OUI NOUS LES ALGÉRIENS NOUS SOMMES UNIQUES !!!
En ces temps de grisaille politique tous les superlatifs ne manquent pas pour dénoncer la supercherie Boulitique, naturellement le peuple se dédouane de toutes interférences malencontreuses ; pis il commente ces grands mécanismes diplomatiques tel un fumeur de Haschich qui commente la fumée de son délire, car Abou Houdaifa et Abou x et Abou Y vont nous démonétiser, oui on ne l'est pas assez ….Bref après réflexion et moult questionnements il apparaît clairement que nous devenons un peuple moutonnier (oui je lis vos commentaires TOUS LES JOURS…)
Nous avons admirer Tebboune, un héros, un brave, qui titille à même courage de Ben M’Hedi et l’intégrité de Da L’Hocine, mais nous avons oublié que Mr Tebboune à une carrière politique plus vieille que la Casbah, oui oui ce monsieur est devenu Monsieur propre en paraphrasant une rhétorique de Ammi X ou d’un parkingueur lambda en Algérie, lisez bien il dit « J’AIME MON PAYS …je suis patriote etc …. »
Tebboune ce « Héros » au service d’une oligarchie haineuse, politiquement faible ,intellectuellement indigente ou les valeurs morales côtoient les instincts les plus vils de l’espèce animale .
Décidément nous sommes uniques, spéciaux nous autres les Algériens.
- Nous détestons l’Amérique mais nous admirons sa puissance.
- Nous détestons les occidentaux mais nous admirons leur justice.
- Nous crions haut et fort notre islamité mais nous omettons d’être spirituels.
- Nous étalons notre piteuse fierté sur nos voisins mais nous passons nos vacances chez eux.
- Nous insultons nos gouvernants pour leur immoralité, mais nous halalisons la tchipa (kahwa),
- Nous bombons le torse (ce réflexe pavlovien à s’énerver pour des broutilles) mais nous admirons les pays nordiques ..pour leur calme et leur sagesse .
- Nous sommes Musulmans mais pas L’islam.
- Nous haïssons nos frères et sœurs africains, mais nous oublions que nos compatriotes se perdent dans les creux des vagues de la méditerranée
- Nous dénonçons et révélons l’insalubrité (la misère) des (nos) enfants africains mais nous oublions que nos quartiers pestent la pourriture de nos déchets
- Nous Critiquons le tiers monde mais nous omettons que nous produisons que des paroles, des rhétoriques, en somme nous produisons le néant.
Nous nous nous…..Toujours nous es donneurs de leçons aux autres mais en réalité nous somme les plus pauvres qui ont besoins des leçons des somalis, Tunisiens, Marocains, et voir même Togolais
Et pour paraphraser un grand penseur Algérien nous présentons tous les critères de colonisation
Services aux entreprises
7 ansQd je lis les commentaires je me rends compte bien que le décollage n'est pas pour demain. On est encore au stade de penser que nous sommes comme si ou comme ça. Nous ne sommes rien, zéro, moins que rien. A votre avis pourquoi???
Bien dit Mr serrai .
Marketing Research & Strategy / Business consultant (Région MENA)
7 ansBravo m. Serrai !!!!! Vous avez dit tout haut ce que tout le monde pense tout bas !!!! Sauf que je dit que ceux que vous avez décrit sur ce paragraphe sont les soit disant spécialistes politiciens chefs d'entreprises et surtout ceux que se prénomment actuellement "ENTREPRENEUR" une spécialité et surtout un mot complètement inconnue chez nous (sauf pour le BTP) avant l'inauguration de l'esaa .... Vous avez raison m. Zahir Serrai c'est là où on se rejoint : la critique est un sport nationale chez nous et malheureusement c'est les grandes gueules qui se font toujours entendre . Tout message respects m. Zahir Serrai une fois encore vous prouvez que vous êtes un vrai patriote
Chef d'entreprise, Solaris Confort Sarl Études-Fabrication-Produits-Services-Transfert de Technologie-Formation
7 ansOr la notion de sens de la vie apparaît particulièrement lorsque, comme depuis un bon siècle, on participe à l’écrasement de l’humain, de la diversité des approches par les hommes des différentes situations auxquelles ils sont soumis. La diversité c’est la richesse de l’esprit humain. C’est aussi ce qui n’est pas encore apparu. Aujourd’hui, il rétrécit cet esprit pour ne devenir que l’apanage de ceux qui se penchent sur la déshumanisation née de la science sans conscience, témoins du vide spirituel et du refus de voir un miracle dans l’existence. Les chercheurs en cosmologie, en physique nucléaire sont plus émerveillés par ce qui nous constitue que le nombre, le commun qui va de l’intellectuel au petit homme de Reich, et qui use de la vie comme on se sert dans un banquet autant qu’ils le peuvent. Nous ne bâtissons plus que de l’utilitaire, ensevelis sous le nombre qui submerge la pensée. Le « vouloir » se limite volontairement à l’utile et au consommable, démontrant par là combien l’espèce tient toujours de la bête. Les grands esprits, rares, et de peu d’audience, crient dans ce désert que l’Homme se meurt par manque d’avoir su ou pu développer sa tête, ce qui dans son paradigme touche le plus à la raison de son être. A. Chater
Directeur Général chez Laboratoires SALEM | Médecin spécialiste
7 ansLe problème n'est pas l'algérien mais l'incapacité pour le moment de la Societé Algérienne de produire des élites. Il faut toutefois garder l'espoir qu'un jour viendra où il suffira d'un seul homme, à l'image d'un Nelson Mandela, pour guider notre nation vers la lumière et redonner toute sa grandeur à notre peuple.