Passer d’une vision stratégique à une stratégie de la vision
Se développer ! Voilà le mot d’ordre. C’est la course, la poursuite du « time to market ». L’accélération des cycles, dopée par les nouvelles technologies digitales, présente un risque : perdre de vue l’enjeu de pérennisation des activités de l’entreprise. Qui n’a pas senti le souffle de la désintermédiation, de l’uberisation (déplacement, hostellerie, finances…) ? Il s’agirait presque de se disrupter soi-même avant que d’autres le fassent.
Pour tenir, dans cette course de fond, l’innovation devient l’EPO de l’entreprise. Et toutes les sources sont bonnes : les talents internes qu’il s’agit d’animer et de libérer de leurs habitudes ; les clients que l’on rassemble dans des clubs utilisateurs pour mieux comprendre leurs usages et leurs attentes ; et les « start-up », première division de l’innovation, qui entrent dans le jeu du mercato.
La grande question reste quand même : mais dans quelle voie pousser l’innovation ? Comment faire le bon choix, ou plutôt comment ne pas faire le mauvais ?
La création de modèles économiques complémentaires ou alternatifs devient une priorité et se pose en préalable à toute création de produits et services : l’échauffement des neurones permet seul de faire franchir la ligne d’arrivée et d’être sur le podium. La création de nouveaux modèles économiques est enthousiasmante mais pas forcément intuitive. Pour se donner le droit d’être ambitieux, il faut accepter la rupture, la remise en cause, et donner du sens à l’action individuelle et collective.
Afin de trouver les pistes permettant de se démarquer et d’être plus agile, nous mettons à votre disposition toute notre expérience et nos outils de business-design. Tous ensemble dans les starting-blocks !
Je réinvente la diffusion des savoirs 💡| Pédagogue innovant
4 ansSuper article Nicolas, avez-vous des exemples de modèles économiques complémentaires ou alternatifs qui ont fait leurs preuves ?