme d’émancipation, mais aussi de précarisation, qui permet à de nouveaux acteurs d’entrer sur des secteurs, auparavant chasse gardée de quelques-uns.
Dans ce contexte, chacun doit faire évoluer sa propre stratégie, en particulier pour décider combien il souhaite gagner.
L’activité professionnelle choisie, qu’elle se déroule dans une entreprise ou en dehors, doit apporter des revenus diversifiés, récurrents et à effet de levier, c’est-à-dire des revenus issus du travail personnel pendant une période donnée, consacrée à créer un réseau qui devient source de revenus. A cet égard, un revenu qui dépendrait de la présence physique au travail ne serait plus une bonne stratégie financière, au regard des mutations précédemment évoquées. Au regard d’une telle stratégie, le salariat doit pouvoir se combiner avec d’autres modalités d’exécution : portage salarial, groupements d’employeurs, plateformes d’indépendants, etc.
Les salariés, une espèce en danger ?
L’emploi de demain sera-t-il dominé par les indépendants et les créateurs d’entreprises ?
Les statistiques disponibles rendent la question légitime : en 2017, l’Observatoire ALPTIS de la protection sociale rappelait que le nombre de travailleurs indépendants avait augmenté de 25 % entre 2003 et 2017, soit 10 fois plus vite que la population salariée, représentant alors 11,5 % des actifs. Confrontées à un marché mature, qui rend les perspectives de développement difficiles, les plateformes de freelances françaises, comme Malt ou Freelance Republik, envisagent désormais leur développement hors des frontières nationales.
Avec 11,4 % d’indépendants, la France fait partie des pays de l’UE où le travail indépendant reste marginal. Et en 2019, la proportion moyenne de freelances en Europe s’élève à 14%. Ce taux masque cependant d’importantes disparités, puisque 30% des Grecs travaillent en indépendants, contre moins de 10% des Danois, des Luxembourgeois, des Suisses ou des Allemands. De son côté, le Ministre de l’Economie se félicite, dans un communiqué, du nombre d’entreprises créées durant la crise sanitaire.
Concernant le freelance, il est souvent un déçu du salariat, qui, depuis les deux chocs pétroliers de 1973 et 1979, provoquant des licenciements économiques, n’assure plus la sécurité de l’emploi. En témoigne le recrutement de plus en plus fréquent des organisations en CDD, révélateur de l’incapacité des dirigeants à entretenir une vision prospective de leur secteur et de leur volume d’activité. Au point que le candidat qui, aujourd'hui, n’accepte que les postes en CDI risque de se retrouver au RSA, notamment dans le secteur de la communication ou de la publicité, importants consommateurs de freelances. En outre, le faible coût de démarrage de l’activité le rend attractif auprès de jeunes, qui éprouvent souvent des difficultés à s’insérer sur le marché de l’emploi. Enfin, le recours fréquent au CDD, qui pousse le salarié à gérer des activités annexes sous forme d’indépendant, et la crise sanitaire, avec le télétravail qui s’en est suivi, ont donné aux salariés, notamment ceux qui ont quittés l’Ile-de-France pendant le confinement de mars à mai 2020, l’expérience d’une forme d’indépendance. Une expérience qui a suscité des exigences particulières, sous peine de claquer la porte.
Enterré, le salariat ? Pas si vite…
La cannibalisation du salariat n’est pas à l’ordre du jour pour Adrien VINCENT, Directeur associé de la société de portage salarial 2i Portage. Car, à côté de freelances qui excellent dans une activité de niche, coexistent des indépendants évoluant sur des secteurs et des activités fortement concurrentielles, à qui le statut est imposé par des organisations pour mieux faciliter la gestion de leur masse salariale en l’amputant des cotisations sociales dues par l’employeur. Certains secteurs d’activité, comme la communication, la publicité ou le numérique, sélectionnent les freelances à partir de sites d’enchères inversées. D’où un discours qui encourage le développement d’activités exercées à titre indépendant, mais qui, s’il permet au donneur d’ordre d’accroître son chiffre d’affaires ou ses marges, ne bénéficie pas au freelance. Ce dernier ne peut alors prétendre ni à une protection sociale, ni au droits à la retraite. Et un peu plus d’un indépendant sur dix gagne moins de la moitié du SMIC annuel et vit sous le seuil de pauvreté. Les partisans de l’activité professionnelle indépendante sont donc ceux qui en tirent parti : les entreprises clientes et les plateformes de freelances principalement.
Et ce ne sont pas non plus les créateurs d’entreprises qui concurrenceront le salariat. L’INSEE souligne le nombre important de microentreprises créées durant cette période, modérant ainsi l’enthousiasme gouvernemental. Or, dans le monde entrepreneurial, les microentreprises sont les moins pérennes. Et parmi les entrepreneurs, les microentreprises sont celles qui ont le plus souffert financièrement de la crise sanitaire.
Vers un ordre nouveau ?
La crise sanitaire et la récession mondiale qui s’en est suivi ont contribué à fragiliser les plus jeunes. L’épidémie a souligné leurs inégalités, notamment dans le cadre de l’accès à l’emploi. Une prise de conscience peut émerger auprès de ces générations. L’intégration au sein de groupes professionnels ou extra-professionnels élargies, forts et cohérents, comme certains réseaux sociaux ou structures en ligne, peuvent davantage faciliter l’exercice d’une activité comme indépendant que l’individualisme et la méritocratie qui cimentent traditionnellement la culture française. Une vision du marketing de réseau largement encouragée sur LinkedIn, et relayée en filigrane lors de la table ronde évoquée en ces lignes, qui pourrait amener une rupture culturelle entre ces générations et les précédentes de nature à estomper les inégalités...ou à les accroître.
Le rôle d’informateur qui incombe aux professionnels de l’insertion socio-économiques inclut la prudence autour des mirages qui entourent l’exercice indépendant d’une activité et la création d’entreprises. De tels projets nécessitent, de la part des 16-25 ans qui les mûrissent, d’être bien informés, bien entourés et bien préparés. Telle est la clé du succès…
Conseil et prévention des conduites addictives - Patient expert certifié / Formateur Indépendant / Conférencier / Coach professionnel membre EMCC 🦋
2 ansTrès bel article Patrick, et une mise en garde qui a de l'importance. Effectivement l'entrepreneuriat s'il fait rêver, n'est porteur que de peu d'assurances... Intervenant bénévolement pour 100 000 entrepreneurs, je fais le constat que les jeunes sont plus attiré par le coté rémunérateur "no limit" d'entrepreneurs médiatisés qui ont démarré il y a 20 ou 30 ans que par les efforts et les échecs formateurs qui ont jalonné leurs carrières. Nous n'avons pas cette mentalité en France ou seule la réussite est valorisée, dommage cela freine la créativité la rupture. L'argent ne vient que si ton projet répond à quelque chose sinon, la salariat reste bien plus avantageux! Deux mots en ce qui concerne les réseaux, ce sont des outils pas des objectifs! Il faut donc en sortir pour retrouver la vie réelle!
Conseil en évolution professionnelle/personnelle - gestion de carrière, emploi. Conseil en stratégie commerciale : aider des PME familiales indépendantes en franchise ou non, à se développer et à pérenniser leur affaire.
2 ansMerci pour cet article de réflexion Patrick. Instructif.
vous...
2 ansC'est top, elle est carreleur. 😁
MISE EN RELATION D'AFFAIRE en Freelance
2 ansOn nous a toujours dit qu'il n'y a pas de sous metier
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