MOURIR pour RE-NAITRE et revenir à l’ESSENTIEL
Combien de fois êtes-vous mort à vous-même dans votre vie ? J’ai eu la chance de le vivre 2 fois. Voulez-vous en savoir plus ?
La première fois, c’était lors de mon périple de 31 jours sur Saint-Jacques de Compostelle, alors que j’étais partit épuisée, je marchais avec difficulté. Au 21ème jours, je sentais mon corps à bout… C’est alors que je m’assois au bord du chemin, en pleur, le corps endolori. Je ne sais alors par quelle magie, une personne dans une voiture me voyant sur le bord s’arrête immédiatement et me demande si je souhaite qu’elle m’amène quelques parts. Synchronicité exceptionnelle dans un pays où je ne parle pas la langue (espagnole), la personne avait perçu mon mal-être et m’emmène en urgence à la fin de l’étape. Mon état s’aggravait et je sentais mes forces m’abandonner. Mes larmes abondées sur mes joues ne sachant quoi faire, ne sachant expliquer ma situation, une nouvelle synchronicité se manifeste, une personne parlait couramment français et espagnol et traduit ma détresse. C’est alors que l’on me transporte dans une chambre en urgence. Mon corps était froid, mon énergie vitale était au plus bas, la fièvre, la nausée, la ménorragie, la pâleur de mon visage… Je mourrais à moi-même.
Lorsque nous nous retrouvons dans cette vulnérabilité, nous réalisons à quel point notre mental d’acier nous trompe. Il peut nous amener loin, c’est clair, mais si nous n’écoutons pas notre corps, ces besoins, alors nous franchissons des limites qui peuvent nous amener à la maladie et même à la mort. C’est alors que j’ai appris à comprendre mon humain. Ce corps que nous renions en pensant que nous sommes super-puissant ! C’est lui qui nous connecte au ressenti, à la magie de la vie, cessons de l’ignorer, apprenons à l’AIMER.
La deuxième fois fut un 9 janvier. Mon corps à nouveau montra des signes de fatigues, plusieurs repas copieux, un début de lumbago puis le lendemain un empoisonnement alimentaire sérieux. Et pourtant encore une fois je ressentais en moi que j’avais encore franchi une limite. Mon corps était froid, mon énergie vitale était au plus bas, la fièvre me brûlait le cerveau, la pâleur de mon visage et étrange sentiment de déjà vu… Je mourrais à moi-même à nouveau.
Mais ce qu’il est important que vous sachiez, c’est que ces étapes sont des cadeaux de la vie. Car à chaque fois que je suis morte à moi-même, une ouverture en moi s’est créé. Un espace si grand, si puissant et si AIMANT, que je me suis envolée.
Comme le papillon qui cherche à sortir de son cocon, j’ai dû pousser, m’extraire avec force et une immense volonté de VIVRE, pour réaliser que mes ailes avaient poussées et que je pouvais m’envoler.
Ces cadeaux sont l’œuvre de ma métamorphose, le destin qui m’a été envoyé. Car lorsque nous souhaitons guider et devenir un mentor, nous devons franchir des étapes vertigineuses pour réaliser notre but. Et lorsque ce but m’a été révélé après ma première renaissance, et que cela était juste FOU !!! Moi, guide – mentor… Mais comment puis-je ? Il a fallu que je lâche prise pour laisser mon cœur me guider et me montrer la voie.
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C’est pour cela que mes accompagnements sont puissant au-delà de tout ce que mon mental peut concevoir. Le cœur n’a aucune limite.
Savez-vous ce que j’ai appris au travers de ces RE-NAISSANCES ?
À m’AIMER au-delà de toute imagination et concept humain. Au-delà d’une relation de dépendance affective et sexuelle. Un Amour plein de compassion, illimité, inconditionnel envers moi-même. Et je le donne à tous ceux qui vive cette reconnection au travers mes programmes et accompagnements.
Je suis un guide des transitions que ce soit personnel ou professionnel, de la pauvreté à la richesse, de la séparation de soi à l’amour inconditionnel. Il m'a fallu du temps pour l'accepter...
Prenons 30min pour un café mentoring. Par amour, juste un temps pour soi.
Unikement vôtre
Marie-Christine
Aller simple vers l'essentiel
2 ansMerci pour ton récit et les messages que tu véhiculent au travers, toujours un plaisir de te lire. Et quelle force ! Le cœur n'a aucune limite... ce qui m'a interpellé. Decontextualisé je trouve que c'est puissant tel de l'amour en abondance pour soi et par conséquent pour les autres et en même j'y vois un risque si le dosage de celui-ci est mal ajusté. Et puis me vient le fait qu' être soi finalement c'est se donner des limites tout en étant la version véritable de soi et donc de prendre "ce risque" (émotionnel) de vivre vraiment.
Formateur chez Humour dans des entreprises, collectivités, secteur médico-social : Enedis, Orange, Acteo services, EHPAD,... Auteur de livres, Scénariste BD
2 ansLa marche fait jouer les mollets des pieds mais aussi les muscles de la tête surtout les rigolos et les créatifs