Obligations Convertibles en Actions pour PME - #MakeOurPMEGreatAgain
Chapitre 1 : Créer un million d’emplois dans les PME
La plupart des patrons de PME ne veulent pas ouvrir leur capital. Ils veulent être tranquilles et n’ont pas assez de potentiel marché ou de rentabilité pour accéder aux levées de fonds.
Si nous proposions des placements d’obligations convertibles en actions. Les banques, qui gèrent déjà des FCPI, auraient un fond PME qui prêterait à des PME au sens européen : contrôlées par des personnes physiques françaises, ayant des salariés, un commissaire aux comptes, 3 ans d’existence et plus de 5 % de rentabilité sur fonds propres.
Les PME pourront souscrire jusqu’à trois fois le montant de leurs fonds propres, de 500 000 € à 15 000 000 €, avec un remboursement différé de trois ans, au taux de 5 %. L’Etat garantirait le capital des deux premiers milliards souscrits. Un patron de PME pourrait convertir le prêt en capital au bout des 3 ans s’il ne peut pas – ou ne veut pas - payer. En cas de conversion, l’obligation deviendrait une FCPI classique.
Les souscripteurs pourront déduire de leur imposition 50 % de leurs pertes éventuelles.
Cette mesure permettrait à des chefs d’entreprises confirmés et ambitieux de faire des acquisitions, des projets, de se développer, en prenant un risque modéré. Cette opération a un potentiel de 50 000 entreprises, pour des montants moyens de 1 000 000 €.
Si une PME sur cinq souscrit, nous pouvons espérer la création d’un millions d’emplois sur 5 ans.
L’objectif sous-jacent est de donner aux chefs d’entreprises et aux Français la culture de penser grand, local, sans oublier d’être rentables.
Votez avant le dimanche 4 février 2018 sur le site Internet : Obligations Convertibles en Actions pour PME - #MakeOurPMEGreatAgain