Médias : se faire une place, "facilité ou difficulté" !
Il est parfois bien compliqué de dire ou d'écrire tout haut ce que certains pensent tout bas. Il est d'autant plus difficile d'expliquer le monde du travail et de s'exprimer en étant réaliste et non fataliste à propos d'un univers non conformiste et ce par expérience lorsqu'il est question du mot "médias".
Dans un monde relativement fermé, beaucoup vous diront qu'il faut savoir frapper à la bonne porte. Avant d'arriver à se démarquer, le fait de croire en soi et d'avoir de bonnes idées, cela est formidable. Mais faut-il encore avoir la possibilité de pouvoir les exprimer. Le résultat n'est peut-être pas toujours à la hauteur des attentes , que ce soit dans le métier de journaliste ou dans le métier d'animateur pour un quelconque média, il faut chaque jour innover en sachant privilégier la remise en question permanente car rien n'est jamais gagné ou acquis dans la vie.
"La bouteille à la mer face à ce lourd sacrifice."
La force de conviction doit savoir dépasser la raison. Surmonter l'impossible, analyser, apprendre et comprendre sont des éléments déterminants car l'erreur peut-être fatale et il y a comme cela des professions ou l'imperfection peut-être très mal perçue même si nous entendons souvent dire que toute erreur est humaine. L'outil de mesure c'est la courbe d'audience qui doit rester croissante ou encore le nombre de lecteurs, s'il est question d'un magazine ou de la presse écrite, le nombre de visites pour les sites internet, l'audimat pour les chaînes de télévision. L'expression orale ou écrite doit être maîtrisée. Pour être repéré, il faut savoir croire en sa bonne étoile et vivre avec une légère lueur d'espoir même si nous savons tous que cela ne suffit pas. Car tout le monde n'a peut-être pas la chance de posséder la notoriété.
"Quel chemin pour y arriver ?"
Beaucoup choisiront la voix de l'école en passant par des structures prestigieuses mais coûteuses et puis d'autres choisiront le terrain en privilégiant l'expérience. Il sera possible de conjuguer les deux maintenant vouloir réussir c'est bien mais être le seul ou la seule à le savoir cela demeure plus compliqué . Être remarqué(e), c'est aussi savoir se démarquer , mais à ce sujet je répondrais que rien n'est véritablement jamais gagné car il faut souvent savoir passer par différentes épreuves, par des stages et du bénévolat avant d'espérer un jour réussir. Il y a néanmoins plus de postulants que de postes vacants, c'est aussi l'une des raisons pour laquelle il faut croire en soi, savoir s'armer de patience et surtout ne pas perdre l'espoir car avant de devenir titulaire, il faut savoir d'abord être remplaçant.
"Rien n'est jamais figé".
Mais néanmoins beaucoup ont peut-être l'impression d'être seul (e) au monde face à la situation qui se présente. Le cheminement est long surtout lorsque la route est parsemée de virages accentués. Le seul soucis c'est qu'aujourd'hui dans le monde des médias, ce n'est pas forcément la bonne plume, les bonnes idées de l'animateur ou du journaliste qui sont recherchées. Les médias misent sur la notoriété dans cette course à l'audience effrénée alors que la meilleure façon de pouvoir se démarquer devrait être certainement de jouer la carte de la diversité.
Comme le dit si souvent l'expression : " Il faut y croire pour pouvoir ou il faut pouvoir pour y croire"
La communication, c'est aussi mettre tout en œuvre pour agir, pour réagir, pour rebondir activement et positivement.
Pour ma part, j'y crois encore et toujours dans le paradoxe du mot réussite et je répondrais à ce sujet que tout le monde doit avoir la chance d'y arriver même si nous savons tous que toutes les directions peuvent amener à une même destination. Certains choix peuvent aussi nous éloigner de la vérité et de la réalité.
Dans la vie qui s'offre à nous, Il faut surtout apprendre à éviter la complexité ,surtout lorsque le pourcentage de réussite est faible, il faut aller à l'essentiel, savoir s'affirmer car sinon on vous fera miroiter et à la finale, vous ne pourrez rien attendre du poste convoité, un poste qui ne viendra peut-être finalement jamais car beaucoup d'employeurs feront le choix de sélectionner des correspondants, des pigistes, des intermittents, tout simplement pour une histoire d'argent. Au départ, on vous vendra les caractéristiques comme le privilège de l'indépendance mais le choix de l'indépendance a un prix, celui de la liberté certes mais au niveau du statut ce n'est peut-être pas le plus bénéfique financièrement parlant. Certains vous diront que c'est une histoire de choix, mais ce n'est peut-être pas le choix le plus bénéfique financièrement parlant mais aussi si on veut optimiser les caractéristiques du mot "reconnaissance" professionnellement parlant. Je répondrais que pour beaucoup, c'est un choix qui s'impose à défaut d'un tout autre choix lorsqu'il faut gagner sa vie et tenter de percer et de rester dans une profession que l'on adore.
"Quelques idées"...
À l'heure du progrès, beaucoup de médias demeurent trop souvent matérialisés par le mot "argent " en oubliant de ce fait "l'humain"et perdent de ce fait trop souvent leurs véritables racines pour faire face aux véritables enjeux économiques en oubliant les caractères prioritaires qui sont la liberté d'expression, le caractère d'indépendance et la politique de diversité orientée autour de véritables concepts pour l'épanouissement mais également pour jouer la carte stratégique bénéfique et cela est regrettable !
strategic & business development manager allan griffin jacques.a.vermeulen@gmail.com
8 ansLes médias sont tributaires de l audimat ou des lecteurs, il ne faut pas l oublier, un support doit se vendre à n importe quel prix, sans cela il n existe plus